Dans les Limbes de la Pologne.

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Freya, Côme et Marin continuait leur chemin dans ce petit village. Les habitants paraissait coupé du monde extérieur. Il n'y avait ni technologie ni vie social améliorer. Le monde environnant semblait s'être figé dans le temps. Une jeune maman lavait son linge dans un lavoir. Elle inondait de mousse ces vêtements moyenâgeux. Lentement elle remonta son pantalon de l'eau. Freya était inquiète. Comment ils pouvaient revenir en France assez vite? Son téléphone retentit. C'était un message de son père.
*La Blockchain a été piraté. Ils vous recherche. Mes données me disent que vous êtes en Pologne. Que faites vous la bas ?
Freya répondit le plus détaché possible à son père.
*Oui on est là-bas. Tu peux nous dire qui était ses hommes ?
Freya dû attendre quelques minutes avant que son père lui réponde. C'était un message concis et clair.
*Ces hommes ne font pas partie des forces de l'ordre. Il est possible qu'ils s'intéressent à vous d'une façon pas saine.
*Merci. On rentre dès que possible.
Freya raconta le contenu de cette dernière discussion avec Côme et Marin. Les deux semblaient déconcertés. Des hommes armés qui s'interrogent à eux ? Tous ça était très louche et inquiétant.

- Au fait, pourquoi tu t'es jeté sur moi pour me protéger ? Demanda Freya à Marin. Elle se posait la question depuis qu'il c'était « sacrifier ».

- Je ne suis pas jeté consciemment. C'était un acte de bravoure, je sais, mais à ce moment là c'était comme ci mon corps faisait ce qu'il voulait.

- Donc tu dit que tu m'as sauvé sans le faire exprès?

- Oui c'est ça. Mais bon maintenant je suis de retour et je ne sais par quel miracle mais je suis super en forme. Je n'ai même plus l'impact des balles sur mon ventre.

Ils étaient à présent dans un grand jardin. Au centre de celui-ci s'étendait de toutes sa hauteur, les branches d'un chêne millénaire. Ses feuilles étaient vertes et la photosynthèse sur celle-ci semblait les faire s'illuminer. Côme s'assit dans l'herbe et contempla le ciel.

- Je peux voir ton ventre pour voir comment tu as guéri ? Demanda Freya.

Marin fit un signe de tête en guise d'acceptation et releva son teeshirt. Il laissa dévoila des beaux abdominaux sculptés et tracé. Le béton armé de ses huit briques était encore recouvert de sang. Freya rougis en les voyant et détourna la tête vers Côme qui était gêné. Freya lui mit un coup de pied pour le faire revenir à la réalité.

- C'est bon range ta plastique. Dit Freya qui sentait ses joues qui brûlait.

Marin fit redescendre son teeshirt. « Putain la vache ! Les abdos ! »hurlait intérieurement Freya. « On a bien fais de le ressusciter car je serai passé à côté de ça sinon. ». Côme avait fini par s'allonger dans l'herbe. Le ciel était d'un bleu éclatant. Freya était exaspérée par le comportement de Côme. Énervée, elle lui remit un puissant coup de pied dans les côtes.

- Aïe ! T'es malade ou quoi?! Cria t'il de douleur.

- Tu t'es cru en club Med?! C'est pas les vacances. Relève toi et ramène nous la bas, maintenant !

- Je sais pas comment faire car je ne sais pas comment je l'ai fait précédemment. Dit il en se relevant du sol, les côtés meurtris.

- Eh bien trouvé ou plus vite !

Freya aida son amie en lui prenant la main pour faire guise d'appui. Il était 11 heure et demi passé. Freya regarda au loin. Elle cherchait Marin. Aucune trace de lui.

- Côme il est où ?

- Je sais pas je l'ai vue descendre sur l'autre côté de l'arbre.

Freya et Côme s'avancèrent vers cette fameux arbre. Plus ils s'avançaient et plus ils leurs semblaient gigantesques et énormes. Ils firent le tour de celui-ci et regardèrent au loin. En bas de la pente, un vieil entrepôt s'étendait de toutes sa longueur sur les champs rasés. Ils regardèrent attentivement les remparts en barbelés délabrés qui devaient empêcher les intrusions. Côme commença la descente et Freya suivi. Avec le rapprochement, ils remarquèrent que le bâtiment était considérablement en débris. Ils faisaient contrastes et ne s'alliaient pas dans la même idéologie du village. Au dessus du bâtiment, les nuages criaient leurs mécontentement en bombardant de rugissements le ciel.

- On va se prendre un orage. On ne devrais pas rester ça peux être dangereux. Affirma Côme.

- C'est pas le moment de faire la mouillette. Joue un peu le rôle du mec actif des fois. Dit elle en rigolant.

Freya avait un sourire radieux. Il pourrait redonner le sourire à quelqu'un qui n'a pas connu le bonheur depuis longtemps. Un rire magique aurait redonné la vie au Christ. Un plissement d'œil qui serait même visible par un aveugle. Ils rentrèrent dans les décombres. Une vieil odeur de moisissure s'élevait
dans les vapeurs humides de l'air ambiant. Le ciel grondait de plus en plus sa colère. Dans le bâtiment des lits d'hôpitaux étaient longer le long de certaines pièces. Des cadavres de petits rongeurs et oiseaux s'allongeaient délibérément sur le sol. Ce sol ou s'étendait une épaisse couche de mousse. C'était un vrai nid à champignons et bactéries. Plus ils exploraient l'entrepôt et plus un malaise s'installait. Les murs dégageaient une aura malfaisante et corrompue. Ce qui semblait être un hôpital de première vue leur parvenaient de plus en un asile ou un laboratoire de test. Soit des gens y avait été guéri soit était mort entre ses murs. Ils s'approchaient dans la pièce centrale. C'était une pièce circulaire où reposait de gros tubes en verre et d'énormes turbines. Le plafond était complètement troué et laissait transparaître un ciel plus noir que jamais.

C'est là que tous bascula. Ce se fut si soudainement que le temps semblait s'être figé. Freya se retourna brusquement. Elle avait entendu et surtout senti la présence de quelqu'un d'autre. Cette présence n'était pas rassurante du tout. Marin les rejoignit dans le plus grand des calmes.

- C'est toi qui a fait se bruit ?

- Quel bruit ? Je suis arrivé il y'a avait un silence à faire pâlir la mort.

Freya se retourna de nouveau. Elle était persuadée qu'il y avait quelqu'un. Elle essaya d'oublier, ce disant qu'elle c'était son imagination. Mais avec son père qui était rempli d'histoire paranormal, elle savait que sentait pas très bon. Dans ce plus grand silence, une fiole remplie d'un précipité s'écroula sur le sol et se brisa. Freya avait raison. Quelqu'un ou quelque chose était là.

- Je disait quoi ?

- C'est peut-être le vent? Suggéras Côme. C'était un trouillard mais il était rationnel.

- C'est souvent celui qui veut tout rationner qui finit par crever le premier. Répondit Freya.

- Et surtout quand ils sont gay. Rajouta Marin.

- Eh ! Oh ! C'est mon jugement là au juste. Non ?! Alors on verra bien qui mourra en premier. Surtout que si c'est moi t'es mal barré ma cocotte car tu va devoir m'accompagner.

- Comment ça ? Demanda Marin qui jubilait de la situation.

Marin était quelqu'un qui n'avait pas connu la désolations ni même tous les sentiments néfastes que peuvent connaître les simples mortelles. Non il avait été chouchoutté et allaité par des parents protecteur. Il n'était pas pour autant quelqu'un d'hautain ni de mal polie. Surtout qu'il avait toujours eu un certain charme pour assurer une protection sur son égo. C'est cheveux brun et ses yeux vairons lui avait toujours permis d'être apprécié physiquement par les autres. De plus qu'il fait tout en sorte pour compléter son corp déjà bien trop parfait.

Le bruit revint précipitamment er renversa sur son passage, en un coup de vent, deux autres fioles. Jamais deux sans trois. Et la troisième ne se fit pas attendre. La chose fit s'écrouler une planche de conte plaquée. Ce dernier cachait de toute sa largeur une porte fermée d'un cadenas. Ils s'avancèrent vers celle-ci.

- Vous pensez qu'il y'a quoi derrière ? Demanda Marin, interrogateur.

- Je sais pas mais c'est pas une bonne idée. Dit Côme.

Freya toucha le cadenas qui se déverrouilla d'un simple touché.

- Arrête fais pas ça ! Tu va invoquer un esprit ou démon. Un truc qui n'ai pas bon pour notre matricule.

- Reculer ! S'exclamât Freya.

La porte poussait et ne voulait plus tenir sur ses gongs. Les trois avaient fait demi tour rapidement. Une cascade de cadavres humains avait inondé l'es sol de la pièce de la pièce circulaire. Une odeur putride s'évapora des corp en décomposition.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant