Sous pente de la damnation.

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L'enfer n'est que damnation quand ce beau monde c'est où va l'avenir. On regrette puis on repars à zéro. La mise à jour humaine c'est saturé. On est à présent 3 jours après, les journaux médiatiques se sont emparés du phénomène. Depuis trois jours les médias tournent en boucle l'hôpital, le parking et la prise du lycée Jules Ferry. Aussitôt, Freya et Côme, été devenu pour certains les anges de Dieu, pour d'autres l'incarnation de Satan. Freya ne sortait plus de chez elle. Toute la journée, une foule de journalistes était accoudé à la barrière devant leur maison. La fuite avait été transmise par un homme au placer dans l'échelle politique. Côme subissait les injures de ces parents adoptifs. Ils craignaient et détestaient leurs fils pour ce qu'il été devenu. Côme s'en moquait. Il connaissait très bien maintenant cette sensation de rejet, il l'avait apprise et savait maintenant comment s'en débarrasser. C'était à présent qu'un pincement incertain dans son cœur. Ce même cœur qui avançait maladroitement vers un futur incertain. Tandis que Côme était insulté, Freya était aidé et soutenu par son père. Lui ne l'a voyait pas en monstre. Serait-ce l'amour que l'on devrait recevoir d'un père aimant ? Les infos tournaient en un cycle persistant. Entre paradis ou enfer, la colère ou la vénération, la manipulation ou l'information. Il arrivait à Côme de se servir de ses pouvoirs pour allez voir Freya. Mais il ressentait de plus en plus le besoin de s'isoler. Freya comptait beaucoup pour lui mais, voir que son père pourrait tous détruire pour que tous redevienne comme avant le dévasté. Il voyait cette amour qui lui affligeait de la jalousie. Côme était assis sur son lit à présent. Il regardait le plafond de ses yeux. Puis un petit Bip retentit dans sa chambre. Il regarda son téléphone.

« Marin Sobra a demandé à vous suivre ».

Côme hésita. Il l'accepta finalement l'invitation. Le profil Instagram de Marin était narcissique. Puis il remarqua que Marin était en train de lui écrire. C'était un message qui n'en finissait pas. Marin avait l'air de lui écrire un roman. Mais Côme ne voulais pas de pitié ni même de « je suis navré ».

Puis le silence se brisa sous le son intense de sa sonnerie. Le cœur de Côme stressa. Il ouvrit le message. Il était court et concis.

« Tu veux venir à l'appart se soir? J'ai quelques chose à te demander. »

« Oui. Je vais chercher Freya et on arrive. »

« Non. Viens sans Freya. C'est important. Tu ne lui diras pas, hein? »

Côme hésita. Il savait que de toute façon Freya finirait par être au courant. Il répondît oui. Avec le temps à appris à se défendre à ce genre de message. « Faire croire à l'autre mec qu'on n'ai de se côté pour puiser le plus d'info et le renverser ». Pensa Côme. Il était stressé à l'idée d'aller voir Marin. Mais le temps avançai et il été l'heure pour lui de partir. Côme se téléporte chez Marin. Il ne savait pas où il habitait mais il se rappellait de sa tête. Et c'était largement suffisant pour le trouver. Il arriva dans un appartement. Il puait le luxe à plein nez. Côme regarda au alentours. Pas de traces de Marin. Puis il entendit un bruit d'eau qui coule. L'eau s'éteignît et la porte de la salle de bain s'ouvrît. C'était Marin. Il cacher son sexe d'une serviette.

- Installe toi sur le canapé j'arrive.

Puis il retourna se préparer. Côme s'installa alors sur le canapé. Il était très confortable. L'attente était longue. Puis Marin ressorti de la salle bain en tenue de jogging.

- Tu veux boire un truc ?

- Pourquoi tu voulais me voir? Et pas Freya.

- Euh... Je voulais juste te voir toi, c'est tous. Puis je verrais Freya après. Dit il timidement. J'ai du coca, de la bière ou de l'eau.

Côme réfléchis. Pas d'alcool pour garder au maximum ces réflexes. Pas d'eau sa rouille.

- Du coca ça fera l'affaire.

Marine revint avec sa cannette et son sa bière. Il s'assit à côté de lui et déposa sur la table basse un bol de chips.

- C'est celle au paprikas c'est mes préférés. Dit Marin. T'aime ou pas?

- Si. Si j'aime. Et pourquoi tu voulais t'en me voir?

- J'avais juste envie de parlé c'est tous.

- Raison de plus: à trois il y aurait eu plus de dialogue.

- oui. Mais je voulais te voir toi. Dit il en prenant quelques chips.

- C'est quoi, un rancard ? Car si c'est ça sache que je suis pas intéressé par un mec.

- Non! C'est juste une soirée entre pote. Tu sais le genre de soirée où on fume et on joue à des jeux?

- Ce même genre de soirée où ça part en branlette entre mec?!

- Maïs de quoi tu parles. Dit il en rigolant. Je suis pas ce genre de pote là moi. Nan juste j'ai trouvé ça mignon le fais que vous m'avez ranimé. J'ai appris tu sais depuis à m'en servir.

- Ok. Mais c'était normal. Il n'y avait rien de personnel, Marin.

- J'ai tous vue en vous. Surtout en toi.

Côme mangea dès chips sous un air gêné.

- Comment ça ?!

- Cette après-midi, j'ai vue en toi l'amour que tu portes à ces hommes. Tous ce que tu sais que tu ne vivras jamais. Ne t'ai tu jamais arrêté et à regarder les couples hétérosexuels dans la rues en te disant que tu aimerais l'être toi aussi. Que ta vie aurait été plus simple. Je le sais car j'ai vue ton passé. Et j'ai ressenti la souffrance que ta pu éprouvé. Ça m'a fais changer d'avis sur l'homophobie. C'est un art abrutissant qui au fond ne fais que de tuer a petit feu. Je l'étais moi même avant. Mais tu m'as fais changer.

- Tes en train de me dire que t'étais homophobe?!

- Oui. Mais cette après-midi j'ai subi les coups que t'infligeait t'es camarade de classe en primaire car tu étais différent. J'ai été blessé par la force que tu as entrepris pour cacher à ta famille adoptive que était gay. J'ai ressenti l'harcèlement scolaire que tu subissais par ton prof. Ce même professeur qui ne t'aimais pour qui toi tu aimais et qui t'a mis un échec scolaire. Je pense qu'un homophobe est juste quelqu'un qui ne sais pas ce que sait de souffrir. T'es pas d'accord ?

- Si. Mais si je suis là pour que tu me fasses une confidence autant partir.

- Je te fais pas une confidence car je me livre à toi. J'ai jamais ressenti cette sensation avant de te connaître. Tu es merveilleux Côme. Et rien que le fais de tenir un peu plus en vie chaque et un exploit divin. Même hercule aurait abandonné cette charge et se serait donné des ailes. Mais si toi tu es encore là après ces 20 dernière années de rejet, d'insultes, d'abandon, je pense que je vais finir par croire en Dieu. Car tu es un miracle. Je sais pas comment le dire mais... je ressens cette sensation que je pensais impossible à ressentir avant. L'attirance physique avec un grand A d'amour.

Côme était extrêmement gêné. Il contemplais sa canette. Marin lui pris la main droite.

- Attend ta du paprika sur le doigt.

Côme le regarda dans les yeux. Marin baissa sa tête vers lui et suça son doigts pour lui enlever l'arôme. Côme était très gêné. Marin venait de lui sucer le doigt. Côme fixa les chips puis regarda à nouveau Marin. Il prit une chips et frotta son doigts sous le regard surpris de Marin. Puis Côme y déposa la poudre sur ces lèvres. Marin hésita. Puis après quelques instant, il finit pas s'avancer vers Côme et l'embrassa. Le baiser était doux. Côme mis ses mains sur les joues de Marin puis tous s'accélérât...

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant