𝟏𝟑

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Arrêtez de faire chavirer mon coeur comme cela mi amor..
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Nous étions arrivés au palais et nous marchions côte à côte en direction de sa chambre tout en discutant.

- D'ailleurs, je ne vous es jamais demandé mais ou est vos parents ? Si vous êtes prince vous devriez habité sous le toit de vos parents.

Il arrêta sa marche en se crispant. Je me retournai pour le regarder un regard confus.
Ses yeux fixaient le vide et son regard était perdu.
Je m'approchais de lui doucement puis fit une chose qui m'étonna moi même.
Je le pris dans mes bras et le serra fort contre moi.
Il fut tout aussi surpris que moi mais resserra son étreinte autour de ma taille et posa sa tête sur mon épaule proche de mon coup.

Pas besoin de mots pour comprendre qu'il n'avait pas envie d'en parler ce que je respectais tout à fait.

Nous restâmes dans cette position un petit moment avant qu'il me chuchote: merci.

Il se recula pour ne faire face.

Je lui donna mon plus beau des sourires et lui répondît.

- Pas de problème. Je suis peut-être distante mais je ne suis pas sans cœur, dis-je en lui lançant un clin d'œil suivit d'une tape amical sur l'épaule.

Il m'offrit à son tour un sourire au coin.

- Je ne dirais pas que vous êtes froide. Je dirais plutôt que vous êtes glaciale en ma présence señorita, dit-il en reprenant son air joueur.

- À qui la faute, dis-je en lui tirant la langue.

Il sembla « réfléchir » un instant puis d'un grand sourire me dévoilant ses belles dents blanches il me répondît.

- Sebastián, répliqua t-il très sérieusement.

J'éclatais de rire.

- Ne mêlez pas le chauffeur à vos bêtises s'il vous plaît Mateo, dis-je toujours en rigolant.

- Pourquoi pas, dit-il en continuant sa marche.

- Parce qu'il n'a aucun rapport dans cette situation voyons.

Et nous marchions ainsi côte à côte nous charriant tous les deux jusqu'à ma chambre où je fus surprise de trouver Aarón accoter sur le mur à côté de la porte de ma chambre.

Un excès de joie me prit et je me précipitai vers lui en lui sautant dans les bras. Il me rattrapa de justesse et posa sa tête sur le haut de mon crâne.

- Je suis tellement désolée.
- Je suis désolé.

On se regarda surpris avant de rigoler.

Il m'invita à commencer à parler en premier.

- Je suis tellement désolée Aarón je n'aurais jamais du te parler comme je l'es fait et traiter comme un moins que rien. J'ai bien reçu ta lettre avec tes fleurs et entre nous les roses mauves sont mes préférés.

Il rigola.

- Je te dois des excuses aussi j'aurais du comprendre plutôt pour toi et ta « situation » que ce n'était pas facile. Je n'aurais jamais du te sermonner comme ça sachant tout ça je suis désolé aussi. Et entre nous je savais que les roses mauves allaient te plaire, dit-il en m'envoyant un clin d'œil charmeur.

𝐇𝐢𝐬 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐬𝐭𝐲Où les histoires vivent. Découvrez maintenant