Lentement, les encadrements blanchâtres d'un carrelage apparurent. Dans l'air baignait une douce odeur de Morphine. Côme écarquilla les yeux, étendu que le sol il se releva. À côté de lui il entendait le cliquetis métallique d'un brancard. Une infirmière était là, à côté de lui, elle prenait soin de lui. Elle avait sur sa blouse blanche son prénom d'inscrit. Marina DELMAR. Elle était brune, avait les yeux d'un noir éclatant et un teint de porcelaine.
- Bonjour, Monsieur. Comment aller vous ? Lui demanda t'elle en prenant son pouls. Vous êtes tomber dans le couloir soudainement. Avez vous bu ou pris quelques choses qui auraient pu...
- Non. Je n'ai rien pris. Je fais quoi dans cette hôpital ? Répondit Come, perturbé.
- Vous ne vous souvenez pas pourquoi vous veniez ici ?
- Non, pas vraiment. A vrai dire je crois que c'est pas voulue. C'est quelle hôpital ?
- Vous êtes à L'hôpital Saint André. Tous va bien vous êtes sur ?
- Oui. Très bien. J'aimerais savoir si vous pouviez m'indiquer la chambre 304 au 3 eme étage, s'il vous plaît.
- Je peux. Vous connaissez le patient ?
- Oui. C'est une vieille connaissance.
Côme se releva complètement et suivi de près l'infirmerie qui ne le lâchait pas d'un fil. Elle restait au près de lui comme un vigile. Côme regardâmes alentours. Il y'avait de tous ici. Du cancéreux aux accidents de la route. Pour tous ceux qui été là aujourd'hui la vie avait joué son rôle préféré : la pute sans cœur qui prend s'en redonner. La vie était injuste. C'était les jeunes qui souffraient du pire. L'exemple y été parfait. Dans la salle d'attente il y'avait une mere avec son enfant, une fille. La petite avait le crâne rasé, sûrement a cause de toute les chimiothérapies qu'elle avait dû effectuer. Son teint était pâle mais, pour toute fille de 10 ans, elle avait le courage d'une personne de 50 ans. À côté d'elle, une petite mamie était assise. Elle été usé par le temps. Les rides de son visage avaient tracé des tranchées sinueuses. Son plus grand rêve était de rendre ce que Dieu lui avait gentiment louer : la vie. Elle rêvait que 83 ans s'achève et qu'elle puissent enfin reposer en paix. Mais il fallait que le cancer choisisse la petite fille. Il fallait la faire souffrir pendant qu'elle est jeune au lieu de la soulager quand elle sera vieille.
Ils arrivèrent enfin devant la chambre 304. Sur la porte, une feuille avait été glissée dans une pochette en plastique. Axhell HILDA, 30 ans. Côme regarda par le vasistas. Un lit était relié à un cardiogramme. Sur la gauche, une table de chevet était remplie d'offrandes en tous genres. Côme rentra dans la chambre. Sur le lit, un homme y été allongé. L'homme respirait calmement. Son bras avait été muni d'une perfusion. Il était sous assistance respiratoire et la nourriture lui été directement offert par les tubes blancs opaques de la perfusion. Côme regarda, c'était un sosie parfait de lui, en plus vieux de quelques années et en bien plus maigre. Ses pommettes c'était creuser et ses cernes été devenu naturel. Côme en profita pour regarder les cadeaux laisser sur la table de chevet. C'était des cartes postales en tous genres. Sur quelqu'une d'entres elles étaient accompagnées de petits mots. « En espérant te revoir » « Pour ne plus jamais t'oublier » « De la part de ta filleule, Julia ».
Il reposa la carte postale et regarda le vase. Il y avait dedans des fleurs sublimes. Des lys noirs. Côme en prit une et la senti. Son doux parfum était réconfortant et apaisant. Puis, le bruit sourd de quelqu'un qui toque à la porte le fit revenir soudainement.
- Je peux peut-être vous aider, monsieur.
Cette voix, cette voix il l'a connaissait. Il l'entendait tous les jours, que soit au téléphone ou en face à face. Côme se retourna alors vers la femme.
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Ultimate agnosticism. Tome 1.
ParanormalL'univers façonne la vie quand l'anti matière déforme notre réalité. Freya est une jeune femme de 19 ans qui accompagne sa vie de façon rhythmique. Sauf que les miracles n'arrivent pas sans conséquences. Elle va devoir faire face à son cœur quand il...