J'ouvre brusquement les yeux et je me met à tousser, en tenant mon cou, je tousse encore et encore, des larmes coule sur mon visage, il a...
« Tu prends trop la confiance Peyton, fait gaffe à ne pas réveiller le monstre qui est en moi, tu ne pourrais ne plus jamais te relève » des images me reviennent en tête et cette phrase qu'il m'a dite avant que je m'évanouisse, elle tourne en boucle dans ma tête, et me donne envie de pleurer, comment peut-il ne pas encore se considère comme un monstre ? Il m'avait pourtant promis de ne plus être violent avec moi, c'était un mensonge.
Je remarque à cet instant que je ne suis pas sur le sol du salon, mais sur le lit de la chambre, comment je suis arrivé ici ? Après m'avoir presque tué, il m'a bordé ? Ce n'est qu'un monstre, une pourriture, j'espère qu'il brûlera en enfer, je le hais plus que tout sur cette terre.
Je regarde l'heure, ma montre affiche 9 h j'ai dormi après m'être évanouie, je... la porte de la chambre s'ouvre brusquement. César entre, mon regard se fige, la peur m'envahit lorsque ses yeux verts se pose sur moi, rien que d'être dans la même pièce que lui m'angoisse désormais.
- On part dans 20 minutes, pas une minute de plus. Dit-il comme si de rien était et il disparaît comme il est arrivé. Quand il ferme la porte, je respire à nouveau, comment je vais gérer la proximité entre nous dans cette voiture, je me mords les lèvres stressées.
20 minutes plus tard je suis prête, je sors de la chambre, César m'attend déjà à l'entrée quand il me voit, il sort. Je le suis tout en gardant mes distances. Dans l'ascenseur, je me place le plus loin possible de lui.
Arrivé dans la voiture, personne ne parle et au bout de deux heures de route je m'endors.
*
Qu'est-ce que tu as dit ? Pauvre mec, c'est bien ça ?! Il m'écarte alors du mur, et me projette violemment à nouveau contre celui-ci sans me lâcher, et il recommence, en maintenant sa prise sur mon cou jusqu'à ce que je m'évanouisse.
Tu prends trop la confiance Peyton, fait gaffe à ne pas réveiller le monstre qui est en moi, tu pourrais ne plus jamais te relève, il rit, un rire sadique résonne de plus en plus fort dans ma tête ...
Je me réveille d'un coup, en sueurs impossibles de respirer correctement, je bouge dans tous les sens à la recherche d'un peu d'air, je baisse la vitre, mais rien n'y fait, je fais une crise de panique.
- Qu'est-ce qu'il te prend ?
- Arrête la voiture. Je réussis à dire
- Quoi ? Demande-t-il s'en doute ne m'avais-t-il pas entendu.
- Arrête la voiture ! Criais-je alors en ouvrant la porte sans même qu'il se soit arrêté.
- Qu'est-ce que tu fou ?! Crie-t-il en s'arrêtant brusquement.
Je descends rapidement de la voiture et m'éloigner de celle-ci, pour essayer de reprendre mes esprits, mais à chaque fois que je ferme les yeux je le vois, je le vois lui en train de m'étrangler, je m'éloigne encore et encore, et je l'entends.
- Arrête-toi ! Dit-il, mais je ne l'écoute pas et continue d'avancer, - Arrête-toi ! M'ordonne-t-il cette fois. De peur de ce qu'il pourrait me faire et sans réfléchir je me mets à courir, mais très vite je vois la voiture arriver à ma hauteur alors je quitte la route, je l'entends ensuite me courir après. Fatigué je ralentis, il ne tarde pas à me rattraper et il saisit violemment mon bras pour me stopper, j'allais le gifler avec ma main libre, mais il l'attrape sur la volée.
Il fronce les sourcils, je me débats pour essayer de me dégager, mais il ressert sa prise.
- Arrête ! Gronde-t-il entre ses dents. - À quoi tu joues ? Demande-t-il calme.
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I Love him or I Hate him Tome 1
RandomPeyton Oliveira vivait une vie paisible en Amérique, mais tout bascule à la mort de ces parents, quand elle est forcée d'emménager chez sa tante qui vit dans la plus grande Favelas de Rio de Janeiro. Peyton n'avait jamais eu à avoir peur pour sa vie...