L'entité déshumanisée (parti-1)

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Le verre des vitres c'était complètement brisé. Les murs de l'hôpital étaient jonchés sur le sol, dans des amas de briques et tuyauteries. Freya avait eu la force nécessaire pour faire exploser d'un seul impact un bâtiment d'une grande superficie. Seulement elle ne le contrôlait plus rien d'elle même, elle était devenue la marionnette de l'entité, possédée par cette âme déshumanisée. Côme ouvrit les yeux, allongé sur un miroir brisé. Il avait le côté droit de la tête ensanglantée, des morceaux de verre implantés dans les cheveux. Côme se releva difficilement. Ils perdait sa force, et lentement il retomba sur le sol. Une douce larmes amères s'écoula alors le long de sa joue, se mélangeant dans son sang. Cette larmes exprimée les moments passés avec Freya, la joie qu'elle lui procurer, l'envie de vivre qu'elle lui avait redonné, le sourire qu'elle lui avait adressé.

Seulement Freya n'était plus de ce monde physiquement ni même mentalement. Cette homme avait eu raison d'elle même. Et si Dieu avait raison, si elle était réellement la fille du Diable, l'incarnation même de l'apocalypse ? Il se souvint alors de sa discussion avec lui.

Aucun ange sur cette Terre ne peux vivre sans ses ténèbres. Mais il sait que dans chaque parcelle d'enfer en lui réside un instant de lumière. L'ange bienveillant prendra cette lumière et sera reconnu de tous, l'ange déchu la délaisseras, s'oubliant dans ce qui pense être réel. Freya est un ange qui as oublié d'être qui elle est. Perdu entre le bien et le mal. Elle est l'ange déchu et toi l'ange bienveillant, elle est ta lumière et elle ses ténèbres. Seulement je crains qu'en bas tu ne va devoir qu'affronter la bête à neufs cornes, une être luciférienne. Oublie qu'elle est ton amie car tu va devoir la combattre. Par la force ou le souvenir...

Et si il avait raison ? Et si le seul moyen d'arrêter l'entité était de la combattre ? Quitte a y blesser Freya dans la bataille ? Mais Côme craignait d'elle qu'elle n'en meurt. Il était perdu dans cette pensée, indécis d'en choisir un. Sa vie et la mort de tous ou sa mort et la vie des autres ? Côme était étouffé dans ce choix mais, croyant en eux deux, se releva. Il compris que Dieu avait raison, qu'il devait le faire. Alors il accepta son offre, celle de devenir l'opposant exacte de Freya, une même quantité de puissance au service du bien,..., il accepta de tuer le Dieu actuel pour le devenir lui même.

Dans cet prise de conscience son pull noir vira au gris puis au blanc. Il ramassa un morceau de miroir sur le sol, s'y contempla une dernière fois. Puis il transforma cette brisure de lui même en une épée majestueuse. L'épée illuminée les débris d'une douce lueur stroboscopique.

- Freya Adams... dit il en la regardant. A la vie, à la morgue...

Il s'avança vers elle rapidement. Il maintenue la lame de l'épée fermement et face à elle la trancha en deux. Cet acte la le brisa totalement. Il venait de découper en deux la femme qui comptai le plus pour lui, son amie, sa sœur. Mais il revint très vites à lui même quand il comprit que ce n'était qu'une simple illusion d'elle même. La copie de Freya disparue alors dans une fumée noire. Ou était t'elle ? Ou était Freya ? Sa réponse il fini par l'avoir quand il entendit des bruits de pas dans les débris.

- Côme, tu me déçois. Croire que j'allais te laisser faire ça. Crois tu sincèrement que tu as une chances contre l'entité ? Dit elle en s'avançant vers lui, derrière son dos.

Côme se retourna et là regarda s'avancer vers lui lentement. Elle c'était armer elle aussi d'une épée, elle avait la lame noir et baigner de sang.

- Personnellement je m'en étais douté. Tu as toujours eu un coup d'avance sur les autres mais, là, c'est moi qui en est deux.

- Tu en as deux ? Ah ah laisse moi rire. Côme tu as toujours été pitoyable envers toi même, les autres camarades de classes t'arracher ton goûter des mains, et il a fallu que Freya arrive pour que tu en sorte enfin. Mais moi je ne suis pas elles, je suis l'entité. Un piranha qui se délecte des doux hommes comme toi. M'affronter c'est l'équivalent de sauter d'un pont, la chute et lente et tourmentée mais l'impact irréversible.

- Ne puise pas dans ses souvenirs je te l'interdis. Ce qui reste d'elle, de ses pensées ne t'appartient pas !

- Tous d'elle est à moi. Au même cas que tous ce qui est à toi est à moi. Je sais tous d'elle, du berceau au dernier lever de soleil.

- Et c'est là où j'ai mon coup d'avance.

Côme sortie de sa poche une petite boule blanche. A l'intérieur un liquide nacré inondé l'intérieur caverneux de la sphère.

- Vois tu cette sphère ? Dans son reste de conscience Freya a pris le soin de retirer chacun de ses souvenirs et du stocker chacun d'entre eux dans cette sphère. Ça a été une aubaine de tomber dessus quand elle m'as propulsé. Car cette sphère a le pouvoir nécessaire pour te faire disparaître de moitié.

- C'est que du bluff ! Encore et encore du bluff ! Viens au corps à corps pede!

L'entité s'avança vers lui avec la lame de son épée levé au vers le ciel. Puis elle abaissa la lame vers Côme qui l'a retint de son épée. S'ensuivit un puissant choc qui brisa sous l'impact le goudron. Côme te leva sa lame et assigna un coup de pieds dans le ventre de Freya. L'entité recula de quelques mètres avant de courir vers Côme. Puis il frappa la lame en verre de celle de Côme. Sous le choc épéistes de ces lame, les vitres voisines se brisèrent, les lampadaires se plièrent et le sol ressembla de plus en plus à une œuvre d'art en mosaïque. Puis l'entité planta la lame de son épée dans le sol, pour assigner une dizaine de coup de poing sur le visage de Côme, celui ci perdit conscience sous la force des coups, et elle en profita pour le faire voler sur le sol d'une dizaine de mètres. Côme se releva, les mains lever, des litres et des litres d'eau s'envolèrent dans les airs, un amas liquide d'une centaine de litre. D'un seul geste Côme gela l'eau en une une vingtaine de pointes glaciaires. Puis il les dirigea vers Freya. La glace s'enfonça dans le sol, tandis qu'elle escaladait dans l'esquive la plus parfaite les dommages. Elle atterris à sur le sol, son épée était devenu une épaisse chaîne.

- Ne ligote pas tes émotions Côme.

Elle prononça ses mots en laissant les chaînes vers Côme. Chacune d'entre elles s'arrachèrent au poignet de Côme lui écrasant les muscles.

- JADORE te voir avec une laisse ! Dit elle.

- Sauf que comme la vie, c'est moi qui tient là laisse...

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant