Chapitre 28

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Point de vue inconnu

Elle avait resté marquer comme prévu par le maitre et son expérience. Coral avait une conscience toute fragile. Elle était ma proie, le maitre m'en avait assurer. Je retourna chez ma cousine. Une simple visite de courtoisie, mais nécessaire. J'arrivais à son énorme demeure. Ses chiens de garde étaient introuvable, ce qui me ravit. Je toqua. Ce fut son horrible mari qui m'ouvrit. Je ne le détestait pas, mais ses ricanements incessants me tombaient sur les nerfs. Ma cousine apparut en haut d'un escalier.

- Comment vas-tu cousin ?

-Très bien Augustyne. Répondis-je

- Assied-toi. M'ordonna le grand bonnet.

Je m'assis dans un somptueux fauteuil. La famille était nombreuse, donc nombreux sont les revenus. Dans la famille, nous partagions tous nos profits a la seule condition d'avoir un travail. La décoration était bon gout chez ma cousine Augustyne. Je resterais surement à souper avec eux.

Point de vue de Lotha

Ma mère était morte et Coral s'était évanoui. Tyson avait tenté de m'expliquer, mais je n'avais rien voulut entendre. Durant les deux mois qui venaient de passer, Coral avait passer de dure épreuve. Elle peinait à se remettre du chagrin du départ de Tyson. Quelques jours après avoir vu un mince sourire sur ses lèvres, des hommes l'avaient kidnappées. Après trois jours, elle avait été découverte dans un parc. Le corps avait été ravagé de coup. Elle ne parlait plus et tremblait au moindre contact physique. Nous pouvions seulement lui tenir la main. Nous ne savions pas ce qui lui était arrivée ses jours là. Quand nous avions tenté de le savoir, elle faisait une crise de panique. Un des enfants du centre m'avait averti de la situation. C'était son père qui avait dégagé Coral de Tyson. Ce dernier était en colère. Je ne savais pas pourquoi et ne voulait pas savoir. En se moment, elle était dans une chambre vacante de ma demeure. Je caressait sa main du bout des doigts. Dans son sommeil, je doutais que les vices de ces hommes n'agissent encore. Elle avait de léger soubresaut. Bientôt, elle crirait et je ne savais pas si je pourrais retenir Tyson d'agir.

Point de vue de Coral

Noire, nuit noire. Lumière, deux lumières, des phares, une voiture. Une course pour fuir. Un coup derrière la tête, puis noir encore. Lampe, caméra. Des chaines entourant mon corps. Des bruits métalliques, des armes, non, des instruments. Un homme, ou une femme. Masqué avec un horrible cochon recouvert de sang. Du sang et de la crasse partout. Des ombres partout. Une lame de boucher. Douleur, flot de sang. Ma jambe est touchée. Le bras ensuite...

Une Vie Sans FinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant