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Elle me regarde toujours, sans rien dire. Au final elle s'approche de moi :

-Pourquoi tu parles seul ?

Merci hein, tu m'as encore mis dans la merde.

Réfléchis Georges, réfléchis. Ah oui

-Je me...demandais ce qui te ferait plaisir. Hier je n'ai pas eu le temps de te faire une fête digne de toi.

-Une fête ? De quoi ?

-Mais de ton anniversaire, Tina tu as eu 18 ans hier.

Ses yeux s'écarquillent lorsque l'information parvient à son cerveau. Je la prends dans mes bras :

-Que veux tu que je te fasse ?

-Rien.

Elle soupire profondément avant de se détacher de moi, doucement :

-Je ne veux rien de toi, par contre j'ai quelque chose à te demander.

-Tout ce que tu voudras.

Elle fronce les sourcils et pince sa bouche. Puis elle fait quelques pas en arrière.

-J'aimerais aller à l'université.

-Oui bien s- Quoi ?

Elle ne bouge pas, me regardant

-Je veux aller à l'université Mofal. J'ai eu une mention très bien et je compte faire quelque chose de ma vie.

-Oh que non ma petite. Ce que tu deviens c'est moi qui le décide et non tu n'iras pas à l'université. Tu n'iras nulle part. Tu vas m'épouser, l'as-tu oublié ? Ne m'énerve pas, ne m'énerve pas du tout.

Elle croise les bras, ses yeux sur moi.

-Tu es majeure maintenant et nous allons célébrer notre union.

-Pour que tu me laisse après 2 jours ? Non, hors de question que je t'épouse. Je ne suis pas prête à me marier. Je ne vais pas me marier à 18 ans. Je ne veux pas.

-Mais je n'en ai rien à foutre que tu ne veuilles pas ma douce. Je m'en fous complètement.

Je la colle à moi et l'embrasse. Elle essaie de résister mais lorsque ma main touche ses cuisses en remontant, elle gémit et j'en profite pour glisser ma langue dans sa bouche. Elle s'accroche à mon cou, et après quelques secondes, elle est nue devant moi.

Mon Dieu ce corps.

Je caresse sa poitrine qui est devenue un peu plus généreuse. Ses seins remplissent maintenant ma main et c'est parfait. Merci la puberté.

Elle se frotte contre moi, impatiente elle baisse mon jogging. Mon érection devient plus forte quand ses doigts me frôlent dans mon boxer. Putain c'est incroyable l'effet qu'elle a sur moi. Heureusement qu'elle est venue ce matin sinon je serai probablement dans sa chambre à la forcer. J'avais envie d'elle depuis la dernière fois et j'allais craquer aujourd'hui.













J'ai fais attention à ne pas rouvrir la blessure à son poignet, ce qui est assez impossible puisque j'ai tenu ses deux mains au dessus de sa tête lorsque je m'enfoncais en elle.

Mais je crois que sa plaie s'est déjà renfermée puisque le sang n'en sort plus.

La prochaine fois qu'elle me ressort quelque chose du genre, c'est tout son corps que je vais mutiler. Elle peut me faire confiance là-dessus. J'en ai plus qu'assez de lui dire la même chose plusieurs fois.

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La suite dans ''Mon-32''

Ma  Partie 1.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant