La nuit tombée, Cooper et moi dévalons la fameuse avenue des Champs Élysée.
La magie de Paris c'est de voir ces musiciens munis de leur accordéon, jouaient un air d'Edith Piaf, de voir le classique se mélanger avec le moderne, et c'est de savoir que pour sortir, il n'y a pas d'heure.
Paris est belle. Paris m'émerveille.
- Tu apprécie Paris, à ce que je vois. Remarque Cooper, alors que nous nous installons sur la terrasse d'un restaurant.
- J'ai toujours rêvé de venir ici.
- Je suis content que j'ai pu réaliser un de tes rêves.
Le serveur dépose le menu sur notre table, avant de s'éclipser.
- puisque nous sommes dans un restaurant, en tête à tête, tu ne penses pas qu'il est temps de parler de ce qui se passe entre nous deux? Débuté-je, sérieuse.
Il inspire un grand coup et me sourit.
- Je n'avais pas prévu tout ça, mais dès que je t'ai vu avec cette petite serviette dans ton appartement, je savais que ça allait être difficile pour moi.
Je le regarde et l'encourage à dire ce qu'il ressent pour moi.
- J'ai connu des femmes... belles, sexy, charmante, mignonne, intelligente, mais je ne savais pas que toutes ses qualités-là, on pouvait les rencontrer dans un seul corps.
Le serveur refait surface et nous passons la commande.
- Souhaiterais-tu allez plus loin avec moi? Bredouillé-Je.Je n'y crois pas! Je supplie Cooper Johnson d'avoir une relation sérieuse avec moi.
Quelle conne! Ce gars ne sera jamais sérieux avec qui que ce soit.
Je regrette aussitôt tout ce que je venais de dire.Trop tard.
Il me prend les mains et relève ma tête.
- Je t'aime, Kendla.
Entendre cette phrase de sa bouche m'a fait monter de quatre vingt dix étages, et je sens mon coeur tambouriner.
Il recherche désespérément à son tour, une réponse de ma part, à travers mon regard et je ne réponds que quelques secondes plus tard.
- Je te déteste. Couiné-je, en le prenant à la rigolade.
Il baise alors, ma main captant la vanne, avant que le serveur n'arrive avec nos plats.À minuit, nous quittons l'avenue pour rentrer à la maison.
À peine nous traversons le pas de la porte que Cooper se jette sur moi.
Nous nous retrouvons au sol, sur le parquet pour qu'il m'embrasse langoureusement, passant ses mains dans la robe fleurie que j'ai acheté il y a quelque jour, en Italie.
Ses doigts s'accrochent sur le tissu fin de mon string qui disparaît à l'instant suivante.
Mon sexe nu se lubrifie lorsqu'il parcourt ma clavicule de ses baisers.
Mais il n'en reste pas là!
Cooper s'aventure vers ma poitrine et de ses long doigts, il manie mes tétons qui se pointe à sa merci, à travers le léger tissu blanc de la robe.
Je pouce un gémissement lorsqu'il les pince et les malaxent en même temps.
C'est tellement bon!
Son aventure avec mes seins continue toujours.
Il en sort une paire et se penche pour attraper un bout de téton, le pressant légèrement avec sa langue. Ce qui bien évidemment, provoque une vague sensation de plaisir dans mon entre jambe.
Sa bouche emprisonnant toujours mon téton, il caresse mon clitoris d'un lent mouvement. Ce dernier enfle, et je mouille assez beaucoup, pour qu'il pénètre deux doigts dans mon intimité. Alors, je pousse un cri aigu de plaisir, plus fort que les précédents.
Il se détache ensuite de mon sein et reviens à ma bouche pour mordiller ma lèvre inférieure, alors que ses doigts commencent à faire le va et vient dans mon intimité, ravageant à son passage tout l'envie qui s'est formé au creux de mon ventre.
Ça fait tellement longtemps que l'on ne m'a pas fait cela, que je sens quelque douleur autour de mon intimité.
- Je suis encore vierge. Lui avoué-je.
Il arrête alors le va et vient de ses doigts, et me dévisage longuement.
- Suis-moi. M'ordonne-t-il.
Je le suis et nous entrons dans notre chambre, où il s'assoit sur le lit, pour me dévisager, encore une fois.
- Je suis prête.
- En es-tu sûr?
- certaine.
C'est alors, qu'il me déshabille littéralement.
J'en fais de même, mais il arrête mon action à trois bouton de sa chemise.
- Allonge-toi sur le coin du lit et pose ta jambe sur mon épaule.
J'exécute aussitôt.
Que va-t-il me faire ?
J'ai eu ma réponse une seconde après, lorsqu'il enfonce sa langue par surprise dans mon sexe lubrifié. Je jette ma tête en arrière, un nouveau plaisir se crée.
Sa langue tournoi à l'entrée de mon intimité et caresse après, mon clitoris qui enfle plus que jamais.
- Retourne-toi sur le ventre, bébé.
J'exécute encore une fois, et il me donne une légère tape à mon postérieur.
Je gémis.
Jamais je n'aurais imaginé qu'une petite fessée allait me faire autant de bien.Mais alors, que je m'interroge encore sur la fessée, sa langue pénètre mon vagin, suçant mon pauvre clitoris avec.
Je perds tout mes moyens face à une grosse vague de plaisir. Mes jambes tremblotent mais Cooper n'est pas prêt de s'arrêter.
Il brandit de sa poche un condom qu'il enfile d'une vitesse incroyable sur son membre.
- T'es prêt, bébé ? Se penche-t-il vers moi, en me caressant les cheveux.
Son regard fiévreux me montre qu'il a lui aussi envie, et je traduis mon consentement par un doux baiser.
Connaissant maintenant, le signal, il enfonce son membre au plus profond de moi.
Je couine dans sa bouche, mais il m'embrasse pour apaiser la douleur.
Ça ne marche pas.
- Continue. Lui supplié-je.
Il avance alors son bassin vers moi et me donne des coups de reins à chaque pénétration.
- Ça va? Demande-t-il, avant d'accélérer son mouvement.
Le baiser que je lui donne confirme encore une fois, ma réponse.
C'est alors qu'il y va fort et rapide, en faisant des mouvements avec son membre dans mon intimité.
Je pousse des gémissements qui signalent que je vais passer à la phase de l'extasie. Mes jambes tremblent de plus belles et nous explosions en même temps, moi, giclant de l'eau sur mon bas ventre.
- Je t'aime, ma jolie femme fontaine. Murmure-t-il, dans mon cou, satisfait, avant de plonger dans un profond sommeil.
- Je t'aime, Cooper. Lui murmuré-Je, en caressant ses cheveux épais.
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Je te déteste Cooper
RomanceCooper s'installe dans la salle, alors que toutes les autres filles le balaye du regard. Lorsque son regard croise le mien, je ne vois que du mépris et de la haine. Je le déteste. Je le hais, lui qui est assise sur l'une des grades en compagnie de...