L'esprit, le temps et la matiere.

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Freya entendais chacun des pas se répercuter sur le parquet dans un écho assourdissant. C'était une cacophonie rupestre sur un slow d'allocution. La femme détalait son plan sur un dérapage de lames acerbes. Côme c'était préparé mentalement pour être le meilleur possible. Son pou s'accélérait dans ce tintamarre oppressant. Ses yeux étaient remplis de ce bleu si inhabituel que le fond de sa rétine semblait s'effondrer dans un noir si profond des abysses satanique. Freya était si perturbé de cette journée qu'elle avait la conscience consciemment inconsciente. C'était comme si elle savait tous mais ne savait rien. Marin était fixé sur le barman. Il agitait sous leurs yeux des couteaux avec une errance si imparfaite. « C'est un ancien criminel. » pensa t'il. De plus en plus leur pas retentirent sur le sol. Ils étaient à deux mètres d'eux. La femme arriva nez à nez avec les trois amis. Elle avait les cheveux noirs et des yeux irréprochablement blanc. Son anneaux an nez pendait sans vergogne et salissait sauvagement son visage plutôt enfantin.

- Où allez vous comme ça? La soirée est loin d'être fini. Je vous offre un verre si vous voulez ?

- Pour nous droguer une deuxième fois? Fit Freya sur un ton nonchalant.

La femme rigola. Son rire était triste et sarcastique. La folie percutait son timbre de voix.

- D'habitude nos cobayes ne sont pas aussi doué d'intelligence. Mais vous vous êtes différent. Venez je ne vais pas vous passer empoisonné.

« Même si j'en ai envie ». Freya avait lu dans ces pensées. Elle décelai également une décadence mentale.

- Je ne bois pas de verre avec la vache Milka. Rétorqua Freya.

La femme s'énerva brusquement et attrapa Freya par la nuque pour la plaquer sur la porte. Elle serrait sur son ventre un couteau. Le bout supérieur de la lame dessinait subtilement sur son ventre une légère entaille.

- Parle moi encore une fois et tu finira comme mon rat : en pâture pour mon boa.

Côme qui sentait son entité prendre le dessus l'attrapa sans gentillesse la femme par le col de son polo. Il l'a recula de Freya sous son regard ou vibrait le sourire du diable.

- Je ne touche pas au femme habituellement mais,..., je dois dire que je me laisserai bien tenter par un verre à tes côtés. Tu va me le chercher.

Côme fit un geste rotatif de la main sur la poitrine de la femme la propulsant à l'autre de bout de la discothèque. Elle alla se percuter sur les basses procurant en bruit strident. La foule qui avait scruté la scène fuyaient à piste de danse. Les membres de son équipe étaient resté sur le parquet, prêt à attaquer. Un homme franchit le pas et s'avança avec son poignard vers Côme. Freya s'avança sur le côté et fixa l'homme de ses yeux qui prirent cette intense lumière signature. L'homme s'effondra de douleur et de pleurs sur le sol. Freya lui faisait ressentir dans son corps les éclats d'obus et les balles de mitrailleuses à l'intérieur de ses boyaux. Il vomissait du sang. Un autre s'avança vers eux et tira de son revolver une douce balle d'argent. Marin réagit à son tour. Ses yeux s'illuminèrent d'un mauve envoûtant. Aussitôt son entité pris le contrôle et figea la balle dans l'espace temps. Tous le reste était toujours dans le présent mais comme par miracle la balle avait arrêté sa trajectoire pour tranquillement se prélasser dans l'air.

- Ô diable comment faites vous ?!

L'homme s'énerva et en tira une bonne demi douzaine. Chacune d'entre elle se figèrent.

- Pourquoi essayer d'arrêter le temps... commença Marin.

- ... l'esprit... continua Freya.

- ... et la matière. Acheva Côme.

Les hommes s'avancèrent vers eux. Freya s'avança brusquement vers l'un d'eux . Ils étaient bruns et méchamment hideux. Elle lui mit un violent coup de poing sur la tempe. L'homme fut sonné. C'est alors qu'ils se releva avec un couteau. Il tenta plusieurs fois de la planter mais vue que Freya pouvait intercepter ses pensées elle arrivait à l'en empêcher. La crédulité de l'homme lui était drôle. Mais il était temp d'en finir avec lui. Freya prit feu, mais ce feu ne lui avait aucun effet. Elle ne brûlait et n'avait pas non plus plus chaud. La lame de son couteau traversa les flammes et fondit immédiatement sous la chaleur. L'homme était surpris. Freya la regarda dans ses yeux. Aussitôt l'homme pris feu de l'intérieur et se consuma sous ce feu étrange et obnubilant. Le feu disparu de son corps. Au loin Côme avait besoin d'aide. Trois hommes en étaient après lui. Alors Freya courra vers l'un d'eux. Dans sa courses elle accéléra et fit un petit saut rotatif. Dans son salto elle arriva en poirier sur la tête de l'un d'eux. Elle avait les deux mains sur chaque côtés de sa tête et les pieds qui touchaient presque le plafond. Elle tourna violemment sa main. La nuque de l'homme craqua et céda sur le choc. Freya lui avait un coup du lapin. Elle retomba sur le sol et s'occupa du deuxième hommes.

Côme s'éloigna de l'homme et alla chercher une bouteille de verre. L'homme a ses trousses, il fracassa le verre de la bouteille. Les yeux de Côme prirent leur couleur verte et la magie pouvait enfin opérer. Il tourna alors la moitié de bouteilles. La matière de celle-ci se modifia et s'allongea en une faux. Le verre tranchant brillait sous le néon du DJ. Côme fit une vaguelette avec la faux vers l'homme. Celui-ci se retrouva tranché en deux. Son corps supérieur s'effondra dans une marre globules sur le sol. Un autre homme s'approchait vers lui avec un katana. Côme leva sa main vers lui. Le parquet s'éleva brusquement en une pointe vif et acéré. Cette dernière transperça l'homme par sa pointe. L'homme recracha une flaque de sang. Côme se téléporta vers un homme qui voulait prendre Marin par derrière. Il tourna la tête vers lui et le décapita sans vergogne.

Marin était occupé avec deux hommes. Il en figea un dans l'espace temps et s'attaqua à l'autre. L'homme était un petit monsieur maigrelet. Marin leva la main vers sa tête. Aussitôt l'homme vieillit brusquement jusqu'à ce moment fatidique où notre métronome arrête de se baladé. L'homme mourut de vieillesse. Il reprit l'autre en main sans le réanimer. Il lui reprit les balles de revolver précédemment figé. Celle-ci était directement dans sa trajectoire. Ces derniers allèrent directement se planter dans l'homme. Celui s'effondra sur le sol, mort.

Les trois se réunirent sur le centre de la pièce. Ils avaient abattu à eux seuls une dizaine d'homme armé. Dans les débris de l'enceinte, le femme se redressa.

- Bande de batard!! Vociféra la femme. Vous allez me le payer!

Côme fit apparaître par magie une chaîne de fer. Celle-ci était directement attaché au piercing de nez de la femme. Celle-ci fut surprise et tenta de la retirer. Côme tendit la chaîne à Freya.

- Tiens. Dit il.

Freya fit une geste sec et lui arracha son anneau. La femme hurla de douleur. Côme déposa ses mains sur leurs épaules et dit d'une vois détachée.

- On rentre en France.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant