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Je suivais les traces depuis 15 minutes environ, de là ou j'étais je n'entendais plus les voix en provenance du camping. En faite je ne le voyais même plus, mais si je ne perds pas les traces ça devrait aller.
La forêt est vraiment grande. Je ne vois pas un seul endroit où il y aurait une route ou même un endroit sans arbres. Je marche toujours quand j'entends un bruit qui venait d'en face, en m'approchant je pus voir un lapin, c'est pas vraiment ce a quoi je m'attendais... En me voyant il partit, pas vraiment surprenant à vrai dire.  Quand je voulu à nouveau suivre les traces... bah il se trouve que je l'ai est perdu en venant voir le lapin... Bon elle devait pas être bien loin...attendez. Je suis venue part qu'elle coté déjà ?

Après 10 minutes de recherche, je me suis encore plus éloigné à mon avis et plus je m'éloigne plus je sens un vide au fond de moi. J'ai crue avoir trouver les traces mais c'était à un terrier de renards. Je regarde l'heure de mon téléphone il est déjà 10h30. Le ciel se couvrait quand je vis de grosse branches humides. Avec mes cousins on adorait faire des cabanes dans la forêt quand on était petit. Ça serait plus pratique avec un couteau mais je n'en ai pas. Je pris deux grosses branches qui faisait un  "Y" au bout puis je les plante l'une contre l'autre comme ce ci: /\
Je commence a creuser avec mes mains puis je mis la première branche en m'appuyant dessus je l'enfonce assez et je fais pareil avec la deuxième. En suite je pris une autre branche plus longue que je bloque sur la branche d'un arbre puis je mis l'autre bout sur le haut des deux branches plantées. En suite, je  place les autres branche plus fine en appuis sur celle déjà placées, celle qui sont trop longues je marche dessus en tirant un des bouts de façon à les casser.  Une fois le plus gros fait je mis des rochers pour soutenir les branches au cas où. Puis pour la fin je ramasse de la mousse et la place sur les branches pour empêcher l'eau de passersi il pleut, et a l'intérieur de la cabane je mis des feuilles.
En voyant le temps je savais que si j'essayer de rentrer maintenant ça ne passerait pas. Je décide d'appeler Gabrielle pour lui expliquer.

~Conversation téléphonique~

Gabrielle: Allo? T'es passer où?
Laura: Je suivais les traces d'animaux. Ne t'inquiète pas je vais bien, j'ai fais une cabane, je tenterai de rentrer une fois que le ciel sera de nouveau bleu. Car si je me perd encore plus sous le mauvais temps ça feras qu'empirer.
Gabrielle: ... Très bien, alors on cachera au prof que t'es pas là. On dira que t'es juste fatiguée. Tu devrais garder la batterie de ton téléphone en cas de problème. On se rappel dès que le mauvais temps est finit. Faut aussi que je prévienne Dylan, ah et Taylor aussi fin si je le trouve...
Laura: Attends, ne lui en parle pas s'il te plaît...
Gabrielle: Mais il est le seul à pouvoir te retrouver rapidement, car c'est un de nos meilleurs pisteurs voir le meilleur et il y aussi le lien.
Laura: Tu lui dit seulement si il y a un problème. Sinon tu lui dis rien.
Gabrielle: ....Ok ok ok. Mais quand tu rentre je vais te menotter à moi pour plus te perdre.
Laura: Oui oui si tu veux. Mais faut que j'arrive à rentrer pour ça, ahahah... Bon je raccroche à toute.
Gabrielle : À toute fait bien attention.

Elle raccroche. Bon je fais quoi maintenant? Je me suis assise contre le tronc d'arbre au font de la cabane les bras croisés autour de mes jambes et la tête posée sur mes genoux je regarde en face de moi la pluie qui commence à tomber, heureusement j'ai fait une tranchée et un barrage avec des pierres aux cas où. Bon le problème et que je me retrouve avec les mains plaines de terre. Je m'approche de la sortir pour rincer mes mains avec l'eau de pluie pour revenir à ma position initiale contre le tronc. À cause l'énergie que j'ai du fournir pour faire la cabane je finis par m'endormir.

Je vis le paysage de la forêt défilé rapidement sous la pluie,  je sentais une grande peur que je ne serait expliquer mélangé à la panique, je vis des traces de pas et reconnu le paysage. Puis je me réveille en sursaut transpirante et avec du mal a respirer, je savais que mon rêve était réel et que cette chose se rapproche de moi rapidement, trop rapidement. Puis j'entends un hurlement proche et puissant accompagné de bruit de feuilles qui simplifie, jusqu'à voir les buissons en face de moi bouger rapidement jusqu'à ce qu'une immense ombre en sorte en me fixant, en un instant je me retrouve comme hypnotisée par ses yeux une demi-seconde. Je reconnue le loup que je cherchais. Puis comme si il eu une prise de conscience il reparti quand je cru le voir traîner quelque chose de noir avec lui. J'allais commencer à me calmer quand j'entendis des craquements d'os, ce qui ne fit qu'empirer mon stress, puis de frottement de tissus jusqu'à ce que les bruits de quelqu'un qui cour s'approche,  quand je vis Taylor courir vers la cabane. Quand il se baissa pour entrer je le fixe jusqu'à ce qu'il soit à l'abri puis je me jeta sur lui en maccrochant à son pull tout en pleurant. Je le senti tendu au début, puis il ne mit pas longtemps à se détendre pour passer ses bras autour de moi ce qui me crée une vague de chaleur qui remplis le vide que je ressentais.

Taylor: Chut, je suis là, tu n'as plus rien à craindre...

Au bout d'un moment je me calme, mais je le serai toujours contre moi, il était tout trempé de la tête au pied à cause de la pluie et mes larmes n'avaient pas aidées. Il s'était mis contre le tronc d'arbre, il avait aussi un sac à dos noir d'où il sortit d'eux sweat. Une fois la pluie arrêté il me tendis le premier, je le lâche à contre coeur puis enfile son sweat. Quand à lui il sortit de la cabane en enlevant son pull pour mettre son sweat. Puis il revient dans la cabane en me serrant contre lui.

Mon Loup, Mon Bêta.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant