Je te déteste Cooper

Sexe au bureau

Cooper et moi quittons la maison pour rejoindre son second entreprise, qui doit sûrement être l'entreprise familiale.
J'ai entendu dire que l'un de ses grand parents ont fondé une boîte ici, dans les années 2000. L'une des survivantes de la crise de 2009, d'ailleurs.
La boîte se situe en région parisienne, et on voit qu'elle n'est pas du tout moderne comme je l'ai imaginé, mais elle reste tout de même chic et classe.
Devant la boîte je vois une silhouette familière qui nous attend, impatiemment.
Billy a le sourire au lèvre dès qu'il aperçoit mon visage, sortir du taxi.
Je répond à son sourire et le salue.
Cooper en fait de même.
- Kendla, Billy sera ton supérieur durant ce court séjour. Comme je suis très occupé, c'est lui qui se charge de tous les procédures administratives de la boîte.
D'ailleurs, voici l'entreprise de mon grand- père. Ça n'a rien avoir avec celle de Washington mais croit-moi, elle est quand même productive. Tous les démarche en ligne, c'est celle-ci qui s'en occupe.
- Tu en as combien de boîte ? Demandé-je, impressionnée.
- Que deux, pour te rassurer. Rit-il, face à mon expression.
Nous entrons ensuite, dans le vieux bâtiment.

Des salariés sont déjà à leur poste, tous actifs à leur écran.
Certains passent des appels, d'autres tapent sur leur clavier.
- Voici mon équipe. Me présente Billy.
Nous entrons ensuite, dans une autre pièce où d'autres personnels s'occupent du packaging.
La pièce s'ouvre à une porte donnant sur un bureau. Sûrement celui de Billy.
- Ça sera ton bureau là. Annonce-t-il, en désignant une table ornée de quelque paperasses et d'un ordinateur.
- Nous partagerons donc le même bureau? Super ! Couiné-Je.
- Pas pour aujourd'hui mais pour les autres jours. Rit-il.
- Et oui. Je dois vérifier la formalité. Ajoute Cooper, alors qu'il demande à Billy de rejoindre son poste temporaire d'une durée de 24h.

Je m'élance alors dans mon travail, heureuse que je puisse enfin, être efficace et servir à quelque chose.
Cooper lui, passe de temps à autre des coup de fil à des techniciens et des formalistes, sans se détacher de l'écran.
Quand il travaille il y met toujours du sien, et le voir sérieux et très concentré lui rend tellement sexy.
Niveau concentration moi, je ne suis pas au top. Après tout, qui arrive à se concentrer quand un gars super canon, en plus d'être son crush, se trouve juste devant ses yeux?
Je mordille mon stylo et l'admire constamment.
Et dire que mon envie de l'étrangler s'est convertie en envie de lui sauter dessus. Que ma jalousie s'est convertie en une admiration. Et que ma haine s'est convertie en amour.
Tout ça, en l'espace d'une semaine, à cause d'un satané voyage.

Je me lève de ma chaise, et me plante devant son bureau.
- Qu'est-ce que tu fais, bébé ? Demande-t-il, surpris.
Moi-même je ne sais pas ce que je suis en train de faire. Tout ce que je sais c'est que j'ai tellement envie de lui, qu'il m'est difficile de me contrôler.
Perdre ma virginité m'a fait augmenter mon libido ainsi que mon appétit sexuel.
Cooper se détache de son travail, et compris ce que je vais faire, lorsque je noue mes cheveux.
En contournant son bureau, il s'éloigne de tous ses papiers et ouvre son bras, prêt à m'accueillir.
Je m'assois sur lui et l'embrasse avec désir et passion.
Il déboutonne mon chemisier et attrape une paire de sein.
Sa langue lèche mon téton, et je gémis en ondulant mes hanches.
J'adore lorsqu'il suce mon sein. Ça allume cette chose, en bas.
- Pourquoi tu n'as pas porté de soutien gorge?
Gronde-t-il, en s'attaquant à l'autre téton.
Je ne réponds que par un « han ».
Ses mains serrent mes fesses et sa bouche revient à mes lèvres.
C'est alors, que je le pousse en arrière.
Il est surpris par mon geste et je ris.
- Que vas-tu me faire?
Je me détache de son corps, les seins toujours en l'air, et m'agenouille.
Je zipe la fermeture de son pantalon, et attrape de mes deux mains son membre, bien chaud.
Je lèche le bout de sa queue et il commence à prendre du plaisir, en silence.
Ses gémissement se font entendre lorsque j'avale la totalité de son sexe.
C'est en utilisant mes mains, qui suivent la cadence de ma bouche faisant apparaître et disparaître son sexe, qu'il accroche ses mains à ma tête, me suppliant de continuer.
Quelque liquide salé sort de la tête, et je l'aspire.
Face à ça, il me relève d'un geste et me plaque sur son bureau, levant immédiatement ma jupe au niveau de mon ventre.
Deux levrettes pour la journée!
Mon coeur tambourine.
Il enfonce profondément, son sexe, et s'allonge sur mon dos, déposant des baisers sur mes épaules.
- Chut. Tu ne fais pas de bruit, bébé. D'accord ?Dit-il, en plaçant un mouchoir dans ma bouche.
Il commence ses coups de rein brutalement, sans prévenir et j'étouffe mes gémissement dans ce pauvre mouchoir.
Ses coups se font de plus en plus rapide ce qui fait bouger le bureau, mais nous ne faisons pas très attention.
Il m'allonge ensuite, sur le dos et remet encore une fois, son sexe au fond de moi, en s'accrochant à mes seins. Il se penche pour mettre un téton entre ses dents, et continue son mouvement, en faisant balancer mon sein dans sa bouche.
Je m'accroche à ses cheveux et ne peux pas m'empêcher de gémir.
Je suis fatiguée, j'ai mal mais je prends beaucoup de plaisir.
Je sur kiffe tout ça!
C'est son dernier coup de rein, plus fort et plus intense qui provoque une sensation explosive en moi, comme si mon âme allait quitter mon corps.
Il sort son sexe, et éjacule sur mon bas ventre, laissant ses spermes se coller à mes poils.
- Tu n'as pas mis de condom? Demandé-je, un peu paniquée.
- Tu ne m'as pas prévenu que t'allais m'allumer. Rit-il, en boutonnant ma chemise.