Fais moi une nude.

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Les 4 amis n'avait pas envies d'aller en ville. Le manoir WALTERS était suspendu dans la hauteur de ses sous bois, dominant Paris de peu. Cette lumière rouge permanente troublait les récepteurs cognitive des couleur. Les couleur, les vrais, semblaient ne plus être les mêmes, semblaient avoir été métamorphosés. Une aura malsaine s'émanciper de cette totale oppression atmosphérique. Freya s'avança un peu plus vers la terrasse suspendue du manoir, là elle remarqua ce détails qui soufrait d'une obscénité certaine. Une foule de monde accouraient vers les allées du Manoir. Comment avait il trouver là où ils étaient ? Freya se retourna vers les 3 autres. Ils étaient perdues dans tous se fouillis, c'était comme ci ils perdaient le sens exact du nord alors que la vie n'a plus de sens.

- Ils arrivent. Leur dit Freya en pointant du doigt les allées. Comment est ce qu'il savent qu'on est là.

Une voix stridente perça le silence de son intensité. C'était une voix familière, avec une puissance aiguë. C'était la voix de quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de place dans le cœur de Freya. C'était la voix de Meg-Anne.

- Juste comment cette salope nous a retrouvé ?! Surenchéri Freya, presque énervé.

Côme abaissa légèrement la tête vers le bas, gêné. Ils savaient pourquoi mais redouter le moment où il allait devoir le dire. Mais comme tout homme qui se respecte il prit son courage à deux mains, serrant à son image ses deux organes reproducteurs, symbole de « virilité ».

- Je crois que j'ai laissé ma localisation Snapchat activé.

- Je vais te tuer! Tous d'abord depuis quand tu as cette garce en amie sur Snap ?!

- Euh... tu te rappelle le contrôle de Français ou on avait triché ? Bah on lui avait pris son snap pour faire les faux cul et tous copier sur elle lui laissant une moins bonne note que nous. Je crois que j'ai pas dû la retirer après.

- Il est clair que tu va pas tenir dans ce film d'horreur. C'est pas le tueur qui va te tuer mais ça sera moi.

- Ok fais quoi du coup ? On les bute ? Demanda Aleksander. Je déteste cette petite pouf.

- Honnêtement je pense qu'il vaudrait mieux voir ce que eux font avant de nous mêmes nous y mettre. Repris Marin. Si ça ce trouve il veulent juste qu'on leur offre un café ?

- Connaissant Meg-Anne je pense qu'elle préférerait qu'on trempe notre biscuit dans son café, si tu vois là où je veux en venir. Affirma Côme, sur la déconnade.

- Ils arrivent, Côme, je pense pas que ce soit le moment de faire ce genre de blague. Lui dit Freya, fier tout de même de son ami. Plan A, elle veut un café on la dégage, plan B, elle nous attaque,..., on tue jusqu'à la dernière.

- On deviendrait pas un peu dangereux ? Demanda Marin, qui ressentait de plus en plus la pression sociale.

- Pourquoi ? Parce qu'on tue ? Ça va pas être les premières ni les dernières je pense. La mort c'est notre amie désormais.

Une personne toqua à la baie vitrée. C'était les 3 super nanas qui les regardait. Elles avaient leur vêtements tachés de sang. Leur maquillage était fais du sang de leur victime. Chacune d'entre elle avait dans leur mains un objet contendant.

- Tu as raison de devenir amie avec la mort car tu va bientôt faire sa rencontre. Lança Meg-Anne.

Freya regarda les autres avec un grand sourire sur les lèvres.

- Et c'est qui qui vous envoie ? Les bois de Boulogne ? Ah nan je crois que je sais, la dignité que tu aimerais retrouver ?

- Tu va être déçu d'apprendre qu'on préfère les camps des vainqueurs. Armageddon nous as demandé ce que nous voulions et lui as répondu : votre vie. Ombrines dis c'est mots d'un coup sec, une voix ou se faisait ressentir et ne perte de conscience humaine.

- Il faut être aussi désespéré pour vouloir la vie de quelqu'un d'autre ? Lui dis Come.

Meg-Anne ne perdit pas son temps et s'avança vers Côme. Elle fis passer la lame dans sa poitrine visant son cœur. Côme fis dysfonctionner son corps et s'effondra sur le sol. Puis, il tomba en arrière sur le sol, pour mort. Freya regarda, comme au ralenti son ami tomber sur le sol. Elle l'avait poignarder, elle lui avait transpercé le cœur. Pour autant Côme ne c'était pas défendu. Marin et Aleksander s'écartèrent d'elle, voyant une colère noir qui envahissait Freya. Ses yeux ne prirent pas ça couleur bleu mais un noir profond, intense. Freya pressentait que son décès était faux, qu'il était encore en vie mais qu'il jouait la comédie. Elle avait un doute sur sa mort car elle ne ressentait plus ses émotions et voyait dans sa tête à elle une longue ligne fine

- Je veux bien une nude, Meg-Anne. T'as pas chaud retire des couches.

Freya disait ces mots collés comme ci trois autres personnes parlaient avec elle. Meg-Anne semblait perdre le contrôle de ses gestes. Lentement elle retira ses vêtements, elle commença par sa robe verte, se retrouvant en sous vêtements dans la cour, mettant sa chirurgie plastique dans l'air frais. Ses 2 amies se déconcertèrent devant leur amie. Meg-Anne exhiber sa poitrine de plus en plus. 

 - Ombrine, je crois que ton amie a une place dédier sur les réseaux sociaux. 

Ombrine perdit elle aussi l'usage de ses gestes. Comme une marionnette, elle dégaina son cellulaire et prit en vidéo, contre son gré, Meg-Anne qui retira sa culotte. Lentement, ses 4 lèvres inferieur trouvait de près L'air glaciale environnant. Meg-Anne commença a pleurer. Elle qui avait pour habitude de vanter ses ébats semblait atteinte de se gestes. Freya lâcha lentement son emprise. Meg-Anne attrapa ses vêtements et partit en courant, pleurant sa honte en de chaudes larmes. 

 - Tu n'oublieras pas de la poster sur Pornhub. Insista Freya en regardant Ombrines.

Elle lui dit oui de la tête, effrayer par cette méchanceté cruelle et de cette noirceur qui remplissait Freya. Une ombre opaque comme celle d'un démon, du pire des anges échues. Côme se releva en pouffant de rire. il regarda Freya qui c'était décontenancer.

 - Je trouve pas ca drôle, Côme. Lui dit elle, froidement.

 - Si ca l'est. Depuis combien de temps tu voulait te venger de ces 3 pauvres filles ? tas eu ta vengeance dans tous ca, non?

Aleksander s'avança vers eux.

 - Non, Côme. CE que Freya a fais bien qu'héroïque n'en reste ni plus ni moins qu'un abus.

Aleksander commença son sermons en les réprimandant d'une fable politique sur les biens socioculturels.

 - En une autre période je t'aurais dit oui, j'aurais dis que tu as raison. Mais je crois que tu oublis le détails que c'est l'Apocalypse. Repris Côme. La vie est une pute, et je veux être celui qui tient sa laisse.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant