Une Vie Sans Fin

Chapitre 7

Point de vue de Tyson

Je mis un morceau de tissus trempé sur le front de Coral. Que c'était-il passer ? Je n'en savais rien. Je preferais me dire que je devais prendre soin d'elle comme elle l'avait fait avec moi. J'avais peut-être halluciné, mais les faibles plaintes de Coral me ramenait à la réalité. Elle ne s'était pas mise dans le coma tout seule. J'y passerais la nuit s'il le fallais.

Point de vue de Coral

Tout d'abord, il y avait eu du noir. Aucune brise, aucune couleur sauf ce noir sans fin. Puis une porte blanche, tout simple. Je l'ouvris en tremblant. C'étais de la neige. Après du noir, il y avait eu tout ce blanc. Une maisonnette se découpait de ce désert de neige. Je m'approcha de la fenêtre. Mes parents se tenaient de l'autre coté. Je les entendait tres distinguement.

- Mario soit raisonnable. Nous ne pouvons la laisser à personne. Elle est en sécurité avec nous. Disait ma mère.

- Non, Cléthyne, tu sais se qui va se passer. Disait mon père.

Il était trop tard. Je voyais derrière moi des villageois en colere. Ils arrivaient dans notre direction. Mes parents m'avaient cachés dans le sous-sol. Mon père sortit. Il se dénonça en disant qu'il m'avaient donner au diable sans l'accord de ma mère. Cette dernière paraissait horrifier dans la fenêtre. Mes parents m'avaient fait croire que l'on jouait à cache-cache. Plusieurs minutes plus tard, je remontais les marches en silence. Je fouilla toute les pièces en criant: " Maman ! Papa ! ". Les lumières dehors m'avaient alors intrigués. J'étais sortit en robe de chambre. Devant moi, agenouillés sous un arbre, on passait une corde de pendaison autour du cou de mes parents. J'étais rester figée sur place. Lorsque l'on les a fait monter, je n'ai pas pu me retenir. J'ai crier. Un cri strident et déchirant qui a faut retourné la foule qui voulait assister à la pendaison. Aujourd'hui, je me tenais à quelques mètres de distance de moi, enfant. Je revoyais cette scène qui hanterait mes nuits. Des hommes s'étaient alors approchés de moi. Ils avaient essayer. Les larmes sur mes joues coulaient. Un homme avait prit mon bras. Il s'était alors effondré par terre en se tortillant et criant. Il mourrut en quelques secondes à peine. Les autres avaient sortis des fourches. Ils me piquèrent pour me forcer à avancer vers la forêt. Bien que je n'avais que 5 ans, je savais déjà que je n'y survivrais pas. En essayant de m'éloigner, un homme planta sa fourche à deux pointes dans mon dos. Des ailes apparaitraient plus tard au meme endroit. Je suivais mes souvenirs. Tout me revenait. Mes parents étaient morts sous mes yeux, et les villageois appeurés m'avais fait fuir. Puis, de retour le noir.

Point de vue de Tyson

Elle avait crier pendant des heures. Des larmes avaient coulés sur ses joues. J'avais mal de la voir autant souffrir.

Point de vue de la Mort

La moitié du message était passée. Il ne restait que notre rencontre. Je revoyais avec elle ses souvenirs que j'avais jadis pris soin de cacher. Aujourd'hui, elle devait savoir. Et ainsi, nous pourrions de nouveaux se rencontrer.