C'est l'étendue qui fascine, c'est le noir qui tue
Commissariat
C'est comme une partie de poker. Mais lorsque la mort a les quatre as en main, et qu'elle décide d'abattre les cartes sur la table, la sentence est irrévocable.
Elle regarde le policier, les larmes au bord des yeux. Il avale sa salive, les yeux rougit, l'âme tourmentée. Leur histoire n'était pas un conte de fée. Loin de là.
— Après sa mort il m'a dit : « elle m'a fait comprendre que la mort ce n'est pas grave. La mort, c'est triste mais ce n'est pas grave, m'a-t-elle dit. Notre vie continue et nous devons saisir notre chance car le temps est compté pour changer le cours de l'histoire. » J'ai vraiment pensé qu'il allait sombrer, comme pour Colline. J'y ai vraiment cru, jusqu'à ce qu'il disparaisse.
Le policier se frotte le crâne. Où qu'il soit, quoi qu'il se passe, il le retrouverait. Parce qu'il s'est donné cœur et âme pour cette enquête, et que l'abandon n'est pas présent dans son vocabulaire.
— Et maintenant que nous savons que Rose est en sécurité, retrouvons Louis
VOUS LISEZ
Le bruit du silence
RomanceGuillaume Musso a dit « (...) C'est comme le vertige du funambule en équilibre sur un fil. » Vous êtes le funambule, je suis le fil, cette histoire est le vide en dessous. Que faire ? Tenir le coup ou chuter ? Sachez qu'il n'y a pas de retour en arr...