Tu tomberas avec moi

Chapitre 25

Marie-Irène

La non chalance d'un chat errant vient se froter à la cabine téléphonique. Les rayons du soleil se reflétaient dans la vitre se qui la faisaient bouilloner de chaleur. Il faut dire que cette après-midi là il faisait particulièrement chaud.

Franz debout à l'intérieur de la cabine me fit signe de le rejoindre. Je lui avais laissé soin d'appeler le poste lui même car en 0lis d'être une femme je ne parle pas vraiment allemand si je puis dire pas du tout.

Depuis ma racontre avec Hans il ne m'a toujours parlé en français, un français qu'il a amélioré depuis nos premières discussions même si son fort accent reste présent. Je m'empressais d'empoigner le combiné, ça faisait des jours que j'imaginais sa voix dans ma tête et j'étais impassiante de l'entendre à nouveau.

A peine mon oreille poussais au plus près de l'appareil j'entendis une  respiration. C'était lui ? Je m'apprêtais à le saluer mais il me devança, je pus m'en pêcher de sourire, j'étais si heureuse de l'entendre, il était en vie :

- Hans, tu m'as tellement manqué quand reviens tu ?
Les mots m'étais sortis de la bouche à une vitesse si je puis dire éclair. Il marqua un temps d'arrêt :

- Euh... Bientôt je reviens bientôt.

Je pus m'empêcher d'ajouter :

- Revient vite, on t'attends.

Il parut surpris :

- "On "? pourquoi "on "?

- Moi, Franz et le bébé. Je suis enceinte Hans et c'est toi le père.

Je crus l'espace d'une seconde qu'il ne répondrai jamais mais je pus imaginer son ravissant sourire qui lui allait si bien et je ne pus empêcher les larmes de couler sur mes frêles joues :

- Je t'aime Marie-Irène.. Tellement

- Moi aussi Hans de tout mon cœur.

Je lachais le combiné avec regret j'aurais aimé rester avec lui jusqu'à son retour tout me manquais chez lui et je pus m'empêcher de retenir mes sanglots.

Franz repris le téléphone et il continuairent pendant quelques minutes à la fin de la conversation il m'esquisa un sourire. Je ne pus lui rendre plus qu'un demi rictus triste.