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Les journées s'empilent. Et les centaines de kilomètres qui sépare les deux garçons accentuent le manque, jour après jour.
— Wang Yibo ! Si tu tiens à gérer ce concours, il faudrait peut-être que tu penses à te concentrer.
— Putain, tu crois que c'est pas ce que je fais ?
— Ça crève pas les yeux, non. T'as besoin de ce foutu contrat, en ce moment. Alors remue-toi un peu ! C'est pas ton genre de traîner, pourtant.
Adossé contre le miroir de la salle de répétition, Yibo quitte la pièce sur un coup de tête, les yeux rivés sur son téléphone.
— Eh ! On peut savoir où tu vas ?! Non mais sans rire !
— J'reviens. Ne me suis pas !
— Putain, ce gosse me...
La porte étouffe la suite. Dans le couloir, Yibo fait les cents pas.
— Oui ?
— Ge ! Putain, tu me réponds enfin !
— Excuse-moi, j'étais... j'étais occupé.
— Arrête, on a la même vie...
Zhan laisse échapper un bref soupir, piqué.
— J'peux savoir pourquoi tu m'ignores, tout à coup ? T'es plus froid qu'une porte de prison.
Le silence pesant que son ami garde fait monter Yibo en pression.
— Xiao Zhan !
— Wang Yibo ! Tu veux que j'te dises quoi ?!
— Je sais pas, « J'veux plus de toi », « t'es trop loin », « t'es qu'un con », mais au moins une explication !
— Lao Wang, tu vas me rendre fou...
— Wow ! J'crois rêver. Tu sais quoi, j'ai l'impression que l'un d'entre nous n'assume déjà plus ses promesses.