Les super nanas.

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14 mars 2021.
Lycee Jules Ferry.
Paris.

Côme et Freya c'était remis de leur émotion. Côme était ravie d'avoir de nouveau sa meilleure amie à ses côtés. Freya acceptait ce qu'il était devenu ce jour là. Elle l'acceptait car cette partie de lui même lui avait sauver la vie. Rien de tel ne c'était reproduit depuis. Elle arrivait quand mêmes à être très jalouse de cette entité et de se don donner. Mais elle avait tendance à se réconforter en se disant que ça ne c'était pas reproduit et qu'on donc c'était que temporaire. Elle arrivait même parfois à douter de la véridicités des faits. Freya attendais Côme devant le lycée. C'était la rentrée ce matin et elle ne voulait absolument pas la faire seule. Ils ont passé le reste des vacances de printemps a se voir et profiter de l'instant présent. Freya regarda le bout de la rue. Un 4x4 noir s'approchaient du lycée. La voiture s'arrêta net devant celui-ci. Côme descendit de la voiture en prenant son sac à dos.

- Tu diras bonjour à ton chauffeur. Dit Freya sur le ton de l'humour.

- Freya te passe le bonjour, papa.

- Salut, Freya.

Le père de Côme lui fit un signe de la main et repartit dans la rue. Ensemble ils s'avancèrent vers l'entrée du lycée. Freya poussa la porte d'entrée et il rentrèrent dans ce calvaire scolaire. Les étudiants les regardaient fixement, comme des bêtes de foires. Freya sentait les regards pesé sur elle. Cela la faisait bouillonner et l'énerver. Pourquoi le monde avait t'il tendance à vouloir se mêler d'absolument tous mais sans en être concernée ? Côme qui s'avançait à ses côtés ressentait la colère de Freya comme ci c'était lui qui l'a vivait. Freya s'arrêta soudainement devant les étudiants. Elle était énervé.

- Quoi?! Vous n'avez jamais vue une belle fille bande de prédateurs visuels ? Tournez le regard bande de pigeonnes.

Les regards ce fut plus rares bien que toujours présent.

- On commence par quelle matière ? Demanda Freya.

- Mathématique.

- Cool ! Le prof va encore faire jaunir avec sa bave le coin gauche de ma feuille. Youpi! Dit elle d'un ton sarcastique.

- Monsieur LOQUEFFRET est un enculé, alors faut pas y faire attention. Ta fais le devoir sur les algèbres ?

- Merde ! j'ai complètement zappé !

- T'inquiéte moi aussi.

Ils rigolèrent. Ils s'avancèrent ensemble dans les couloirs. Puis ils s'arrêtèrent devant leur salle. Le prof était là bas, au loin du couloir, il parlait avec la prof de physique chimie. Madame PINCET était quelqu'un de mince et élancé. Elle avait un carré brun, ondulé, qui encadrait sévèrement son visage. Freya la détestai. Peut-être par ce qu'elle couchait avec le prof de français qui était à son sens le plus beau prof du bahut. Côme lui mit un coup de coude sur l'avant-bras, faisant revenir Freya à la réalité.

- Regarde, là bas. La racoleuse est de sortie.

Freya regarda à la droite de là où elle regardait précédemment. Une jeune femme brune à la poitrine proéminente s'avançait dans leur direction. Son visage avait plus de maquillage que de peau. Elle avait un rouge à lèvres si rouge qu'il en dégoûterait un vampire du sang. Meg-Anne était accompagné de ses deux pimbêches. L'une était blonde, légèrement ronde. C'était celle que préférait Freya (bien que c'était compliqué), car Ombrinne était là plus intelligente des trois, ce qui en somme n'était pas très complexe. A sa droite il y avait Sarah. Elle était rousses et essayait tant bien que mal d'imiter Meg-Anne. Sarah portait une robe rose qui ne l'a mettait pas du tout en valeur. Ombrinne avait opté pour un total look jean. Celui-ci faisait des plis immondes sur ces cuisses. Puis Meg-Anne était habillé en vert pomme. C'était une orgie de couleur.

- Je vois qu'on c'est réveillé de son coma, Aurore. Dit Meg-Anne en s'approchant d'eux deux. Tu as trouvé ton prince charmant ? J'en doute...

Cette phrase l'avait piqué, énervé. Cette comparaison a la belle au bois dormant lui rester en travers de la gueule.

- Moi je vois que Mojojo a corrompu les super nana car maintenant elle se prostitue. Non?

Freya avait sorti cette phrase de ses entrailles et surtout du cœur. Meg-Anne semblait offensé. Elle s'apprêtait à rétorquer mais le prof arrivait juste derrière elle. Alors elle se tue.

- Sauver par le gong. Dit Ombrinne en voyant le prof juste derrière elles.

Quelle bande de faux cul.

Le prof déverrouilla la porte et les laissa rentrer à l'intérieur. La salle avait été nettoyée et ça ce sentait. La femme de ménage devait le faire habituellement une fois par ans car la salle sentait très vite le vestiaire des mecs. Freya et Côme prirent leur place initiale, c'est à dire au centre même de la pièce. Ils se mettaient là car la vue sur les autres était plus perceptible, surtout pour tricher. Le prof fit son discours de reprise. Puis il distribua le contrôle sur les algèbres. Ils avaient 1 heure pour faire 3 pages rectos verso. Dire que c'était un calvaire. Freya lisa les premières lignes et déjà c'était compliqué. Elle regarda ses camarades. Chacun avait la tête baissée et faisait frictionner leur mine d'encre sur les copies. Freya avait un mal de tête soudain. Elle leva les yeux vers le prof. Il lisait le corrigé comme pour gratifier son mental de son travail qu'il trouve si bien accompli. « Si je calcule cette racine au carré et que je la divise par trois j'obtiens : 376,556 que j'arrondis avant la virgule ». Pensa le prof. Freya ne comprit pas ce qu'il se passait dans sa tête. Elle comprenait pas ce que disait le prof mais elle entendait et écouter ce qu'il pensait. Elle avait la vue sur ses pensées comme sur un livre ouvert. A première vue cela la perturbait, se disant que c'était tous sauf normal. Elle appréhendais mais ce disait que ça valait la peine de vérifier.

Alors elle essaya avec le reste de la salle. Côme réfléchissais à quelle moment l'homme c'était dis que le rutabaga ça pouvait ce manger. Pas étonnant venu de lui. Elle tourna la tête vers Marin. Il écrivait bêtement ses réponses comme ci il avait la science exacte de ce qu'il faisait. Il avait appris son cours par cœur et copier-coller son cours sur la feuille. Puis elle regarda Meg-Anne. Freya se demandait ce que quelqu'un de son genre pouvait penser. Cette pimbêche se demandait comment elle pourrait faire pour séduire Aleksander, l'élève russe que toutes les filles s'arrachaient. Freya était réputé pour être celle que préfère Aleksander. Freya était décidé à tricher alors elle se remit à écouter les pensées du profs et copia sans se soucier des réponses. L'heure sonna et Côme et Freya sortirent en déposant leur copies sur le bureau du prof.

- J'ai tous déchiré.

Expliqua Freya à Côme qui fut étonné et surpris.

- Je te parie un 20/20.

- 100 balles que tu as tord. C'est impossible.

- C'est parier. J'espère que tu as épargné ce mois ci car tu va débourser.

Ultimate agnosticism. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant