Les liens d'amour - Aime moi

𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 29 - 𝓗𝓪𝓵𝓮𝔂

Hello tout le monde ! Je préviens, le chapitre est une scène hot, donc pour les âmes sensibles, ne pas lire. Je ne suis pas du tout douée pour écrire des scènes de relations sexuelles, alors ça peut être très hésitant par endroit. Je m'en excuse d'avance (il faut que je m'exerce un peu).

/*****/

Gabriel m'entraîna dans sa chambre, à l'étage. L'air autour de nous semblait crépiter. Mon corps semblait prendre en chaleur. Je n'arrivais plus à penser. On entra dans sa chambre et l'Alpha ferma la porte à clé, les yeux noirs de désir. Je tremblais, incapable de parler. Je n'avais plus coucher avec quelqu'un depuis tellement longtemps, mais je n'avais pas peur. Je savais que jamais, Gabriel ne me ferait de mal. Pas intentionnellement, en tout cas.

- Haley, entendis-je la voix rauque de Gabriel.

Je m'avançai vers lui et posa ma main sur son cœur. Il battait à la chamade, tout comme le mien. Je souris et relevai la tête vers lui, me dressant sur la pointe des pieds pour poser mes lèvres sur les siennes. Aussitôt, ses mains rugueuses agrippèrent ma taille et me maintint contre lui, m'empêchant de partir. Me gardant prisonnière de son corps. Qui m'appelait. Cette fois-ci, je savais que nous allions passés une étape importante.

Nos langues dansèrent ensemble et ma robe fut enlever d'un simple geste. Je me retrouvai en sous-vêtements devant Gabriel, nullement gênée. Nos bouches se séparèrent. Ses yeux brillèrent en regardant mon corps musclé par les entraînements. Je mourrais d'envie de voir le sien à mon tour. J'enlevai son t-shirt et me baissai pour défaire la ceinture de son pantalon, ouvrant ensuite la braguette. Je descendis son jean et il s'en débarrassa d'un coup de pied. Il se retrouva en boxer. Je me relevai, d'un air presque aguicheur et lui souris. Mes mains attrapèrent le bord de son boxer, jouant avec pour le taquiner. La bosse sur l'avant me confirma qu'il était bien formé, comme je m'y attendais.

Sans que je m'y attende, mon soutien-gorge se défit grâce aux doigts experts de l'Alpha qui semblait prendre en puissance à mesure que nous nous déshabillions. Mes seins furent exposés à son regard intense. Il les dévora du regard, sa main s'approchant de la rondeur de sa poitrine. Il empoigna un sein et sembla le soupeser. Ses doigts touchèrent mon téton, m'envoyant des décharges électriques.

- Ils sont lourds, dit Gabriel. Et pleins.

Sa bouche fondit sur ma poitrine et la butina. Je sentis mon corps toucher une surface douce. Son lit. Rapidement, l'homme fut au-dessus de moi. Son corps immense, musclé me faisait de l'œil. Ses abdominaux pourraient faire tourner de l'œil une nonne. Je les touchai du bout des doigts, appréciant leur dureté.

- Tu es parfait, lui dis-je dans un souffle.

Il sourit et m'embrassa langoureusement. Me laissant pantelante. Mes mains enserrèrent son cou et je le collai contre moi, ne voulant plus qu'il disparaisse. Je voulais sa peau contre la mienne. Ses baisers partout sur moi. C'était un véritable feu artifice dans tout mon être. Jamais une pareille sensation ne m'avait envahi. En moins de deux, ma culotte fut enlevée. J'étais toute nue, à la merci de l'Alpha de Shadow. Il sourit d'un air narquois et son visage plongea de nouveau vers mes seins. Il les titilla de sa langue, les mordit délicatement. Sa main descendit le long de mon ventre, se posa sur mon sexe humide. J'étais plus que prête mais Gabriel semblait vouloir prendre tout son temps.µ

- Pas d'impatience ma demi-louve, nous avons toute la nuit.

- Sauf que je suis impatiente, répondis-je dans un grognement. 

Je profitai de sa surprise pour me redresser et le basculer sur le dos. Il fut encore plus étonné et je m'assis sur ses cuisses, promenant mes doigts sur sa peau douce par endroit mais marquée de quelques cicatrices.

- Ou t'es-tu fait celle-là ?

Je montrai la longue blanche qui traversait son ventre horizontalement.

- Un vieux loup trop calculateur.

Il encercla ma taille et ne parut pas vouloir me lâcher de sitôt. Je regardai son seul vêtement, la dernière barrière entre nous. Ses yeux détaillèrent encore ma silhouette, ne cachant pas son désir. Avec lui, je me sentais parfaite. Vraiment parfaite. Sans défauts. Mes vergetures ne semblèrent pas le gêner. Elles étaient sur mes cuisses, un peu sur ma poitrine. Elles étaient le vestige de mes prises et pertes de poids. Dans mon mannequinat, on les acceptait de plus en plus et ça, c'était génial.

Je baissai le boxer de Gabriel et il retint son souffle. Lui aussi était parfait. Son membre était long et dur près de ma paume et je l'encerclai dans ma main. Gabriel relâcha son souffle et me regarda avec tendresse. Comme si je lui procurais une sensation qu'il ne connaissait pas. Je le tins, essayant de lui faire plaisir. Mon doigt titilla son gland. 

- Tu as raison, passons aux choses sérieuses !

De nouveau, je fus sur le dos et Gabriel au dessus de moi. Ses bras étaient posés de chaque coté de ma tête, essayant de ne pas m'embrasser. N'en pouvant plus, je scellai mes lèvres aux siennes. Elles étaient bien trop tentantes. Ses baisers étaient comme un dessert. Il se pencha vers sa table de chevet et en sortit un préservatif. Il l'ouvrit et le mit sur son membre en érection. Mon sexe pulsa, attendant d'être enfin rempli et rassasié. Gabriel planta son regard dans le mien, comme pour me demande si j'étais sure. Je lui souris et sa main guida son sexe dans le mien. Il me pénétra et se mit à faire des va-et vient puissants qui me clouèrent au matelas. On entendit plus que nous souffles erratiques, nos gémissements dans la chambre et nos corps emboîtés l'un dans l'autre. Quand l'orgasme nous consumèrent, Gabriel se décolla de moi et se coucha. Son bras me ramena contre sa poitrine qui montait et descendait rapidement. Mon visage se reposa sur son cœur, ses bras m'entourèrent.

Je me sentais tellement euphorique que j'aurais pu danser au plafond.