Et si c'était toi - Tome 1

Chapitre 46

Bonjour à tous mes lecteurs ! 😊

Premièrement, je tiens à vous remercier de suivre mon histoire. J'ai mis plus de temps pour poster les nouveaux chapitres parce que j'ai apporté des modifications à mes dialogues et corrigé le texte en entier. Ne soyez donc pas surpris de voir une petite différence. 

Je tiens également à dédicacer ce chapitre à une amie qui fait partie de ma vie depuis bien des années, Stéphanie, qui vient d'embarquer dans l'histoire et qui tout comme vous, attend avec impatience la suite ! 💕

Sur ce, bonne lecture  📖

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Les rayons du soleil transpercent au travers de la fenêtre de ma chambre et viennent timidement caresser la peau de mon visage. J'étire chaque muscle de mon corps toujours engourdi de ma douce nuit de sommeil, quand les mains de Dereck viennent s'enrouler autour de ma taille, me pressant contre lui, ou plutôt contre son érection matinale, me présageant un agréable réveil.

Un petit sourire malicieux naît sur mon visage et je commence à frotter mes fesses rebondies sur son membre, lui soutirant un grognement.

— Bon matin ma belle ! murmure-t-il à mon oreille en enfonçant délicatement sa main dans ma hanche pour se presser un peu plus contre moi.

— Bon matin sergent !

— Ça faisait longtemps que tu ne me l'avais pas dite celle-là, dit-il d'un ton étonné.

— J'imagine que puisque tu es au garde à vous j'en ai conclu que c'était le moment idéal pour ressortir ce surnom, réponds-je en riant.

Il me tourne sur le dos et se penche au-dessus de moi appuyer sur son avant-bras. Nos yeux se figent ensemble et instantanément ma respiration s'accentue. Je relève une jambe et soulève ma tête pour l'embrasser, quand je sens sa main libre effleurer la peau de ma cuisse faisant frissonner l'entièreté de mon corps. Ses doigts glissent doucement le long de celle-ci montant jusqu'à mon genou surélevé et redescendent d'un rythme lent.

— C'est difficile de ne pas l'être quand tu es allongé près de moi en petite culotte, affirme-t-il quand nos lèvres finissent par s'éloigner. D'autant plus que ça fait un moment que je n'ai pas pu profiter de ce joli corps, ajoute-t-il en m'examinant.

— Tu seras heureux d'apprendre que je rêve que tu possèdes mon corps depuis cinq jours déjà, dis-je en le fixant de façon sensuelle.

Même si j'avais voulu ajouter quelque chose, je ne l'aurais pas pu. À l'instant où mes paroles ont quittée ma bouche, il s'est élancé au-dessus de moi et d'une vitesse folle il a retiré ma petite culotte, se retrouvant rapidement à l'intérieur de moi, ses lèvres jointes aux miennes, empêchant mes gémissements de résonner dans la pièce.

Une fois de plus, je sais que je devrais interrompre nos ébats pour le raisonner afin qu'il mette un préservatif, mais la douceur de son sexe à l'intérieur de moi me fait vite perdre la tête.

Ses coups de bassin sont d'une sensualité ahurissante, me démontrant le soulagement qu'il ressent d'enfin être avec moi, d'enfin pouvoir me toucher.

Mes jambes enroulées autour de sa taille et les doigts enfoncés dans ses fesses musclées, je tente de lui faire comprendre que j'ai un besoin incessant de le sentir en profondeur. Pourtant, même si chacun de ses déhanchements est euphoriquement exquis, j'ai l'impression d'en vouloir plus.

— Plus fort ! soufflé-je d'une voix lascive.

Il se redresse un peu et me fixe de ses yeux bleus électrisants.