Ultimate agnosticism. Tome 1.

Appel du jeune premier.

3 heures plus tard.

Freya était installé sur le canapé. Côme était assis u dessus d'elle en train d'asperger son front d'eau. Un gant humide dans la main, il retirait ses petits cheveux pour ne pas qu'il colle sur sa peau. Lentement elle reprit possession de son esprit. Elle était là mais, curieusement, écoutai les alentours de la pièce. Elle entendait 4 voix d'homme. Son père se faisait coulé un énièmes café. Il avait des cernes dans le creux dans ses yeux. Pale et triste comme un cadavre. De nouveau il se rendait malade pour quelqu'un d'autre que lui. Côme discutais avec Marin en aspergeant son front.

- ... fais déjà trois heures on devrait appeler les secours. Dit Marin, calmement.

- Pour jeter la louve dans la gueule du mâle alpha?

Cette voix lui était familière mais plutôt inécouté. Une voix mur et dur. Elle ressenti une chute dans son cœur, un sentiment inexploré et terrifiant tellement il est puissant. De la haine ? Sûrement. Freya se résilier a ça et se voilas là face.

- Ils n'attendent que ça. Qu'on se livre.

- Qu'on ? Je ne sais pas depuis quand tu es des nôtres Aleksander ? Explique moi je veux savoir. Répondit Côme sèchement.

- Je te déconseille de faire le mec viril avec moi car sinon tu risques de te retrouver avec les vers plus vite que tu ne l'imaginais.

- Je ne fais pas le « mec viril ». Tu jalouse une situation que tu aimerais inhiber mais rien de sert de le cacher. C'est quoi être viril ? Si ce n'est avoir une bite dans le cerveau ?

- Peut être mais moi je l'ai pas dans le cul.

Freya ouvrit les yeux et attrapa par la main Côme qui s'avançait de colère vers Aleksander. Côme s'arrêta de joie et se retourna vers elle en la prenant dans ses bras. Une larme se mit à perler sur la joue de Côme. Greg se leva à son tour et embrassa sa fille, content.

- Combien de temps j'ai dormi ?

- 3 heure. Répondit Marin. Tu a assimilé une si grande quantité de magie que ton entité c'est arrêter et tu es tombé en arrière.

- Et pas sans conséquences. Tu as tous fait exploser sur ton passage. Conclut Côme.

Freya ne pouvait réellement camoufler le fais qu'elle soit contente de ce passage. Malgré le mal à vouloir cacher ce qu'elle ressentait, un rictus insurmontable dessina lentement ses lèvres. Elle regarda l'un d'eux chacun leur tour. Côme qui aimait mortellement Freya, un amour inconditionnel qui pourrait tuer  chaque personne sur leur chemin. Marin, la peur dans le regard, écrasant machinalement sa cigarette dans le cendrier. Aleksander, grand et imposant, dominait la pièce de son aura. Et Greg, un père qui se rendait malade pour sa fille, sa femme en s'oubliant un peu plus chaque jour dans les tréfonds de la solitude, de la dépression. Freya vivait ses émotions, transmises par son don, en x1000. Elle était inquiète de jusqu'où pourrait aller l'état de son père. Elle détourna le regard vers Côme. Il regardait son téléphone pour redescendre de ses émotions.

Depuis que Freya possédait se talent, l'esprit des autres avait pris une plus grande importance. Elle qui avait l'habitude d'être solitaire, antipathique et parfois difficile à cerner, prenait de plus en plus de temps à aimer voir ce que les autres ressentait.

Cela marchait mieux sur son meilleur ami. Avait il l'esprit plus fragile, plus ouvert ? Freya regarda dans ses émotions. Là bas elle y trouva un manque de confiance en soi, l'énergie d'une centrale nucléaire ainsi qu'une grande envie de faire ses preuves.

- Désolé mais je dois y aller.

Alecksander pris sa veste et fit un signe de la main. Il ouvrit la porte et parti.