«La balle est dans ton camps»

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Bon comme je l'ai dit, ce chapitre est la partie un peu agitée entre Elijah et Akashi. Si vous voulez la zappé y'a pas de souci.
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RAPPEL DU CONTEXTE :
   "Il se fait tard, je dois retourner dans ma chambre. Demain, j'ai une grosse journée, salue Seijuro.
- Vous devriez en effet."
La tension qu'ils émanent est palpable. Aucun d'eux ne se montrent enclin à vouloir quitter l'autre, ce soir. Noyés l'un comme l'autre dans les iris de chacun. Plongés dans une tentation profonde. Le courant d'attraction, qui les attache, parle à leur place.
C'est alors qu'Elijah, se lève et invite le journaliste à en faire de même, en lui tendant sa main.
"- Je vous raccompagne jusqu'à votre chambre, propose-t-il. Si, vous le souhaitez, bien sûr ?
- Avec joie."

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Ils entrent tous deux dans l'ascenseur, Elijah s'agrippant à la main du journaliste. Quand la boîte en métal referme ses portes, ils sont à présent seuls. Juste tout les deux. Et cette pensée, ne leur échappe pas. Akashi, quelques secondes après se tourne vers son amant d'un soir et s'empare de ses lèvres. Elles se meuvent à l'unisson et leurs langues se saisissent de l'exhalaison de chacune. Le baiser prend fin suite à une longue danse endiablée. Mais Seijuro, ne veut pas en rester là. Alors qu'il tente de reprendre possession des lèvres du français, celui-là se recule légèrement.

   "Attend, j'ai très envie de toi mais qu'on soit clair, ça n'ira pas plus loin que cette nuit. La balle est dans ton camp. Je ne t'en voudrais pas si tu recules.

Décidément cet homme ne ressemble en rien à tout ceux qu'il a connu.

- J'en ai envie", murmure Akashi au creux de l'oreille du métis.

Et sans plus attendre, leurs bouches se collent à nouveau. Les bras du journaliste s'enroulent autour de la nuque d'Elijah. Lui, emprisonne la taille du japonais, son dos plaqué contre la paroi de l'ascenseur, le métis colle un peu plus son bassin et celui d'Akashi. Ses mains sur ces fesses, ce dernier échappe un soupir d'aise lorsqu'il commence un massage bien agréable. La tête du mate dans son cou, le souffle de cet homme provoque de nombreux frissons sur la peau, fine et laiteuse, de Seijuro.
Les portes se rouvrent et Elijah laisse retomber Akashi qui l'emmène, d'un pas hâtif vers sa chambre. Il ne sait pas où se trouve son binôme et n'a pas la tête à s'en soucier. Sur le pas de la porte, il retourne dans les bras du français, désireux de cet homme. Il ouvre tant bien que mal sa chambre et se laisse transporter dans son lit.

Elijah passe de ses lèvres à son cou. Alternant entre de bref baisers et des légères morsures. Les réactions de son partenaires sexuel sont, pour le moins, intéressantes. De ce fait, il ne manque pas de laisser une trace sur le cou de sa proie. Comprenant qu'elle ne peut être cachée, Akashi relève la tête du coupable et le fâche d'un visage désapprobateur.

"Je pouvais pas te laisser sans rien. C'est juste un souvenir physique de mon passage."
Puis il repart à l'attaque de son cou.

   L'excitation grandit peu à peu, quand les deux se retrouvent torse nu. Les mains, habiles et aventureuses, d'Elijah parcours le corps du journaliste. Développant en lui un désir progressif. Elles progressent du bas vers le haut, de manière lente. Puis deviennent hésitantes arrivées au devant de la zone érogène. Quand enfin elles atteignent ses grains de plaisir. Rapidement, elles s'amusent avec ces derniers, et entament une douce torture. La respiration de Seijuro n'en fait qu'à sa tête, devenant plus erratique et encourage inconsciemment le trouble-faite de cette dernière. Elijah pince, triture et suçote ses tétons. Il sait y faire et s'amuse à faire monter et durer le plaisir d'Akashi.

Toi, moi et un ballon !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant