𝐐𝐔𝐀𝐑𝐓𝐄𝐓 [OC'SxSNK] TOME 1

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟗

« Major ! Caporal ! Isidor Evergarden ainsi que Rin Nohara se sont faite prendre par les brigades spéciales ! »

Tels étaient les mots qu'un senior déclara à nos deux vétérans.

Ainsi commença la chasse à l'homme. Les brigades spéciales traquées les deux autres "pestes", comme ils disaient, pour les emmener auprès du roi. Liu et Sunny se sont caché dans une forêt à Rose accompagné de leurs compagnons, soit l'escouade Livaï.

(Rappel:
-Sunny
-Liu
-Eren
-Armin
-Mikasa
-Jean
-Connie
-Sacha
-Historia
-Ymir
-Évidemment Livaï)

Le bataillon d'exploration a était mît en sursit pour une complicité quelconque et donc les soldats devaient se faire emprisonner, dont Erwin ainsi que notre groupe de fugitifs cachés dans la forêt. En tant que Major, il se devait d'y aller et de ne pas reculé, sous peine qu'on lui retire son titre, mais il avait surtout cette envie de revoir sa bien aimée Rin.

Il s'inquiéter fortement pour Isidor également, enfin, il s'inquiéter surtout pour les soldats qui devaient s'occuper d'elle. Son caractère de "chien" n'aiderait aucunement, il espérait néanmoins qu'elle ne se mette pas en danger inutilement.

Il confia à Hange le relai en tant que Major et Livaï s'occupa de son escouade dans une auberge non loin d'une grande et vaste forêt. Ils étaient tranquille mais ce n'était qu'une question de temps avant que les brigades spéciales se décident à faire une grande battu dans tout Rose, même dans Sina.

Tout le groupe était inquiet pour leurs deux amies, surtout leurs consœurs Sunny et Liu. Elles étaient également inquiète pour leurs vies, allait-on les tuer ? Les pendre dans la place publique devant des centaines de gens ainsi que des enfants ? Elles avaient peur pour leurs amies mais beaucoup aussi pour leurs misérables vies.

Livaï était terriblement inquiet pour Isidor, la dernière fois qu'ils s'étaient réellement parler c'était juste pour lui dire qu'aucune ambiguïté devait être mise entre eux d'eux. Il réalisa qu'il était lâche et qu'il n'a même pas eu les "couilles" d'avouer à la fille qui lui torturait ses pensés ainsi que ses pensés nocturnes, qu'il avait cruellement aimer lui faire l'amour et qu'il désirait recommencer. Oui, il tenait à cette fille plus qu'il ne le croyait, et rien que ça lui faisait angoisser. Alors, il décida de se promettre que quand il l'a reverra, il l'embrassera avec fougue, et il lui fera l'amour juste après, n'importe où. Il voulait qu'elle soit près de lui, et en sécurité. Ce n'était même plus une question de sexe, et il en avait bien conscience mais c'était une question de quoi dorénavant ? Il avait bien une hypothèse mais il l'a redouté au plus point.

- Bordel arrête de trembler comme une feuille ! Cria la rousse.

- Ça va, je suis stressé ok ?! Lui répond Jean.

- Tout vas bien, respire ! T'es chiant à la fin.

- Chiant ? Désolé de stresser pour la situation dans laquelle on est, madame. Maintenant si t'es pas contente, et bah tu te barre !

- Pour me barrer où ? On est vit dans le même toit depuis une semaine et j'arrive déjà plus à te supporter !

- Oï les morveux. Soit vous la fermer et vous buvez votre putain de thé, soit vous vous cassez chercher du bois, y'en a plus en réserve et on commence à se refroidir les miches dans cette baraque.

La voix autoritaire et fatiguée du caporal calma le couple qui décida de s'ignorer et de boire leur thé comme si de rien était. Le silence était pesant et l'ambiance était glaciale. Les tensions étaient à son max. Déjà deux jours qu'ils n'avaient aucune nouvelle d'Hange et de Moblit qui devaient venir aujourd'hui leurs rapporter les news.