Une Vie Sans Fin

Chapitre 20

Une semaine plus tard...

Point de vue de Coral

Les blessures de Fegg avaient guérit assez rapidement. Je m'étais découverte des pouvoirs qui avaient put accélérer sa guérison. Je me disais avant de m'endormir que d'être la future Mort n'avait pas seulement des désavantages. Lotha aussi reprenait du mieux. Tyson et Steph s'occupait de lui remonter le moral car Fegg devait quand même rester au lit. Ils l'avaient amenés faire le tour du royaume, voir toute les attractions et s'entrainer avec les soldats. Lotha gardait son expression boudeuse à tout moment. J'avais beau le connaitre mieux que personne, je n'arrivais à rien. Tyson et moi, nous dormions dans le même lit, mais il me savait trop inquiète pour tenter quoi que ce soit. Dans la chambre à coté, Steph dormait avec Lotha. Ils avaient chacun un lit simple. Jule dormait dans la dernière chambre. Dans deux jours, Juliha et Orine viendraient nous rejoindre. Leurs parents, Augustyne et Robb, étaient partis en lune de miel. Pour le moment, elles faisaient la route vers le chateau et ensuite, ils partirèrent vers la villa de la famille. Depuis hier après-midi, Lotha était partit faire une course. Il n'était toujours pas revenut. Nous étions inquiets. Il n'avait même pas dit aurevoir à Fegg. Pourtant, il l'adorait. Fegg n'était pas si proche de moi pourtant elle m'avait parlé de la lumière. Quelques part dans mon coeur, j'avais peur pour Lotha. Il était mon ami le plus proche. Il lui arrivait bien sur avant de disparaitre des jours voir des semaines entière sauf que jamais je n'étais si inquiète. J'avais vue la Mort dans Fegg cette journée là et je me doutais que ça avait un lien. Et j'esperais de tout coeur me tromper.

Point de vue de Tyson

Cela faisait près de deux semaines depuis ma blessure. Bref, depuis que nous nous étions rencontrés par accident dans la forêt moi et Coral. Je devrais lui dire la vérité sur la raison de ma présence dans la forêt. En se moment, elle était trop occuper sur Fegg et Lotha. Un jour, elle finirait par se demander ce que je faisait là. Pour l'instant, elle avait assez de problème. J'avais beaucoup de difficulté à ne pas la serrer dans mes bras la nuit. J'avais pourtant essayer le premier soir, elle m'avait repoussé. Je m'étais pas réessayer depuis. J'attendrais qu'elle veuille avant de le faire. Je devais me retenir pour ne pas craquer.

Point de vue de Lotha

Mes côtes me faisaient horriblement mal. Un de mes yeux étaient très enflés. Je n'arrivais plus à voir de ce côté là. Mes dents avaient été épargnés pour mon bonheur. Mes cheveux avaient été rasés grossièrement. Les os de ma main gauche avaient été écrasés. La Mort m'avait fait payé pour avoir presque tenu tête devant elle durant l'épisode avec Fegg. Contrairement aux démons qui se rebellaient déjà contre elle, je ne pouvais pas avoir ce luxe. Bien sur, en étant l'animal de compagnie de Coral, j'avais des privilèges, mais pas celui de m'interposer dans les décisions de la Mort. Elle avait voulut aider Fegg, mais en vrai, elle avait voulut se divertir. Ostaha, ma mère, était venue me porter de la nourriture chaque jour. J'étais son petit trésor et me voir dans cet état pour un caprice lui brisait le coeur. C'était elle qui m'avait parler de l'amour et des autres sentiments. Ma mère m'avait toujours défendue, mais lorsque la Mort m'avait appeler, elle avait eu une mission. Elle n'appréciait pas ma relation avec Fegg. C'était suposément mauvais. J'étais redevenu un petit gaçon à protéger. J'avais maintenant interdiction de voir mon amour sauf s'il y avait urgence. Si la Mort me donnait une mission auprès de Coral, je ne devrais pas finir dans le même lit que mon ange. Ma mère était très protectrice. Je guérissait lentement dans le fond d'une cellule près de la demeure des Faucheuses. L'évolution de la vie des Faucheuses étaient fascinante. Tout jeune déjà, ma mère m'avait fait apprendre la hiérarchie de notre empire si sombre. L'enfer, c'était ici, s'il fallait lui donner un nom, mais tout ceux qui y habitaient l'appelait Le Tombeau. Non, aucune âme tourmentée ne pouvait se promener ici comme le disait la religion. Toutes les âmes allaient dans leurs petit enfers. Par exemple, les fées vont avec les fées, etc. Chaque petit enfer était gardé par un cerbère. Il y en avait plusieurs.  Les Faucheuses allaient chercher les âmes lorsque le corps mourrait. La Mort recevait une liste de Dieu où elle devait choisir la façon dont les personnes ou animaux mourraient. Les squelettes étaient un peu comme les esclaves de tout les autres. Ils préparaient la nourriture, les poisons, guérissaient les malades, fabriquaient des armes, apportaient les messages, etc. Lorsqu'ils avaient passés assez de temps en squelettes pour payer leur faute de vie humaine, ils devenaient soit des Faucheuses, soit ils retournaient en poussière et leurs âmes dans l'enfer. Les squelettes n'étaient pas des gens ordinaires pris par hasard. C'étaient des tueur en séries, des pédophiles parfois, tout criminels qui avaient de très lourd casiers de crime devenaient squelettes. Par contre, eux, ce n'était pas Dieu qui les trouvaient. Puis, ils y avaient les panthères. Nous étions créer dans un mélange d'une panthère et d'un démon. Peu importait lequel était male ou femelle. L'enfant né de cette union devenait panthère. Nous étions un peu comme la garde de la Mort. Nous nous occupions de protéger tout les serviyeurs de la Mort lors de leur déplacement. Certains étaient considérer comme agent secret et partaient faire des missions secrètes. Les démons eux avaient une très légère surveillance. Ils faisaient le peu de travail que l'on leur demandait puis ils s'amusaient. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais dans cette cellule. Je m'endormit à même le sol terreux en pensant que j'avais oublier de dire aurevoir à Coral et Fegg.

Point de vue de Fegg

Sous-terre, on ne pouvait pas savoir quand c'était le jour ou la nuit. Il suffisait de regarder l'heure car il y avait toujours la même intensité de lumière. Je regardais par la fenêtre. Les arbres essayaient tant bien que de mal à rester vivant. Les fleurs commençaient à secher, les feuilles à tomber. Voila une semaine que je restais là, étendue, le visage perdu quelque part, en rêvant de quelques choses. Quelque chose qui ne m'avait jamais parut si proche. Les traces de larmes sur mes joues commençaient à disparaitre. J'avais tant pleurer lorsque Coral était venue m'annoncer le départ de Lotha. Pourtant, je le connaissait à peine. Je n'avais jamais aimé personne. Plus jeune, oui, j'avais aimé. Ensuite, j'étais devenue froide et antipathique. Je finis par m'endormir, priant le ciel de me donner enfin un peu de bonheur après tout ce malheur.