Tu tomberas avec moi

Chapitre 26

Hans

Assis sur un siège au milieu d'une foule d'inconnu j'attendais, je ne sais ce que j'attendais mais je le faisais.  C'était peut-être ma fin ou bien l'homme qui était aux toilettes depuis bientôt une heure. Sérieux ! il fait quoi là-dedans. Malheureusement je connaissais la réponse.
Enfin la porte s'ouvrit dans un claquement assourdissant qui libéra une odeur fétide. Le visage déformé un jeune homme sorti de la pièce à présent ambaumer. C'est effluves atipiques me fis haïr l'envie préssante de ma vessie qui me faisait à présent un mal de chien. Je m'apprêtais à rejoindre ce lieu hanté par l'odeur de la mort mais une main vient se poser soudainement sur mon épaule :

- Hans ?

Un homme d'âge mûr qui m'enterpela. Pris au dépourvu je n'eu le temps de répondre qu'il enchaîna :

- Suis moi tu as reçu un appel.

Je ne pris pas le temps de réfléchir que je le suivie d'un pas rapide. Qui sa pouvait bien être ?
Ce fut une des nombreuses pensée qui me traversa l'esprit, mais celle qui revenait le plus souvent était : " Marie-Irène mon amour c'est toi ?"
Elle me manquait tellement. Chaque minutes, chaque heure lui étais totalement consacré dans mon esprit, mes pensées.

À peine mon oreilles placée au plus près du combiné, j'entendis une voix qui sonnait dans ma tête comme une mélodie de déception, de trahison. Franz ! Ses paroles me paraissait se tordre, s'en tortiller de douleurs à chaque lettres, à chaque mots, a chaque phrase prononcé. Submergée par la colère, je m'apprêtais a raccrochait quand soudainement j'entendis la voix si douce et mielleuse de Marie-Irène. Une larmes perla sur ma joue. J'y crois pas c'est bien elle.
- Ma.. Rie..-Irè... n..e ?
Sa voix était tellement emplie d'émotions qu'il avait eu du mal a articulé correctement le prenom de celle-ci.

- Hans, tu m'as tellement manqué quand reviens tu ?

Son cœur se serra, un sourire nostalgieque se dessina sur son visage mélancoliques :

- Euh... Bientôt je reviens bientôt.

- Revient vite, on t'attends.

Je marquais un temps d'arrêt a la prononciations du "on". Me dit pas que se traître fait croire qu'il en quelques chose a foutre de mon sort, c'est lui qui ma... Franz:

- "On "? pourquoi "on "?

J'essayait tant bien que mal de contenir sa rage tout en l'attendant sa réponse:

- Moi, Franz et le bébé. Je suis enceinte Hans et c'est toi le père.

Je sentis comme si mon cœurs venait de s'arrêter, la révélation était trop soudaine pour que je prennent vraiment conscience de la situation. Tous les sentiments, émotions avait traverser mon corps en micro second, la panique commencais a submergée, j'était incapable de répondre à ma douce qui commençais à s'apatienter. Puis je laissais mon cœurs délivré mes sentiments si fort que j'éprouver pour cette jeune femme:

- Je t'aime Marie-Irène.. Tellement

- Moi aussi Hans de tout mon cœur.

J'essayer tant bien que mal de retenir ses larmes qui me brûler les yeux, mais je ne pu m'empêcher de contenir plus longtemps mes sanglots à l'entente de c'est mots prononcé par Marie-Irène. Je ne savait que faire, quoi dire ne sachant aucunement si j'allait la revoir un jour.

Je m'apprêtait a raccrocher mais j'entendu une autre voix dans le combiné. Et cette fois-ci ma mâchoire se contracta la rage m'avais submergée remplaçant cette douloureuse tristesse par une colère intense en vers Franz. Mes mains se resserré sur l'objet que mon corps avait décidé de réduire en miettes si la situation ne s'arranger pas.

- Je vais te.... Tu joue as quoi Franz.... SI TU TOUCHE UN SEUL DE SES CHEVEUX.... JE VAIS TE...

Incroyable, le jeune homme resté impassible devant les menaces d'Hans, éprouvant presque plus compassion que peur en vers son ancien compagnon:

- J'ai fais une erreur, j'avais peur... Peur de perdre ma seul famille rester en Allemagne... Alors j'ai fais ce qu'il ma dit de faire et je le regrette... Vraiment... Hans je suis désolé