forty-six.

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Ma deuxième famille.

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Forty Sixth part.

Aujourd'hui avec les filles, on a décidés d'aller acheter des pagnes et d'autres trucs.

Donc on s'est préparées pour sortir. Il était à peine midi mais la chaleur était déjà présente.

Après c'est vrai que c'est une chaleur beaucoup plus supportable qu'en France.

En France, même le vent est chaud or qu'ici en Afrique le vent est frais. Ce qui est donc beaucoup plus agréable.

Enfin bref, là n'est pas le sujet.

J'avais simplement mis une robe bandeau blanche qui m'arrivait au-dessus des genoux.

Des simples sandales on fait l'affaire. J'ai des beaux pieds donc autant les montrer que les cacher.

Mes ongles de pieds eux, étaient de couleur rose pâle. C'était tellement beau vraiment j'aime trop.

J'ai pris un sac où s'y trouvait tout le nécessaire et mon téléphone était dans ma main gauche.

Lunette de soleil sur la tête, j'étais enfin prête.

Le temps que les filles aillent faire tout pleins de bisous à leur compagnon respectif, j'ai rejoins Brahim à la cuisine.

Il était seul, assis sur une chaise haute, capuche sur la tête, tête enfouis dans ses bras et ses écouteurs aux oreilles.

Délicatement j'enlève sa capuche et caresse son crâne tout en penchant ma tête vers la droite pour voir si il dormait.

Ses yeux étaient mi-clos. Il me semblait assez fatigué.

Je dépose un bisou sur sa tempe et remet sa capuche pour le laisser là.

Et, doucement j'ai fermé la porte.

- Il a quoi Bram's ?

Anthony - Il s'est embrouillé avec son daron mais genre de baiser et il l'a menacé de faire du mal à sa mère et sa sœur.

- ... putaaain. Et il est tout seul là-bas depuis combien de temps ?

Anthony - J'me suis réveillé il était 10h et il était déjà là donc j'sais pas puisque quand j'me suis réveillé à cause de ses cris. Et puis c'était une grosse dispute toute façon toi même tu sais comment c'est entre eux.

Je souffle.

- J'vais rester avec lui les filles, allez-y sans moi. Ou au pire on vous rejoindra.

Elles hochent la tête et partent.

Les garçons sont partis se baigner dans la piscine et moi je suis remontée déposer mes affaires.

Franchement qu'est-ce que je ne ferrai pas pour mon meilleur pote, enfin ancien du coup. Fin bref vous avez capté ce que je veux dire.

Quand je l'ai rejoins, ses mains étaient cette fois-ci sur ses joues et il fixait un point inexistant droit devant lui.

De là où j'étais, je pouvais entendre sa musique qui était extrêmement forte.

« Amour Impossible ».Où les histoires vivent. Découvrez maintenant