Enfer au manoir WALTERS.

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Côme démarra le contact et roula jusqu'au à la demeure qui était anciennement la sienne. Il comptait bien se venger de ses parents adoptifs, reprendre le manoir qui offrait un lieu parfait pour s'installer et créer un « QG ». Il roulèrent durant plus d'une vingtaine de minutes entre les rues de Paris avant de quitté légèrement la ville. Il arrivèrent devant le lisérée d'une forêt, Côme tourna légèrement le volant en direction d'une petite allé gravillonné. Le chocs des roues sur le gravier laissait percevoir un bruit de crépitement. Puis Côme s'arrêta devant le portail. C'était une grande barrière en métal noircie. De chaque côté s'élevait deux statuettes représentant des lions. Un homme de la sécurité s'avança vers le véhicule.

- Freya tu t'en charge. Dit Côme, un tantinet stressé.

La nuit commençait à s'effondrer sur l'horizon. Le soleil, peut-être, n'allait jamais se réveiller. L'homme toqua à la vitre de Freya. Les vitres teintées ne lui permettaient pas de voir que Freya le regardait, mais elle elle savait à quoi il ressemblait. Il avait malheureusement une paire de lunettes noire sur les yeux et ses dons ne s'activait pas si il n'y avait pas de contact direct avec les yeux. L'homme avait la peau noir, il était aprioris assez rondouillar, et avait les cheveux d'un blanc immaculé. Freya baissa la vitre sans teinte et regarda l'homme un instant.

- Les WALTERS ne sont pas disponibles, repasser plus tard très cher demoiselle. Sa voix était rauque, cassée.

Freya le regarda un peu plus attentivement. Elle analysa la situation : l'homme était armé et était relié, sûrement, à un système de surveillance. Dans sa poche droite se trouve un taser, et une matraque dans le coin gauche de sa ceinture.

- Bien. Mais je ne suis pas venu pour eux, mon chou. On t'as jamais dis que tu es chaud comme la braise.

- Je... Je ne suis pas intéressé, demoiselle. Faites demi tour ou je n'aurais pas d'autres choix que de...

Freya avança sa main vers lui et lui tapota lentement la tempe d'une seule pression. Il semblait endormi, endolori. Puis elle lui retira ses lunettes noires et la regarda dans les yeux. Son entité s'empara d'elle rapidement, ses yeux virèrent au vert quasiment instantanément.

- J'aimerais que tu vois à quelle point je suis chaude. Tu veux ? Dit elle pour l'amadouer.

- Oui, je le veux...

Freya insista un peu plus son regard avant de déclencher en l'homme en feu sans pareille. L'homme pris feu rapidement, mais pas un feu banal non, il prit feu de l'intérieur. Il gémissait de douleur avant de disparaître rapidement en un petit tas de cendres, crédules et insouciants. Freya regarda ensuite le portail et celui-ci s'ouvrît. Côme avança alors un peu plus dans l'allée avant de s'arrêter devant la porte d'entrée. Chacun d'entre eux descendirent de la voiture. Rapidement des hommes armés arrivèrent. Marin leva la main vers le ciel en un arc de cercle qui les enferma dans une boucle temporelle. Chacun des hommes était destiné à répéter leur dernier geste en boucle sans jamais les atteindre. Côme ouvrit la porte en bois et s'avança vers la salle à manger. Il savait qu'il y trouverait toutes la famille réunis puisque c'était un repas familial prévue depuis des semaines. Ils firent irruption dans la pièce sous les yeux de son père adoptif qui se leva brusquement de sa chaise.

Le silence se fut calme. Les rires s'atténuèrent soudainement.  Puis le père brisa se calme paradoxalement :

- Que fais tu ici ? Tu ne devrais pas être là ! Seul les membres de la famille peuvent être ici, aujourd'hui.

Son père était farouche et arrogant. En apparence sympathique il ne restait moins qu'un fou furieux.

- Ses biens là où te trompe. Je fais partie de la famille, et eux également. Dit il en montra ses amies.

- Tu es corrompu, mon fils.

La mère de Côme avait cet attrait fascinant pour excédé dans le mensonge, le mépris. En apparence joviale sa n'en restait pas moins une vraie garce sans cœur qui tuerait son fils pour de l'argent.

- Et c'est également là où tu fais fausse routes. Je ne suis pas corrompu, on m'as juste permis d'être qui je suis et d'imposé mes émotions. Vous avez peur du « mal » qui me ronge, mais vous oubliez que ceux qui m'on faite le plus de mal c'est bel et bien vous.

Le père se rasseyait sur sa chaise. Il restait calme pour faire mine base et table rase devant ses hôtes. Pour ne pas les effrayer. Il avait quand même l'envi de faire du mal à Côme.

- Nous ne t'avons ri...

- Tu ferme bien ta putain de grosse gueule, connard, et tu va m'écouter. Au moins ça te changera des cris de ma salope de mère adoptifs. J'ai subi 19 ans, vos coups, vos insultes. Il est grand que tous cela cesse.

- On est pas tes parents tu es né sous X ! On à fait que de te nourrir. Tu es né seul et tu mourra seul c'est ainsi.

Côme déglutit sous les paroles de son père adoptif, de colère.

- Ainsi soit il. Puisque tu aimes tant me rappeler que je suis né sous X je trouvais ça symbolique de te le marquer sur ta sale tête, a jamais.

Son entité prit possession. Ses sous les hurlements du père que le public s'affolât. Un grand X ensanglanté fendit son visage d'une puissante brûlure. Côme était satisfait, regretté mais la colère était plus forte que la rationalisation.

- À toi ma chère et tendre absente mère, j'ai également un petit présent. Tu n'as fais que d'être inexistante alors il est grand temps que tu le sois définitivement.

Côme claqua des doigts. Rapidement la femme fut soulevé de sa chaise. Quelques choses d'invisibles lui prenait la gorge et l'étouffée. Cette meme chose la dirigea vers le mur derrière elle et la fit pénétrer dedans, ainsi elle allait suffoqué entre les murs. La mère adoptif de Côme était claustrophobes qui plus est, la sentences était doublée.

- Et à mon oncle préféré, celui même qui a eu l'audace et me violer alors que je n'avais qu'une dizaine d'années. Tu t'en es sorti dans le passé mais sache que le Karma fini toujours par s'abattre. Je t'offre donc la souffrance que tu m'as jadis donné contre mon gré.

L'homme s'effondra sur le sol, subissant les douleurs d'un viol, ce même viol qu'il avait fais subir à un jeune garçon. En larmes il s'allongea sur le sol. L'oncle avait extrêmement mal en ce qu'il avait fais. Puis tous se calma assez rapidement. Côme se retourna et dit d'une voix sérieuse, sereine.

- J'en ai fini. Je n'avais que ça à vous dire et je dois dire que sans ça je ne serai jamais parvenu à avancer. C'est un mal pour un bien...

Côme releva la main et chacun d'entre eux s'envolèrent soudainement, téléporté ici et là sur la planète pour que personne ne les retrouve.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant