L'ange dechu redscend du 7 eme ciel.

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Freya était encore allongé dans les draps, enrobés de ces bras autour d'elle. Freya réalisai que sa vengeance avait été dans les extrêmes. Elle le savait mais s'en foutais. De plus en plus les pensées de Aleksander disparurent pour totalement être illisible. Elle avait l'étrange sensation d'être devant un livre, elle commençait a le lire puis lentement l'encre s'atténuait pour disparaître. Freya se releva et commença à se rhabiller. Aleksander se leva lui aussi et l'aida à remettresô soutien gorge. « L'homme parfait sait défaire et refaire les sous tif. » se dit elle en se rappelant cette phrase qu'elle avait lu d'un magazine dans une salle d'attente. Puis elle enfila son teeshirt en regardant Aleksander mettre son pantalon. Il avait un corps sculpté à la manière d'un dieu grec. De plus, les tatouages de son corps rendaient ses pectoraux imposants. Freya remit ses basket et descendit de l'hôtel à ses côté. Il enfilait par dessus l'encre noir de ses tatouages son teeshirt blanc. Freya ouvrit la porte de l'hôtel et se retrouva sur le trottoir. Le ciel avait une étrange couleur rouge. Pas un rouge normal pour 7 heure du matin mais un rouge intense, horriblement inquiétant. Un ciel qui disait long sur la couleur de ce qui allait se passer après. Freya regarda la coté gauche de la rue. Un 4x4 noir arriva dans la rue. C'était la voiture que le père de Côme lui avait acheté pour ses 18 ans. Elle avait un an et il en prenait soin comme pièce de musée. « Qu'est-ce qu'il fou là lui ?! » se demanda Freya dans ses pensées.

La vitres teintés passagère s'abaisse sur Côme, abasourdie. Il roula à son allure. Freya leva la main et lui fit un doigt d'honneur sans gentillesse. Elle pris son doigt et elle lécha pour mimer ce qu'elle avait fais avec Aleksander. Lui était derrière elle et attaché le cran de ça ceinture pour être totalement rhabiller. Côme continua à son allure, fixement et obnubilé, choqué et outré. Puis, il s'arrêta net sous l'impact avec sa tête qui fis un basculement sec vers l'avant. Il venait de heurter une borne d'incendie, immergeant la rue d'eau. « Irréparable celui là ». C'était une pluie artificielle qui amplifiai la scène de drame. Côme descendit de sa voiture en humidifiant ses cheveux. Il se mit derrière sa voiture et dis :

- J'espère que tu as des sentiments pour lui et qu'il ne sert pas juste de vengeance. Car sinon le fais que tu veuilles m'atteindre de cette façon tombe à l'eau. Sache au moins que moi j'ai couché avec Marin en ayant des sentiments pour lui.

Freya s'avança vers lui pour rétorquer.

- Peut être mais je brise pas un pacte qu'on avait fais plus tôt. Tu te permet de me mentir durant plus de 15 jours. Je comprends mieux pourquoi tu as son Insta, que tu sais ou qu'il habite, bah oui t'allais te faire tringler chez lui.

- Je n'ai rien brisé entre nous. Si tu me parle de se pacte de sang que l'on a fais je te rappelle qu'il été fais pour que chacun d'entre nous et une partie de l'autre en lui. Et pour ton information je ne me fais pas « tringler » comme tu le dis, je n'ai couché avec lui qu'une seule fois.

- C'est déjà une fois de trop. Tu aurais pu me le dire au lieu de faire semblant qu'il n'y avait rien. Au lieu de me mentir depuis deux semaines. Tu aurais au moins pu me le dire au lieu de je l'apprenne comme ça. Si je devais te dire un truc aujourd'hui je dirais que tu es manipulateur, faux, cachottier et sodomite.

Freya resta devant Côme. Elle voyait dans ses yeux une déception forte, une envie de tous changer. Côme avait les émotions facile, et Freya ne comprenait pas pourquoi elle ressentait les siennes plus que n'importe qui d'autre. Elle se retrouva avec Côme, un moulin à vent dans ses émotions et ses pensées, Aleksander, une porte blindée qui menait une fois passée à un cul de sac, route barré, faites demi tour. L'un était fortifié, l'autre trop démonstratif. Côme avait les yeux qui s'humidifier sous le regard noir de Freya. Il s'en voulait de ne pas lui avoir dis, de le lui avoir caché. Côme avait envie de faire un bon dans le temps pour modifier ce détail, lui dire qu'il a eu une aventure. Mais ce don était donné à Marin, pas à lui.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant