Chapitre 60

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{point de vue Pablo}

Je suis toujours entrain d'essayer d'ouvrir cette fichue porte, je n'y arrive pas. Ça m'énerve. Je n'y arrive pas je sais pas comment faire. J'ai peur pour Claudio. J'hurle pour qu'on me sorte de là, impossible.

Moi : « LAISSEZ-MOI SORTIR ! JE VEUX SORTIR ! »

J'ai très mal à la tête, et je sens que j'ai peu de forces. Je décide de me poser quelques minutes au sol, contre le mur.

{point de vue Sergio}

Nous arrivons bientôt à l'école militaire.

Claudio : « Merde! Regardez ! Il y a les militaires qui sont revenus! Ils ont des mitrailles ! Nous avec nos pauvres pistolets de gamins ont aura aucunes chance de les battre ! »

Moi : « On a pas le choix. Je dois sauver mon fils. Peut importe le prix de la bataille. »

Bogota : « Le p'tit a raison. Il faut qu'on trouve un moyen. »

Denver : « Appelez les flics ! Vous l'avez bien entendu ? Ils sont hors la loi! Et nous, on risque rien ! Le gouvernement finlandais nous aime ! C'est bien pour ça qu'on est pas des pestiférés ici! »

Martin : « Comment connais-tu le mot pestiféré débile  ? »

Denver : « Hé! J'ai quand même était à l'école moi! Pas longtemps mais... »

Moi : « FERMEZ LA! J'EN AI RIEN A FOUTRE DE VOS HISTOIRES! NON ON APPELLE PAS LA POLICE ! ON A JAMAIS EU BESOIN D'EUX! ET SI NOUS DEVONS FUIR, ON FUIRA ENCORE ! »

Marseille : « J'ai des mitraillettes chez moi aussi. Celle que j'avais pour la guerre. Appelons Mario qu'il aille les récupérer  et nous les ramène ! Elles sont dans le grenier et y a toutes les munitions. »

Helsinki : « Je le fais immédiatement ! »

Martin : « Pour une fois que je suis d'accord avec Denver... il vaudrai mieux appeler les flics. »

Moi : « Nous verrons! Faisons venir Mario! Attendons le ici! »

Nous attendons Mario, il arrive plus d'une demi-heure avec les armes. Nous nous équipons tous, puis, nous continuons la route à pied, nous faisons doucement. Claudio a l'air d'être habitué de tenir des armes et d'être comme nous, « délinquants, bandits ».

Moi : « faites plus doucement ! Marseille! Mario! »
Dis-je en chuchotant.

Marseille : « Rampons! »

Nous nous mettons couché au sol, et rampant vers les barbelés, nous sommes cachés dans les hautes herbes.

Mario : « Stop! On est bien placés. Tirons sur un maximum de militaires! À mon signal! »

Nous nous concentrons tous, visons tous les militaires, nous attendons le signal de Mario.

Mario : « un..... deux.... trois... FEU! »

Nous tirons tous en même temps, le maximum de militaires. Ces derniers répliquent à leur tour. Nous reculons. Nous en avons touchés beaucoup. La moitié et même plus.  Nous nous levons. Il n'en reste qu'un dizaine sur les 25 qu'il y avait. Nous tirons sur eux, mais, eux aussi. Bogota tombe au sol.

Moi : « Bogota ! »

Bogota : « ça va... ça va ! Je suis légèrement touché, elle m'a juste éraflé au bras. Je vais bien. Continuons ! »

Nous continuons à tirer et finissons le travail. Nous nous approchons.

Denver : « On va aller en taule ! On avait pour échapper à ça en quittant l'Espagne ! Mais là... on a tué ! »

~Tu es mon autre, l'heure de la vérité~ {TOME 3} {SERQUEL}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant