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Quelques mois plus tôt

Ça faisait du bien de rentrer de rentrer à la maison, après sept mois passé en Irak, je pouvais rentrer enfin chez moi. Je sautais rapidement du bus et me dirigeais vers cette grande maison qui représentait le QG de notre club, les Black Pistons. J'avais hâte de renter, je ne supportais plus les bruits de bombes, les tirs, tout ce sang j'en avais marre, au début j'étais impatient d'aller en guerre, de combattre pour mon pays mais plus les mois passaient plus je me demandais qu'elle était le sens de cette guerre. La guerre, ça vous détruit dangereusement, ça vous déshumanise, j'avais vu plusieurs de mes camarades mourir comme de véritables moustiques. La peur de la mort disparaissait totalement, à quoi bon avoir peur de mourir quand la faucheuse planait au dessus de ta tête à chaque instant.

- Fred, mec tu es enfin là, me dit Max en me donnant un accolade

- Oui, enfin à la maison, énonçais-je en lui faisant des petites tapes dans le dos

- Tu as pris énormément de muscle dis donc, je devrais peut-être m'inscrire dans l'armée aussi

- Il vaut mieux pas, la salle de sport c'est largement suffisant

Max était un des mes con-frères au clubs car oui, je considérais tous les gars comme mes frères, on était une grande famille liée par cette passion pour la moto. En parlant de moto, j'attendais ce moment ou je pourrais enfourcher ma moto avec impatience, je l'avais gardé dans le garage de la maison en inspérant qu'elle était toujours en bon état. Je l'avais confié à un de mes frères pour qu'il fasse tourner le moteur de temps à autre, mais interdiction absolue de la conduire , personne d'autre que moi ne devait toucher mon bébé et j'étais très strict la dessus, je ne tardais pas à dégainer les poings quand j'étais contrarié. C'était un de mes pires défaut, et c'était une des raison pour laquelle j'avais rejoins l'armée, je devais canaliser toutes mes pulsions.

J'arrivais au salon de la maison ou la plupart des gars étaient présent, il y avait des têtes que je ne reconnaissait pas, il faut dire que plusieurs choses peuvent changer en sept mois, heureusement les fondamentaux étaient toujours en place, Warren était toujours le président du club c'était déjà ça.

- Alors, tu es enfin revenue toi, formula-t-il de sa voix devenue très rauque à cause de la cigarette

Ça faisait un moment que Warren était président du club, ce vieux monsieur tenait le club du poigne de fer, aucun débordement n'était tolérer. Il le fallait bien quand on avait en face des hommes qui s'échauffaient souvent avec la testostérone débordant des couilles. Il me pris à part, en me posant des questions sur ma vie la bas, comment je me sentais, qu'est-ce que j'allais faire ensuite. Je répondais de manière évasive, je détestais être autant harceler de questions surtout que je venais à peine de rentrer, j'avais besoin de me changer les idées. Je m'extirpais de cet interrogatoire improvisée, déposais mes affaires dans ma chambre pour me diriger vers le garage, j'avais placé ma Harley sous une bâche noire au fond du grand garage, elle était toujours en place. Je la sortie du garage et rejoignis Max qui m'attendais sur la route. Je pris mon casque mais décidait finalement de ne pas le porter, je voulais pleinement sentir toutes les sensations avec le vent qui me fouettait le visage. Je montais sur ma bécane et mis le mis contact. Le rugissement du moteur me donna une putain de cher de poule, qu'est-ce que ça m'avait manqué. Je m'élançais à toute allure suivie de Max, j'adorais L.A, c était ma ville, j'y étais né et avait passé la plus grande partie de ma vie, je ne voulais rien d'autre et je m'y voyais bien y finir mes jours. Je longeais la cote en passant devant la plage et en inspirant à plein nez l'odeur particulière de la mer.

On rentrait finalement au couchée du soleil, je garais ma moto dans le garage et je suivais Max qui entrait dans la maison. Des éclats de rire nous accueillaient, c'était les brebis : sans doute la meilleure chose qu'il pouvait y avoir dans un club de biker, des chattes qui ne demandent qu'a être baiser. Baiser une femme en tant général, pouvait s'avérer affreusement compliquer, il y avait tout une cérémonie à faire, lui parler, apprendre à la connaitre, lui faire comprendre subtilement qu'on aimerait bien s'envoyer en l'air avec elle  : très peu pour moi. Une brebis se faisait baiser et pas besoin d'en faire des tonnes, tu en vois une tu l'as chope et basta personne ne les retenait ici donc bon si elles étaient la c'est bien parce qu'elle en avait envie. Le seul truc un peu chiant c'était que tu devais la partager avec les autres membres, c'est vrai qu'on est une famille mais tout de même à ce niveau moi je n'aimais pas partager.

Je rejoignis les gars qui n'avaient pas bougé du salon, je pris une bière et m'assit dans le canapé de manière à avoir une vie imprenable sur toute la pièce. Les filles s'affairaient à mettre la table, c'est vrai qu'il était bientôt l'heure de diner. Je les regardais aller et venir afin de trouver celle qui pourrait peut-être me satisfaire ce soir, il y en avait pour tous les gouts mais aucune d'elles n'avaient attiré mon attention...hum pourquoi pas la brune avec la grosse poitrine. Ah ce moment précis, je vus une mignonne petite blonde entrer dans le salon, wow ! Elle ne ressemblais pas du tout à une brebis, d'abord sa tenue, la plupart des brebis s'habillait de manière extrêmement vulgaire : micro-short, mini jupe, certaines se baladaient parfois dans des touts petits haut de bikini. Elle par contre avait juste enfiler un t-shirt et un jean qui lui moulait le cul de manière très intéressante, le jean lui allait tellement bien qu'on aurait dit qu'on l'avait peint sur elle. Ses cheveux blonds qui était très long lui descendais jusqu'au bas du dos et s'arrêtait pile à la naissance de la courbe de ses fesses.

- C'est qui celle-là ? demandais-je à ma Max en pointant de la tête la brebis

-Oh Frida, elle est nouvelle ici, elle est là depuis pas longtemps. De la bonne hein mais je ne sais pas pourquoi aucun gars n'a pu la serrer jusqu'à'à présent. Les mecs ont parié sur qui la prendrait le premier. Tu veux t'ajouter au pari ?

-Non, ça ne m'intéresse pas lui répondis-je, pas besoin de s'exposer pour chasser, ça attirait trop de bruit.

Le diner se passa tranquillement, j'avais finalement ordonner à la brune de me rejoindre dans ma chambre un peu plus tard dans la nuit. J'avais pris une longue douche,  en rangeant mes affaires, j'étais tombé sur mon blouson en cuir avec l'inscription dans le dos "Black Pistons", je l'enfilais mais il ne m'allait plus du tout, j'avais pris du muscle et il était devenu petit. Il m'en faudrait un nouveau néanmoins j'étais content de le retrouver, j'étais de retour dans la partie. Je continuais de ranger un peu lorsque j'entendis un bruit lointain dans la maison, il provenait soit de la cuisine soit du salon, j'avais conserver  mes reflex de la guerre donc mes sens était toujours en alerte. Qui ça pouvait bien être ? Il était tard, à cette heure le salon était vide.

Je me dirigeais lentement vers l'origine du bruit et je vis la lumière dans la cuisine. j'entrai lentement et je vis de profil la blonde de toute à l'heure. Elle s'était changée, elle avait mis son pyjama : un petit haut  court ainsi qu'un short qui me laisser voir ses jolies jambes. Elle ne m'avait pas encore remarqué, elle était entrain de ranger la cuisine, seule. Elle renversait les restes du repas dans les tupperwares, on avait eu droit à des pâtes à la sauce bolognaise ce soir, elle plongea un doigt dans une des casserole qu'elle venait de renverser, recueilli avec une petite dose de sauce et lécha son doigt avant de l'enfoncer dans la bouche. Ce simple petit geste anodin me donna la chaire de poule et je sentis mon penis se durcir dans mon short, je m'approchais lentement d'elle. Elle se retourna et sursauta en me voyant. Le haut de son pyjama était fin, je pouvais voir ses tétons qui pointaient dans ma direction, je glissais mon regard le long de son corps, elle avait un mignon petit piercing au nombril

Je m'approchais d'elle mais elle ne reculait pas et ne faisait que me regarder de ses yeux verts sans dire un mot. De ma main, je lui caressait lentement une mèche de cheveux, sa bouche me donnait envie de crier comme un loup, elle l'entrouvrir  s'apprêtant surement à me dire quelque chose mais à cet instant je n'avais pas envie de l'écouter. Je posais brusquement mes lèvres contre les siennes et les caressa de ma langue afin qu'elle puisse ouvrir la bouche : elle s'exécuta docilement. Pendant qu'on s'embrassait, je descendis mes mains vers ses fesses et les appuyais avec férocité, la douceur de sa peau et ce baiser me rappelait soudainement mon envie de baiser. Je la soulevais et la déposais sur le comptoir de la cuisine. Je m'arrachais de notre baiser et lui indiquais qu'il y avait un préservatif dans ma poche, il fallait qu'elle me l'enfile. Elle s'exécuta toujours en silence, plongea sa main dans mon short et fit sortir ma bite. Elle me mettait le préservatif tout en caressant mon membre qui se durcit encore plus à son touchée. Je lui baissait son short, l'attirait à moi et m'insérais brutalement en elle ce qui lui fit échapper un petit cri. Sa chatte était super étroite et très humide. Je commençais mes va-et-vient, j'avais presqu'oublié le gout de la baise, à quel point c'est tellement bon. Je l'attirais encore plus vers moi et écartais d'avantage ses cuisses, la sensation était exquise, j'accélérais ma cadence, je l'entendais gémir, elle aimait ça, je m'appliquais encore plus. Je me sentais jouir, mes mouvement était rapides et très brusque, j'haletais dans le creux de son coup et enfin je crachais mon sperme.

-Si tu finis de ranger, viens dans ma chambre, j'ai encore envie de toi, lui chuchotais-je avant de de quitter ses cuisses.

Mala FamaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant