Point de vue de Coral
Noire, nuit noire. Lumière, deux lumières, des phares, une voiture. Une course pour fuir. Un coup derrière la tête, puis noir encore. Lampe, caméra. Des chaines entourant mon corps. Des bruits métalliques, des armes, non, des instruments. Un homme, ou une femme. Masqué avec un horrible cochon recouvert de sang. Du sang et de la crasse partout. Des ombres partout. Une lame de boucher. Douleur, flot de sang. Ma jambe est touchée. Le bras ensuite...
Point de vue de la Mort
On n'avait aucun droit de lui faire du mal. C'étais ce que je m'avais promise. Pourtant, ces hommes lui avaient fait du mal. Un mal si terrible que malgré les nombreuses années qu'elle vivrait, jamais elle ne les oubliera. Je les cherchais vivement depuis. Ces salauds étaient franchement bien cachés. Je ne pouvais pas interroger Lotha, il m'avait aider a les chercher. Il en avait même fait plus que moi.
Point de vue de Lotha
Je devais les trouver. Ils pairaient très cher. Coral se mit a crier ce qui me sortit de mes sombres pensés. Je la prit dans mes bras en vitesse. Ma main gauche caressa son dos pendant que la droite tenait sa main. Elle pleurait sans aucune gène. J'entendis du bruit derrière moi, mais n'y preta pas attention.
- Lotha... ils.. ils m'ont.. ont.. battu et.. ( gémissements de douleur) violer.. ensuite.. ont.. tués.. enfants.. Dit Coral en s'étouffant dans ses sanglots entre chaque mot.
Quelqu'un cogna dans la chaise sur laquelle j'étais assit qurlques minutes plus tot. Coral sursauta, mais ne se degagea pas de mes bras.
- Ne t'inquiete pas.. On va les trouver.. Lui dis-je en cachant ma rage.
Point de vue externe
Un paquet arrivait au même moment au bureau du roi. Il avait échapper a la fouille habituelle du courrier pour y attérir directement. Le roi revenait d'une rencontre. Il ouvrit la boite sans plus de cérémonie. Il fut curieux d'y voir un CD. Sa majesté voulut l'écouter croyant sans doute a un film quelconque. Le film débuta alors...
Moment du film :
Deux hommes masqués se tenaient face a la caméra.
-Bonjour, ici l'assurance BellAir. Nous voudrions vous avisez.. Dit un premier au masque de rat.
- Ah mais ferme la ! Elle est réveiller. Dit le deuxieme au masque de chat.
- Bref celui la n'est pas tres commode. Nous allons vous montrer un magnifique spectacle. Tout d'abord, les petits roles: le couteau ( un cri de femme ). Bien, vous etes une vraie passionnée madame. Je reprends donc, le couteau,le marteau ( un cri ) et la main. Merveilleux ! regardez tous se sang mon cher monsieur Matou ! S'écria le masque de rat.
Derriere les deux hommes s'étaient trouver une femme attacher a une chaise. Tout au long des paroles de l'honme rat, l'homme chat s'executait. Il avait entailler les membres de la femme avec le couteau. Puis, donner des coups de marteaux sur ses articulations et des gifles a la fin.
........Le roi se releva, dégouté et horrifié. Il appela les gardes pour savoir d'où venait le paquet. Personne n'en savait rien. Il faudrait alors regarder jusqua la fin car sur le CD, le roi n'avait pas vue ses deux mots: indices, fin. Le roi fit des cauchemars durant la nuit.
Point de vue de Lotha
Je m'étais endormit avec Coral comme lorsque nous étions jeunes. Elle n'avait pas recommencer a crier ce qui était bon signe. Le lendemain matin, le roi m'appela. Une fois rendu chez lui, il me fit regarder le même morceau du film. Je bouillonnais de rage. Cette femme, c'étais Coral. Le roi avsit du courage, mais il avait un si haut respect des femmes qu'il n'arrivait pas a continuer seul. Aucune femme ne devrait etre traiter de la sorte. L'homme rat parlait de petit roles. Il y aurait ensuite les moyens puis la célébrité. Je me mit a frissoner en pensant que l'enfant serrait dans l'une de ses catégories. Je le dis au roi, et a ma grande surprise, il vomit. Tout son repas se retrouva sur le sol. L'odeur était infecte. Si je n'avais pas recut l'éducation de ma mère, j'en aurais fait pareil. On se donna rendez-vous le lendemain pour le terminer. Je retourna chez moi le coeur lourd.
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Une Vie Sans Fin
Science FictionJe me cache, car personne ne sait qui je suis. Pas même moi. Je vivais en meute, maintenant seule. J'ai l'air douce, mais je suis mortel. Mon monde est bouleverser. Me voila, la mort dans les bras, l'amour dans le ventre, les oiseaux dans le dos. Je...