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_ Ahmeraa Mardi, 13h05.
Je venais de finir de me préparer, j'allais bientôt reprendre le travail et je n'étais absolument pas pressé. J'étais en vacances pendant deux semaines puis j'avais pris cinq jours d'arrêt maladie, mon médecin m'apprécie alors c'est facile d'en gratter.
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Aujourd'hui je n'allais pas sortir, j'allais commander japonais et m'installer devant Netflix. Je m'ennuies souvent chez moi, je n'ai pas d'amis sauf ma soeur en vrai. C'est pas que je ne suis pas sociable mais je suis très timide et très méfiante des gens du coup mon visage est fermé et cela repousse les gens. C'est pour cela que je suis contente d'avoir lié d'amitié avec Younes.
Je me suis dirigée vers mon salon quand ma porte a sonné, j'ai ouvert directement après et j'ai vue une boîte par terre, j'ai regardé aux alentours il y avait personne. Je l'ai ramassé puis je suis allez m'asseoir sur mon canapé.
Moi : Alors qu'est-ce que tu m'as réservé aujourd'hui ?
Avant de l'ouvrir j'avais décidé d'appeler ma soeur pour partager ça avec elle. Elle était repartie chez elle.
Facetime.
Ahleyaa : Je viens d'être en pause en plus. Que me veux-tu ?
Ahleyaa travaille en tant que secrétaire dans une boîte dont j'oublie souvent le nom. J'ai tournée la caméra et je lui ai montrée ma boîte.
Ahleyaa : Oh mais qui vois la-je ?
Moi : - rit - T'aime trop reprendre les phrases de Koba La D toi.
Ahleyaa : - rit - Parce que ça me tue, il est vraiment bête. Bref, ouvre.
Il y avait plein de bonbon dragibus, des oreos et des madeleine vraiment il m'avait mise bien. J'étais heureuse c'était juste bizarre que cette personne connaisse aussi bien mes goûts.
Ahleyaa : Je te sens heureuse mais je ne peux malheureusement pas partager ça avec toi, mon boss m'appelle mais ce soir je t'appelle sans faute.
J'ai raccroché toute heureuse, j'ai décidé d'aller rendre visite à mon voisin histoire de lui partager ma joie. J'ai mis mes chaussures puis j'ai toqué chez lui, là boîte en main.
Younes : Ahmeraa? - fronce les sourcils - qu'est-ce tu fais la ?
Moi : Je suis passé te rendre visite avec quelques petits gâteaux... Je te dérange ?
Younes : - sourit - Jamais, allez rentre.
Chez lui tout était beau, parfaitement alignés. C'était une maison grise et blanche, j'aimais vraiment beaucoup le décor et puis ça sentait bon le Febreze, j'adore cette odeur en plus.
Younes : T'as as l'aire émerveillé. - Leger rire -
Moi : C'est si beau chez toi, et puis ça sent bon j'aime beaucoup cette odeur.
Younes : Pareillement, on a pas fini d'avoir des points commun.
Il m'a dit ça en souriant, je me suis alors mordu la lèvre. Il était vraiment charmant, il m'intimidait beaucoup. J'ai enlevé mes chaussures en les laissant à l'entrée puis je suis allez m'assoir sur le canapé.
Younes : Je te serre quelques choses ?
Moi : Juste un verre d'eau s'il te plaît.
14h56
J'étais entrain de lui raconter mon histoire d'admirateur secret, il semblait absorbés par mon histoire et je me sentais enfin écouter et intéressante.
Younes : Combien de femme aimerait être à ta place ? - sourit - Il te gâte vraiment.
Moi : Je trouves juste ça bizarre qu'il connaisse parfaitement mes goûts, mais ça doit être du hasard.
Younes : Mais oui, le hasard fais bien les choses. - sourit - En tout cas je suis heureux de te voir sourire comme ça, c'est mignon.
Il a dit ça tout en passant une main sur son crâne et en me regardant. Younes avait un pouvoir ou sinon c'était juste l'homme parfait, toutes les choses qui me font craqués chez un homme, que ce soit dans la manière d'être ou de parler, Younes les as. Il est beau, calme, apaiser et apaisant, il est à l'écoute, grand.. On dirait même qu'il fait exprès d'être comme ça pour me faire craqués.
Moi : - sourit - Merci, c'est vrai que je suis toute excitée de vivre ça.. Tu sais, mes relations ont plus été toxiques qu'autres choses et puis c'était des relations a sens unique dans le sens où j'aimais la personne de tout mon coeur mais je ne me sentais jamais aimer à mon tour.
Il buvait mes paroles, la façon dont il m'écoutait et s'intéressait à ma vie me donnait une confiance en lui, sans savoir pourquoi j'arrivais à me confier à lui.
Moi : Alors le fait de recevoir des boites me fait me sentir importante au moins pour quelqu'un.
J'ai regardé la boîte à moitié vide sur la table, Younes et moi on avait tuer ça. On parlait tellement de nos vie qu'on mangeait sans vraiment nous en rendre compte.
Younes : En même temps, qui ne peut pas s'intéresser à toi? Tu es belle, tu es un beau personnage et tu m'a l'air très intéressante.
J'ai souris tout en soutenant son regard, c'est décidé, il est mon idéal masculin.
Moi : Quel honneur d'être complimenté par un si bel homme. Peut-être que tu te trompe qui sait ? Je suis peut-être une mauvaise fille.
Younes : J'aimerai bien voir ça alors, je ne me trompe que très rarement.
Moi : Tu fais ses jugements juste sur une première image de moi. - sourit - Tu ne me connais pas en vrai.
Younes : J'aimerai te connaître d'avantage dans ce cas.
J'ai penché ma tête vers la gauche, il me rend folle.
Younes : - arque un sourcils - Ce soir, 20h?
J'ai souris et je me suis mordu la lèvre.. Cet homme est vraiment mon idéal masculin, vraiment.
