Mon Essentiel [ Terminé ]

# 9 #

Merci à ceux qui m'ont apporté une réponse sur la préoccupation que j'ai souligné au chapitre précédent.

Et merci à vous tous de me lire

Bonne lecture ♥️

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Nathalie     KENGNE

G2 : Tant pis, si elle n'a rien de matériel pour nous, elle nous donnera quelque chose d'encore meilleur .
(Dit il en ouvrant la braguette zippée de son pantalon ) .

- : (en pleurs) pas ça, noooon ...

- ne t'avise pas de la toucher ( venait de dire l'autre et je ressentais en moi un soulagement immense ) .

G2 : qu'est ce que t'as dis?

- : j'ai dit que tu ne la touches pas !

- : qu'est ce qui te prends ? On va quand même pas la laisser partir comme ça !?

- : je suis un bandit oui, mais pas un violeur . Et crois moi j'accepterai pas que tu la touches .
Vas patrouiller !

- : c'est ton problème , moi j'ai bien envie de me la faire.

- : TU VEUX QUE J'TE RAPPELES POURQUOI  J'AI  FAIS  LA PRISON ?

- : ...

- : voilà , j'préfère ça. Maintenant tu t'kass .

(L'autre s'en alla et il s'abaisse jusqu'à moi) .

- : je t'ai jamais aperçu dans le coin , qu'est ce que tu fais ici ?

- : ...

- : C'EST À TOI QUE J'PARLES !

- : ... Je... Merci .

- : mais qu'est ce que tu racontes ?

- : merci, car sans toi il aurait pu abuser de moi .

- : c'est rien.

- : si, ça vaut beaucoup... Merci.

- : okay, viens avec moi . Dormir dans la rue c'est pas facile .

- : non , merci mais... Je resterai ici .

- : tu crois que c'est tout le monde qui empêchera qu'il t'arrive le pire ? Un autre groupe peut passer et crois moi ils risquent pas d'être si vertueux .

- : ...

- : J'AI  DIS  DEBOUT  !

- : comprends moi, en plus d'être un inconnu tu es...

- : un bandit je sais.

- : ...

- : (se frottant bizarement le nez et la tête).
Écoutes, j'kif pas trop faire le canard et supplier.
Saches que si j'te demande de venir avec moi c'est parce que je sais tous les dangers que tu coures en restant ici .
Je te promets de pas te faire de mal .

- : ...

- : BON MAINTENANT TU T'LÈVES !!

( Je me lève en sursaut et le suit toute tremblante. Je marchais derrière lui lorsqu'on arrive devant une maison qui était comme abandonnée ; toute obscure).

- : reste pas là entre ; tu croyais que je t'amenais dans un palace ?

- : non ... Ce n'est pas ça, moi non plus je ne viens pas d'un palace...

- : c'est quoi alors ?

- : ...

- : Ici c'est un peu comme un refuge pour moi tu vois ? (Dit il en se frottant le nez.
Puis il allume une petite lampe) .