Il fallait que ça arrive alors me voilà à mon tour prise dans le jeu des préférences ^^ J'espère que celles-ci vous plairont. Il y a plus de détails dans le premier chapitre alors bienvenue et bonne lecture !
💥 Katsuki Bakugo 💥 : Vous vouliez vous entraîner mais on vous avait refusé l'accès aux gymnases sous prétexte qu'il y avait de l'entretient à faire. N'abandonnant pas pour autant, vous aviez pris la direction de la forêt qui borde le lycée et aviez commencé votre duel. Katsuki était agacé car dans la nature il ne pouvait pas pleinement utiliser son alter sans prendre le risque de détériorer l'environnement. Donc il mettait beaucoup plus de hargne dans ses coups, ce qui le rendait plus prévisible. Voyant arriver son poing, tu détournas le coup de la paume de la main avant de lui envoyer une impulsion électrique. Son bras retomba, inerte. Il s'écarta de toi d'un saut. « Va crever avec cette foutue technique ! - Le prochain coup sera pour ta jambe gauche, le narguas-tu. » Il se jeta à nouveau sur toi, faisant crépiter sa main valide à quelques centimètres de ton visage. Puis, comme tu t'y attendais, il projeta son genoux droit vers ton ventre. Tu l'esquivas d'un simple pas sur le côté et profita qu'il n'ait qu'un seul appui pour effleurer sa cuisse, l'immobilisant à son tour. Il se recula, mais trop tard, et il tomba accroupi. Tu te plantas en face de lui, satisfaite de l'avoir eu. « Aller ! Abandonne pour ce soir. Je suis toujours trop rapide pour toi. » Tu vis un léger soubresaut secouer ses épaules. Il tremble ? Mais tu n'eus pas de temps de te poser plus de question : il prit appui sur ses deux jambes pour te sauter dessus et te renverser au sol. Merde ! J'étais sûre de l'avoir eu ! À califourchon sur ton abdomen, les genoux appuyés sur tes poignets, il t'empêchait de te débattre. « Tu restes trop sûre de toi par moment, se vengea-t-il avec un sourire sarcastique » Tu tentas brièvement de le repousser mais en terme de force brute, tu ne faisais clairement pas le poids. Alors tu laissas retomber tes mains et ta tête dans l'herbe, en soupirant, les yeux fermés de dépit. « C'est bon t'as gagné. » Tu sentis la pression sur tes bras disparaître mais il était toujours au dessus de toi. Tu rouvris les yeux pour lui trouver une expression bizarre sur le visage. « Tu peux te relever ? J'ai admis ma défaite, ça devrait te satisfaire, non ? » Il resta étrangement silencieux, ce qui ne te rassura pas. J'lui ai quand même pas griller le peu de neurones qu'il lui reste ? Il bougea enfin, mais pas pour se relever. Tu ne compris pas ce qu'il essayait de faire jusqu'à ce que ses lèvres entrent en contact avec les tiennes. Surprise, tu ne réagis pas. Quand il s'écarta, il resta une seconde immobile avant de soudainement se relever, attraper son sac et partir. Tu ne pus que l'observer s'éloigner, redressée sur tes coudes, sans savoir quoi faire.
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👻 Fumikage Tokoyami 👻 : Comment dire... Entre des lèvres et un bec, un baiser, ce n'est pas trop envisageable. Alors, on va plutôt partir sur la première fois où il t'a prise dans ses bras. Tout, cette semaine là, semblait avoir été fait pour te stresser. Tu avais eu des problème de plomberie à ton studio (tes parents n'habitant pas en ville tu louais un petit logement pour pouvoir suivre les cours à UA) et le réparateur ne pouvait pas passer avant le week-end. Ton ordinateur avait décidé de te lâcher, effaçant par la même la majorité de tes recherches pour un devoir oral. Et pour couronner le tout, ce midi là, un imbécile t'avait renversé un jus de fruits sur l'uniforme. Bon, il n'avait pas fait exprès et en comparaison au reste, ce dernier point était minime. Mais ça avait été une goutte de trop dans ton vase et après t'être excusée auprès de tes amis, tu étais sortie du réfectoire non pas pour laver la tâche mais pour aller souffler derrière le bâtiment, à l'abri des regards. Mais tu n'y tenais plus alors tu laissas les larmes te monter jusqu'aux yeux puis couler sur tes joues alors que ton corps était prit de soubresauts. T'étant recroquevillée, tu ne vis pas approcher Fumikage. « Il s'est passé quelque chose de grave ? » Tu relevas soudainement la tête, un peu honteuse de te retrouver dans cet état devant lui. Tu essuyas brièvement tes larmes avant de lui sourire : « Non, tout va bien. » Mais il ne fut pas dupe et, avec hésitation, il vint passer ses bras autour de tes épaules. « Si tu as des problèmes, tu peux m'en parler. » Tu laissas ton front reposer sur sa propre épaule. « Ça va aller. Il fallait juste que ça sorte. Mais merci. »
