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*LUKAS*

Depuis que Frida m'avait fait cette petite confidence la dernière fois, j'arrivais a peu près à mieux découvrir qui elle était , s'il est vrai qu'elle parlait parfois beaucoup il faut reconnaitre qu'elle ne parlait jamais vraiment d'elle pas en entier en tout cas. Le peu de gens qui me connaissent savent que j'ai une très grande capacité à cerner le monde autour de moi mais avec Frida ce n'était pas une mince affaire . Elle arrivait à passer tantôt à la joie, tantôt à la tristesse ou tantôt à l'indifférence en une seule fraction de seconde, ça perturbait parfois mais bon elle commençait à me faire confiance on dirait c'était un bon début.

-Lukas ? Qu'est-ce que tu fais là ? Tu n'as pas reçu mon message ? J'ai un truc ce soir, me dit Frida toute étonnée qui venait de sortir de l'hôtel

Je la regardais s'avancer vers moi et j'oubliais un moment  la raison de ma venue. Un de mes professeurs disait souvent qu'il considérait que la femme, parmi toutes les merveilles qu'il y avait sur terre, restait la plus belle oeuvre de la nature et en voyant Frida je comprenais parfaitement ce qu'il voulait dire par la. Hormis la douceur de son visage, son corps et la sensualité qui s'y dégageait pouvait rompre le voeu de chasteté de n'importe quel prêtre. Je la discrètement et mes yeux s'accrochèrent  pendant à la courbure de sa poitrine mis en valeur par le bustier qu'elle portait. Il était couleur lavande était était assortie à sa jupe qui laissaient entrevoir ses jambes galbées, mon petit examen rapide pourtant innocent venait de réveiller quelqu'un qui ne pouvait pas rester indifférent face à tout ça.    

-Je sais mais j'avais envie de te voir et je voulais te remettre quelque chose, lui répondis-je en lui ouvrant la portière de ma voiture

- Oh..... bon d'accord, mais pas longtemps je suis déjà à la bourre, m'énonça-t-elle avant de monter

-Tu te rappel du croquis que tu as vu la dernière fois, commençais-je une fois assis à coté d'elle.Je bloquais dessus depuis un moment mais.... le fait de passer du temps ensemble sans avoir à penser au travail m'a vraiment fait du bien et j'ai finalement pu trouver ce qui manquait. Mon client a franchement adoré, et j'ai signé le plus gros contrat de cette année. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que tu y es pour quelque chose, je....je me sens vraiment différent depuis que je t'ai rencontré, luis dis-je en le pensant sincèrement. Enfin, merci beaucoup, terminais-je en sortant la petit paquet de la boite à gant

- Il faut vraiment que tu arrêtes avec tout ça.....oh, souffla-t-elle en sortant le petit pendentif doré à portant l'initial de son prénom

- Il te plait ?

- Beaucoup, merci Lukas, répondis-elle toute contente en me donnant un câlin . Aide-moi, m'indiqua-t-elle surexcitée en se retournant et en révélant ses cheveux

Je sortis la chaine fine en or, passa mes bras pour le lui enfiler. Le pendentif descendis joliment entre ses seins. Pendant qu'elle l'admirais, je sentis mes mains posées sur ses épaules  descendre lentement vers sa poitrine. J'effleurais au passage ses tétons qui durcissaient à ce simple contact et lui laissa échapper un soupir de surprise. J'agrippais furieusement mes seins et déposa mes lèvres sur son cou, y passais longuement ma langue avant de me rediriger vers sa bouche.

- C'est vraiment dommage que tu ne reste pas avec moi ce soir Mausi, énonça entre deux baisers. Mais on peut quand s'amuser un peu non ? , continuais-je en tirant sur les lacets de son bustier mettant ainsi à nue sa poitrine.

Je la fis assoir sur moi , recula mon siège et recommença à l'embrasser passionnément en tirant gentiment à chaque fois sur la lèvre inférieure. Pendant ce temps, mes mains saisissaient à nouveau ses seins et les malaxaient doucement en titillant à chaque fois le bout ce qui eu pour résultat un nouveau gémissement de sa part. Je s'arrachais à notre baiser pour se concentrer sur sa poitrine , je suçais , mordillais et pressais chacun de ses seins à tour de rôle, elle se cambra contre moi sous le petit supplice que je lui faisais subir. Son corps fut secoué de délicieux petits spasmes et de jolies petits sons de jouissances s'échappaient de sa bouche qu'elle essayait de contrôler tant bien que mal en se mordant la lèvre mais repassais à peine ma langue sur ses tétons qu'elle balança la tête en arrière et laissa enfin naitre son orgasme.

Mala FamaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant