Chapitre 27

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Marie-Irène

Cela faisait des semaines que je n'avais pas eu de nouvelles de mon bien aimé et mon cœur n'en était que plus brisé. Une larme roula sur ma joue tandis que j'essayais de ma rappeler avec difficulté du son si particulier de sa voix relevé par son accent que j'aimais tant. J'esquissai un maigre sourire tout en carresant l'arrondis de mon ventre. Tout ca n'est qu'une question de...

-WOOOO MARIE TU ME ÉCOUTER !

.... Temps.
Sorti de mes rêverie, je tournais vivement la têtes en direction de franz qui me lança un regard perplexe, accompagné de son soupire habituel.
Ma bouche forma alors un rictus triste en gage de réponse à mon interlocuteur qui eu pour effets d'adoucir le son plutôt agressif de sa voix.

- Je être désolé... Mais ce être très important fur (pour) que nous survivre. Toi verstehst ( comprendre) ?

- Ja.. ( oui)

Je reprenais donc ma marche en direction du maigrichon bout de bois planté de pique de ferrailles qui me servais de table basse avant d'y déposer les deux tasse dépareillé rempli d'un malheureux breuvage à base de plantes qui étaient tiède.

Le jeune homme replaça ses jambes avant d'accepter un sourire compatissant au lèvres le contenant que je lui tandis.

- So ( alors) toi préparer affair ce soir moi et toi partir loin de France. Moi cherche toi lendemain matin très très tôt d'accord donc toi prête demain matin

Je froncé légèrement les sourcils tout en m'asseyant sur le canapé.

Alors les rumeurs sont vrai.... Les alliés vont gagné et nous libéré de l'occupation allemande.

- D'accord mais où allons nous ? C'est où se trouve Hans ?

Le visage au par avant plein de vie du jeune allemand sembla se figué à la prononciation de Hans. Mon cœur se serait en l'attente de sa réponse.

- Nous partir loin Amérique du sud avec d'autres allemands. Voyage très long et pas comfortable..

Pourquoi il ne parle pas de Hans ! Non, il ne peux pas être...

Mon regard brillant d'espoir se plongea dans celui de Franz. J'essayais tant bien que mal d'articuler quelque chose de compréhensible, en vient ma voix étant comme bloquée par l'émotion.

- H.. Ans.....vivivivivi..Jejejeje..

Déstabiliser, dépassé par la situation il déglutit avec difficultés, avant de baisser la tête comme pour me cacher sa réaction. Il me sembla voir a cet instant précis une larme brillante de sence s'écraser au sol. Mais j'eu le temps de réagir qu'il se récessit un mystérieux sourire se dessinant sur son visage.

- Il nous rejoindre là bas

Puis il se leva brusquement me salua amicalement tout en me rappelant que je devais être prête pour le lendemain puis il partie les yeux étrangement brillant.
Bien que surprise je ne m'attardais pas sur ce détail étant trop occupé à imaginé mes retrouvailles avec mon allemand.











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