A La Croisée Du Présent Et Du Passé (TERMINER)

CHAPITRE 18

La tempête fait rage à l'extérieur, Matt et Paul rentrent et nourrissent les animaux et se sont assurés de rentrer le salon de jardin. Mais ils ne sont toujours pas revenu de chez Mickaël car je leur avais demandé s'il pouvait fermer et sécuriser la petite maison du garde.

- Sacha calme toi, voyons. Je suis sûr qu'ils ont dû rester chez Mickaël. Au lieu de tourner en rond comme une pie qui a envie de pondre, prend plutôt ton portable pour appeler Matt ou Paul s'il y a encore du réseau.

- Ouai Ouai tu as raison, je vais faire ça. Mais je ne suis vraiment pas tranquille, ça souffle vraiment beaucoup.

- Oh tu as rien vu encore cela peut être encore bien pire. Et quand je la vois blanchir je me dis que j'aurais mieux fait de me taire ou de tourner sept fois ma langue dans ma bouche. Au lieu de ça, je lui fais encore plus peur. Téléphone allez vas-y cela va te rassurer.

Bon, elle a réussi à avoir Paul car Matt a laissé son téléphone dans sa chambre. Et elle est un peu plus rassurée.

- Allez viens, suis moi dis je en lui prenant la main afin de la réconforter.
Nous allons nous mettre devant la cheminée, tu n'as rien à craindre les fenêtres sont sécurisées et les volets sont fermés mais à peine ai-je terminé ma phrase qu'une coupure d'électricité fait place. Et là je sent ma belle tremblante.
- Approche lui dis je calmement, viens Sacha.
Et je la place sur mes genoux tout en lui caressant le dos. Ne t'inquiète pas, il faut juste le temps au générateur de s'enclencher et la lumière reviendra. Et je prends son visage dans le creux de mes mains, je lui caresse doucement et tendrement la joue quand je sens son souffle tiède sur mon visage. Je capture ses lèvres dans un baiser plein de promesse. Quand ses mains quant à elles se promènent sur mon torse, elle passe la barrière de mes lèvres pour que nos langues se mêlent dans une danse lente. Mon désir s'intensifie un peu plus, ainsi que le sien quand je l'entends gémir dans le creux de mon oreille alors que je suis partie à la decouverte de son cou, elle penche la tête pour me laisser libre accés, je suçotte donc sa peau délicate avec ce parfum subtil de vanille qui s'en échappe puis je lui mordille délicatement son lob et là encore un gémissement sensuel s'échappe de ses lèvres, mon dieu mais qu'à fait cette femme pour que je ressente autant de passion pour elle. Je continue de lui dévorer le cou tout en laissant descendre mes mains pour partir à la découverte de sa poitrine déjà tendue sous son haut. Elle est très réceptive ce qui accentue encore plus mon désir et mon sexe aussi réagi à cette passion qui nous submerge tout les deux. Elle caresse celui-ci délicatement à travers mon jean. Du bout des doigts avec tellement de douceur que mon désir grimpe en flèche si elle continue je crois bien que je vais partir dans mon caleçon comme un collégien. Je grogne de plaisir, je n'ai jamais ressenti autant de sensation seulement à travers mon pantalon, elle est la première pour laquelle mon corps a une telle réaction .

- Sacha hum arrête car si tu continues je crois que je vais finir par partir dans mon caleçon.

Elle se redresse doucement et pose son regard dans le mien. J'y vois autant de désir que moi j'en ai pour elle. Elle m'embrasse et s'en un mot, elle se lève. Elle prend l'initiative de me guider vers le salon. Elle prend un plaid dans le coffre et place quelques coussins dessus puis toujours s'en un mot me prend par dessous les aisselles pour me placer face au feu sur la couverture puis elle s'agenouille sur mes genoux et ne dit toujours rien. Je peux lire dans son regard, toute cette tension et cette passion qui la submerge. Elle prend alors possession de mes lèvres tout en retirant mon t-shirt et là je sais que si elle continue, il ne pourra pas y avoir de retour car je ne pourrais en aucun cas m'arrêter. Alors j'essaie de capturer son regard et ce que j'y vois me laisse sans voix.

Elle s'écarte et se lève, elle fait tomber sa tunique et je reste ébahie devant tant de beauté. Sa peau est encore hâlée par le soleil ce qui fait ressortir la blancheur de ses seins qui se trouvent niché dans un soutien gorge à dentelle transparente écru, on peut distinguer la pointe de ses seins tendues par le désir. Je reste là sans pouvoir lever le moindre petit doigt devant tant de beauté alors elle fait glisser sa jupe et là je ne peux rester insensible à tant de beauté. J'attrape ses hanches et la rapproche de moi. Je caresse délicatement ses cuisses puis une de mes mains prend possession d'une de ses fesses que je malaxe tendrement, je fais descendre son string et dirige ma tête vers son intimité. J'ai envie de la goûter, de lui faire partager tout ce qui m'anime, je veux lui donner son premier orgasme, être le premier. Je caresse donc son clitoris avec ma langue et pénètre un doigt tout en la dégustant puis un deuxième, elle prend entre ses mains mes cheveux et tire dessus. Elle gémit de plus en plus et tremble le plaisir grandissant et quand je l'entend murmurer mon prénom, je suis le plus heureux des hommes. Elle se penche et prend possession de mes lèvres mais quand ses mains tremblantes partent à l'assaut de mon jean, je gémis moi aussi juste à l'effleurement de sa poitrine tendu sur mon torse. Elle déboutonne mon pantalon et glisse délicatement ses doigts dans mon caleçon pour aller à la rencontre de mon sexe déjà bien enhardie par ma belle. J'essaie à la force de mes bras de me soulever pour qu'elle puisse baisser mon jean et mon caleçon car mon sexe ne tient plus dans mon caleçon. Je n'attends qu'une chose être en elle et sentir la chaleur de son antre intérieur. Nous n'avons besoin d'aucun mot, seuls nos regards suffisent et sans un mot, elle maide à baisser les derniers remparts qui empêchent nos intimités de se rencontrer pour la première fois. Alors qu'elle les a baissés, je vois qu'elle ne peut s'empêcher de rougir à la vue de mon membre dressé devant elle. Et un Oh accompagne son regard.

- Tu es sûr de toi. Il n'y aura aucun retour possible lui dis-je.

- Oui j'en suis certaine. Mais il va falloir que tu me guides.

Et je prends conscience que moi aussi je ne veux pas que l'on arrête, je l'aide alors à s'empaller sur mon sexe doucement. Je la maintiens afin de la laisser s'adapter, elle est étroite, je la regarde le temps que la douleur disparaisse et quand elle me caresse tendrement la joue de sa main, elle commence alors à bouger son bassin au-dessus de moi, pour une première fois je peux dire qu'elle se débrouille très bien même mieux que certaines de mes autres partenaires et ce que je veux à ce moment c'est être le seul homme à ressentir ça. Elle sera et restera la seule femme à partir d'aujourd'hui à gémir pour moi et moi pour elle. Quand j'entend sa respiration s'accélérer et qu'elle se met à trembler signe qu'elle va bientôt atteindre l'orgasme, son intimité se ressert plus sur mon sexe ce qui fait que nous atteignons tous les deux cette vague de plaisir ensemble. Nous restons tous les deux dans les bras l'un de l'autre sans ne rien dire et profitant de ce plaisir qui nous a inondé. Jamais je n'ai ressenti un tel orgasme, une vague a déferlé dans tout mon corps, elle a réussi à faire tomber mes derniers remparts vers l'amour.

J'attrape alors la couverture qui se trouve sur le canapé pour nous couvrir et l'embrasse. Mais ce baiser est pour moi la promesse, qu'un jour elle sera ma femme et la mère de mes enfants et cela j'en suis sûr et certain.

- Tu m'as fait le plus beau des cadeaux qu'un homme puisse recevoir d'une femme Sacha. Et je veux que tu saches que je veux construire notre futur ensemble. Peut être que cela va trop vite pour toi mais moi je n'ai jamais ressenti autant de plaisir et de désir pour une femme avant toi mon coeur, tu as su réanimer la flamme que j'avais perdu et ce depuis des années.

- Chut me dit elle en plaçant un doigt sur mes lèvres. Profitons de ce moment pour la suite nous laisserons faire les choses Mick. Allez viens je t'emmène avec moi prendre une douche, afin de nous nettoyer je t'ai mis du sang partout mon coeur.

- Tous... tous les deux me demande t-il pas très sûr de lui.

- Bin oui tous les deux, tu y vois un inconvénient.

- Oh non je suis tellement heureux mon coeur. Depuis le temps que j'attends ça.