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_ T'es maintenant sur la liste des gens qu'on oublie.

_ T'es maintenant sur la liste des gens qu'on oublie

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_ Younes
Jeudi,13h05

On était à cinq mois après le jour où elle m'avait drogué. Le lendemain je m'étais réveillé à l'hôpital puis directement après emmener en prison en attendant mon procès.

Chaque jour, à chaque fois que je me réveillais je lisais ma fameuse lettre d'aveux, ils avaient fait fort. Ils avaient avouer tous mes crimes, imiter parfaitement ma manière de parler et d'écrire.

J'étais à présent dans la voiture, une voiture qui m'emmenais jusqu'au tribunal, j'avais eu un avocat commis d'office mais il avait l'air de gérer ça, personnellement, j'avais confiance en lui.

_ Deux heures après

Toutes mes victimes ou la famille des victimes me regardait pendant que mon avocat me défendait. J'étais en face d'eux, je les regardais tous un à un, mon avocat était en train de gagner, j'avais un bon pressentiment. Il essayait un peu de camoufler tout ce que j'avais fais, et même moi pour l'instant j'avais un comportement irréprochable.

" Flashback

Avocat : Tant qu'elle n'est pas devant toi, tout se passera bien.

Moi : Et si elle vient ?

Avocat : Essaye de te contrôler. "

J'avais tout fait pour que la date de mon procès ne lui arrive pas jusqu'aux oreilles et apparement ça a réussi.

Juge : Une dernière remarque ?

Avocat : Non Monsieur le j-

Puis la porte s'est ouverte sur elle et.. Lui. Main dans la main, elle m'a regardé avec un sourire puis s'est assis au premier rang sous le regard admirateur de toutes mes victimes.

Mon avocat m'a regardé puis j'ai serré les poings, les jurys ont commencé à me regarder pendant que je devenais tout rouge. L'autre avocat s'est levé et c'était donc à lui de témoigner. Il a commencé son speech pendant que mes yeux étaient ancrés dans les siens, elle m'a sourit, m'as fais un clin d'œil puis a fait un smack à Hakem.

Je me suis levée puis j'ai couru vers elle pour la frapper, elle n'a même pas bouger que les policiers m'ont séparé d'elle pour me remettre à ma place. Elle avait toujours se sourire sur les lèvres qui me donnait envie de la tuer.

Avocat : Je j'ai plus rien à ajouter monsieur le juge, voyez de vous même. J'ai fais exprès de demander à Mademoiselle Hakera de venir avec Monsieur et de l'embrasser pour que vous puissiez voir le vrai visage de Younes. C'est tout pour moi.

Juge : Je vous prie, les jurys allez délibérer.

_ 40 minutes après.

Le juge avait ce papier dans les mains, ce papier qui avait mon avenir écrit noir sur blanc.

Juge : Monsieur Armani Younes, coupable pour une peine de 100 ans avec 40 ans ferme pour meurtre de ses deux parents, viol et séquestrations sur plus de 20 femmes.

A peine le temps de finir sa phrase que j'étais déjà en train d'étrangler Ahmeraa, Hakem m'a mis un chasser puis un policier m'a tazer. Elle avait gâcher ma vie.

Moi : - cris - J'aurai du te tuer quand j'en avais l'occasion, j'ai pas assez profité de ta sale chatte sale pute. J'aurai du te tuer en même temps que mes parents, toi et vous toutes aussi présente que vous êtes.

Je me suis fait tiré jusqu'à une salle puis je me suis regardé dans le miroir et j'ai soupiré, c'était donc ça ma future vie? C'est comme ca qu'elle s'arrête ?

J'ai soupiré puis j'ai mis un coup de poing de le miroir, j'ai vue les éclats de verre par terre et j'ai souris.

C'était donc ça... Ma vie.

𝖯𝗌𝗒𝖼𝗁𝗈𝖻𝖺𝖾Où les histoires vivent. Découvrez maintenant