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Freya se releva de sur le sol, métamorphosée. Les lumières clignotèrent sous son emprise. L'eau des fioles tourna lentement dans une teinte rouge sanguinolente. Ses yeux étaient plus noir que la galaxie et sa folie plus lumineuse qu'une naine blanche. Freya perdait de plus en plus notion de ce qu'était la réalité et devenait l'empire totalitaire de l'entité.

- Regarde toi ma fille tu es sublime. Tu es la digne fille du diable.

- Je.. Ne.. Suis.. Pas.. Ta fille !

Freya détacha ses mots, se laissant prendre dans la folie. Elle traça un angle aérien face à elle. La gorge D'Armageddon se noya soudainement d'un doux sang carmin, elle venait de taillader la nuque du diable. L'homme perdit pieds et s'effondra sur le sol, renversant dans sa chute une table. Freya regarda Marin qui avait l'air apeuré par la bête a neuf cornes qu'il venait de créer.

- Ne fais pas la con Fre' ! Je suis le mec à ton meilleur amie !

- Je n'en ai plus ! Tu l'as sacrifié ! Dit elle dans sa colère née. Côme aurait vue qui tu es dans c'est flamme anarchique de ta jalousie, il t'aurais détesté. Je voulais juste que tu sache que je te pardonne...

- Je te remercie vraiment tu es adorable. Tu sais ...

Freya éclata de rire. C'était un rire froid et malsain.

- Tu es is crédule. Tu as vraiment cru que je te pardonner ? Tu es si pathétique. Tu fera la bise à Satan pour moi.

Freya leva sa main, fit pivoter son poignet. La nuque de Marin craqua bruyamment, un os un ressorti brutalement. Puis il tomba raide mort sur le sol.

- Tu as fais le levrette et le dernier se fut un coup du lapin.

Freya enjambas les corps. Elle sortit de la salle et déboula sur un immense couloir. Tous le long s'alignaient des chambres de patients. Elle se retourna et regarda la plaque derrière elle : chambre 304.

- J'ai failli mourir dans cette chambre, seulement Côme m'a sauver. Il n'est plus aujourd'hui, égoïstement je l'avoue. Seulement pour toi, je te jure que je rennais une deuxième fois de cette chambre. Côme, puisque tu n'est plus, ce monde ne doit plus l'être.

Sur ces mots Freya traversa le couloir avant d'arriver sur les escaliers. Elles les descendit sois-y leurs néons clignotants puis arriva dans le hall d'entré. En bas une mamie patientais. Cette dame souffrait dans cancer incurable. Freya s'avança vers elle. Elle puisa en elle ses souvenirs. La femme se nommait Marie Thérèse, elle avait 54 ans et a vécu tristement durant sa vie. Deux enfants morts en accident de voiture, son mari emprisonné pour vente illicite et une pension de retraite misérable. Freya se baissa vers elle et lui déposa dans sa main une petite sphère. La vieille dame la regarda, abasourdie.

- Si quelqu'un vient pour moi, donner lui ça.

- Euh... ok.

Freya se releva, laissant la dame derrière elle elle sortit de l'hôpital et regarda le ciel rouge. Le soleil était absent. Pourtant le pourtour de l'horizon était carmin. Dehors le chaos total et régner. Les gens se tuer, volait ou vandalisé. Pour la première fois de sa vie le malheur des autres lui donner une dose de melatonine assez puissante et suffisante. Plus le mal gouverné et plus elle se perdait et oubliait qui elle était. Elle regarda son reflet dans le flou d'une vitrine. Les cornes sur son front étaient de plus en plus visible. Ses yeux étaient plus noirs que la dépression en elle même. Elle se surpris à se plaire. Freya n'était plus pleinement elle même. Elle avança vers la fontaine du coin. C'était un petit terre plein d'herbes, de roche, et d'amas de débris. Elle essaya de contrôler sa conscience pour rester elle même le plus possible mais sa lutte contre elle devenait impossible.

Elle était ce qu'elle redoutais devenir : une garce sans cœur. La lutte était purement égocentrique et égoïste. Mais si elle ne le faisait pas l'entité deviendrait elle même. Soudainement le ciel se perça d'un blanc immaculé. De cette lumière jaillit un jeune homme. Il était face au portes de l'hôpital, ses cheveux était blanc et ces yeux aussi bleu que la neige pure. Freya se retourna qui était cet homme. Elle se releva, constatant de ce faus que c'était lui, son frère de sang, son double : Côme WALTERS. Seulement elles se perdit complètement dans ses ténèbres.

- Freya résiste ! Hurla t'il pour l'aider dans sa lutte.

Il accourue vers elle. Puis face à elle il lui les joues et la regarda dans les yeux.

- Pense à toi, a nous. Tu n'es pas le mal incarnée. Pense à Greg, à Aleksander.

- Je... je peux... plus...

Sa faiblesse se faisait sentir. Côme percevait son aura qui s'assombrissait et mourrait.

- Freya reviens vers moi. Tu as été là lumière qui a percé mes ténèbres, l'étoile qui éclairait mes nuits de peur, mon sang-froid baigner dans un pacte, rappelle toi que nos cœurs battent à l'unisson.

Freya résista encore. Seulement elle se perdait dans ce qu'elle pourrait être. L'entité prenait de plus en plus sa possession. Elle regarda Côme.

- Côme, tu es mon frère et ma raison de me réveiller le matin, tu es mes ailes déchu, mon sang, ma pensé, mon âme cœur... je ... Je t'aime...

A cet instant Freya n'était plus elle. L'entité la contrôlai pleinement. Freya déposa une main sur le ventre de Côme et elle le regarda sournoisement. Freya poussa violemment Côme. Celui ci vola droit vers l'hôpital qui explosa sous l'impact. Les débris volèrent de toutes part, les murs s'effondrèrent et les vitres éclatèrent en milliers de morceaux.

Côme était revenu au moment où Freya venait de mourir...

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant