Chapitre 24

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En disant cela, il descendit ses mains sur les hanches de la jeune femme, qui étouffa un hoquètement de surprise. Elle dégagea les mains baladeuses du jeune homme aussi sec, avec un peu de regrets.

« - N-non, il ne faut pas...

- Pourquoi ?

- Parce que c'est interdit ! s'exclama-t-elle, comme si il s'agissait d'une évidence.

- Et qui fixe les règles ?

- Tu sais aussi bien que moi que ce sont les démo... »

Elle fut coupée par les lèvres de Obito qui se posèrent sur les siennes. Elle soupira dans le baiser, mais ne se débattit pas. Elle laissa les mains d'Obito déviées sur les hanches, ses cuisses, son ventre, elle les aida même. Elle arrêta sa main quand elle arriva sur son sein.

« - Quoi ?

- Mais quoi, quoi ? Tu te rends compte de ce que tu fais ? On va mourir ! s'exclama-t-elle d'une voix forte.

- T/p, tu te souviens de ce que je t'ai dit ? »

Elle s'arrêta de crier et leva un sourcil.

« - Quand ça ?

- Quand on est mort pour la 1e fois. »

Elle ouvrit la bouche, puis se remémora cette affreuse scène Elle frissonna d'effroi.

« - S'il te plaît, Obito... Je ne veux pas revivre ça encore une fois, je ne suis pas sûre de le supporter...

-Je t'ai dit que même si je devrais renaître 1000 fois, je le ferais si c'est pour un jour te retrouver.

- Je sais mais...

- Alors pourquoi as-tu peur ?

- Parce que tu ne sais pas ce que moi j'endure au quotidien ! »

Il la regarda, le regard mi peiné mi confus. Elle continua :

« - Chaque nuits, à chaque fois que je ferme les yeux, je vois ton corps s'évaporer et ton regard... Un regard calme confiant, comme si tout était normal ! C'est peut-être comme ça que tu l'as vécu mais pour moi, c'était la chose la plus traumatisante de ma vie ! Si, pour ne plus jamais revivre ça, je dois renoncer à t'aimer, alors je le ferais ! Ce sera de toute façon moins douloureux que de voir l'amour de ma vie mourir devant moi ! » hurla-t-elle, les larmes aux yeux.

Il répondit :

« - C'est ton choix, et je le respecte. Mais il faut que tu saches quelque chose ; je n'étais pas calme. A vrai dire, j'était terrifié. Mais je ne voulais pas t'effrayer, c'est pourquoi j'ai réagi avec le plus de calme que j'avais. Mais moi aussi j'ai soufflet, tu n'es pas la seule.

- Je n'ai jamais prétendu le contraire ! Mais alors pourquoi tu veux qu'on recommence, si c'est pour mourir une fois encore !

T/p, je ne ferais rien sans ton accord. Je te respecte et t'aime trop pour ça. Mais dans tous les cas, je te promets qu'on trouvera un moyen de vaincre cette malédiction. Dans cette vie ou dans une autre. »

Elle le regarda s'éloigner, l'air peiné. Elle hésita.

« - Obito ?

- C'est moi-même.

-Je...

-Tu,

- J'ai...

- Allez, finis ta phrase !

- J'ai envie de toi... aussi. Je t'aime, j'ai peur, mais si tu me promets qu'on arrivera à se sortir de là, de cette malédiction, de cette peine, alors je te crois. »

Obito la regarda, avec un sourire... carnassier. Mais avant même qu'il ne fasse un pas vers elle, elle leva le doigt.

« - Mais j'aime Deidara.

- C'est faux...

Il rigola avant de se glisser à côté de T/p et de l'embrasser, avec plus d'ardeur que la première fois. Elle posa ses mains sur les joues d'Obito.

Il ouvrit et fit descendre sur ces épaules le long manteau de l'Akatsuki que portait la jeune femme, et fit également glisser la tunique qu'elle portait. Elle se retrouva en sous-vêtements. Vision qui excita énormément le jeune homme.

Sans prévenir, il prit T/p dans ses bras, et l'assit sur une pierre qui dépassait du mur, pile à sa hauteur. Il retira son soutien-gorge, et posa sa bouche sur le sein gauche de la jeune femme. Il l'entendit grommeler quelque chose.

« - Hum ?

- Tu as les mains affreusement froides...

- Je vais tacher de les réchauffer alors... »

Et en disant ça, il mit deux doigts dans... vous avez compris. Elle étouffa un gémissement.

« - Tu m'as dit que j'avais les mains froides, je les réchauffe, c'est ce que tu voulais, non ? »

Elle ne répondit pas à cette insolence à peine voilée, et se colla contre le jeune homme dans une position très sensuelle. Elle l'entendit déglutir avec peine. « J'ai gagné » pensa-t-elle. Il bougea soudain les doigts. Elle dut mordre le coup d'Obito pour ne pas crier.

« - T/p-chan tu fais mal !

- Désolé... »

Elle posa son front brûlant contre celui d'Obito et l'embrassa sans aucune retenue cette fois ci. Leur baiser n'était interrompu que par les gémissements de la jeune femme. Quand soudain...

« - T/p, Tobi, vous êtes là ? »

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JE PUE LA DAUBE QUAND IL FAUT ECRIRE DES LEMONS C'EST TROP MARRANT

la malédiction_ Deidara x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant