Ultimate agnosticism. Tome 1.

La fin de la Genese.

Ellipse de quelques heures.
Le 4 avril 2021, Pâque.

ጌሃ ጋቿነሁነ.

Freya était installé au bord de la fenêtre, sur le balcon de la chambre parentale. C'était une vaste dalle de pierre suspendu au dessus de la piscine. Freya rigola un instant en voyant que son meilleur amie venait de faire tomber son verre dans la piscine. L'autre releva la tête vers elle et lui dis avec un grand sourire au lèvres :

- J'irai pas le chercher mais toi vas y si tu veux.

- Il est vide maintenant du con. Ricana t'elle.

Freya sentit dans son dos quelqu'un s'approcher. Elle reconnaît l'odeur, un délicat mélange subtil de musc et de déodorant. Elle se retourna et admira son contemplateur. Ses cheveux bruns avaient quelques choses d'envoûtants. C'était surtout ses yeux qui étaient les plus silencieux, pour la énièmes fois elle essaya de savoir ce qu'il pensait mais tous était plat, vide. Aleksander s'avança vers elle, arrivé devant elle il lui mît la main dans ses cheveux. La chambre était assombrie par la nuitée. C'était la lune qui éclairait le mirages de ses yeux couleur noisette. Freya compris inconsciemment que c'était voué à perdre mais elle voulait essayer avant de déclaré « échec et maths ».

- Que pense tu de nous ? Lui dit-il.

- Je n'en pense pas grand chose. Je vais pas me livrer à toi maintenant, je me suis déjà beaucoup trop ouverte et j'ai déjà souffert alors je pense que pour l'instant on doit tous mettre en pause. Toi et moi, pour reprendre la partie plus tard.

- J'ai pas envie que tu sois loin de moi. J'ai besoin de toi à mes côtés, toi et moi, loin de toi j'aurais l'impression d'être redevenue mortel alors que pour la première fois tu me fais sentir différent. Je suis pas juste le dragueur compulsif, tu m'as fais devenir l'amoureux immortel.

- C'est gentils mais je suis pas prête. Attend un peu et je verrais si je suis assez bien pour toi.

- Tu l'est.

Aleksander caressa sa joue puis s'éclipse en dehors de la pièce. Freya resta là, dans l'obscurité à contempler les étoiles, le regard abstenant.

Côme était à présent au bord de la piscine. Marin l'avait rejoins et c'était mis à ses côtés. Les deux avaient les pieds dans l'eau de la piscine.

- Je suis désolé pour ton oncle, t'es parents et tous. Marin avait l'air sincère, touché.

- Tu n'as pas être désolé pour eux. C'est fais et je ne pourrais plus avancer sans ressentir tous les hématomes, les bleus, les abus. J'espère vraiment que tu m'aime, que tu n'es pas comme tous ceux à qui j'ai eu le malheur de donner de l'amour.

- Je t'aime, Côme. Ne doute pas de ma parole s'il te plaît.

- J'essaye mais c'est dur. C'est dur de comprendre qu'à chaque fois les personnes qui m'ont fais le plus souffrir c'est celle que j'ai aimé. Alors si tu veux tous savoir, voilà : je suis un enfant battu, mes parents mon frappé à sang le plus grand de leur temps, à l'école je mettais des pulls larges pour cacher mes bleus, un bandeau de pirate pour camoufler mon œil au beurre noir. Oui mon oncle a abusé de moi, oui la seul personne que je croyais encore sympa avec moi ma violer. Mais tu vois c'est pas ça le pire, le pire ce que j'aurais beau continuer à avancer, mon passé sera toujours là, sous ma chaire. La douleur c'est une marque indélébile qui persiste à te rappeler que tu n'es qu'une merde. Et plus les gens te le rappelle, plus tu finis par y croire. Le jeu avec l'amour c'est que tu passe ton temps à souffrir.

- Ne dis pas ça, Côme. Si c'est gens ne sont plus là c'est qu'elle ne méritent pas d'être avec toi. La seule personne qui peut te dire ce que tu es, c'est toi.

Côme était touché par sa gentillesse. Marin était quelqu'un qui comme Freya, le voyait à sa juste valeur. « je me sens mieux qu'avant, mais ce fameux avant m'empêche d'imaginer mon après »

Aleksander s'avança en courant assez vite vers eux dans la piscine, la bible à la main. Il avait passé les quelques minutes à avoir quitté Freya la haut a feuilleté les pages de se livre.

- Freya, descend rapidement. Lui dit il en la regardant sur le balcon. Vite !

Freya s'empressât alors de descendre assez vite. Elle arriva sur le palier, les deux pieds là carrelageé marbre, elle s'avança ensuite vers l'extérieur. Une fois dehors, elle regarda Aleksander, perplexe.

- Y'a quoi d'aussi urgent pour que je sois obligé de descendre rapidement ?

- Ce que j'ai trouvé remet toutes nos questions à leur réponse. Écouter :  longtemps les nuits étaient pour moi un lieu de repos, ou mon esprit divaguer. Mais plus c'est nuits avancer et plus je voyais l'obscurité s'agrandir. Le monde était en train de sombrer inéluctablement vers sa fin sans que les gens ne le savent. Je me rappelle de ce fameux dimanche 4 avril 2021, le dernier jour où le soleil c'était couché. Jamais il ne c'est relevé. Inquiète en voyant cette date s'approcher je me suis donc renseignée. J'ai commencé par internet mais rien de m'indiquer ce que je cherchais réellement. Alors je me suis tourné vers le Vatican. J'avais cette idée en tête qu'ils avaient probablement une explication religieuse à ce phénomène étrange. J'ai donc vue le prêtre le plus renommé de sa catégorie. Il m'as répondu mot pour mot « quand Dieu meurt, le soleil également. ». J'y ai vue un fantasme religieux, mais j'y ai crue. Tous ce que je rêvai pas la suite concorder avec le fait que Dieu aller mourrir ce soir là. C'est là que j'ai rencontré 4 jeune adulte. Ils étaient voué à sauver notre monde. Je devenait folle et je comprenait que la fin était proche. Alors je n'ai pas pour habitude d'être quelqu'un d'aussi théorique mais si jamais c'est 4 personne lise ceci je veux juste vous dire une chose : chercher les 7 sceaux avant que lui ne les trouve. Et ne vous laissez pas intimider par l'énigme que ça va être car tous ce que vous devez savoir est dans votre vie. Vous pouvez sauver notre monde mais vous pouvez aussi tous nous condamner. Les 7 sceaux à tous pris car si il sont toujours là dans parmi le monde ce serait la fin. L'apocalypse débute se soir, trouvé les, détruisez les. Felixia.

Le silence s'installa. Il était tombé brutalement comme une pierre. Il y'avait avec le texte une petite image. C'était une petite plaque de métal doré qui avait en son centre du verre. Freya avait déjà vue se genre d'objet, mais elle s'en rappelait que très peu. Ils savaient désormais ce qu'il devait faire : détruire chacun de ses sceaux.