The Burglar Under Surveillance

Chapitre 4

《 - Écoute mon grand, sa fera 4 jours que tu es ici. Si tu nous aides tu pourrais ne rien avoir comme conséquence.

- Alors que j'ai cambriolé ? Me faite pas rire.

- Crois moi, c'est facile de diminuer les années d'emprisonnement.

- Ah oui ? Alors normalement j'en aurais combien la ? 》

Le policier voyait bien qu'il n'était pas assuré mais essayait de prendre sur lui. Il avait affaire à des personnes comme lui assez souvent et savait comment les gérer.

Mieux qu'un autre policier qui se trouvait derrière une vitre noir.

《 - Sa peut aller jusqu'à 5 ans, mais tant que tu ne parles pas ça pourrait être pire et avec une amande qui peux très bien monter jusqu'à 150 000 €.

- Quoi !?

- La prochaine fois pense aux conséquences avant de faire n'importe quoi, mais si on découvre la vérité soit on augmente, soit on diminue... Tout dépend de toi Jeon. 》

Le concerner baissa le visage sur ses jambes, les mains attachés étaient serrer, il commençait à flancher sentant les larmes coulées. Jamais il ne s'était dit qu'il finirait ici, dans un commissariat ou toute sa vie était mise en jeu.

Dénoncé ou finir dans une cellule avec des personnes vouer de méchancetés. Un frissons de peur passa remettant toute sa vie en cause.

Pourquoi tout cela arrivait... ?

Probablement depuis ce jour, ce jour où il perdu tout. Sa famille, ses amis, sa vie normal. Et que plusieurs mois plutard cet homme l'emmena dans son monde noir.

Jungkook remarqua seulement ses larmes qui coulaient le long de ses joues, à ce moment une personne entra dans la pièce.

《 - Jackson, on arrête pour aujourd'hui.

- Mais Jimin !

- Le sergent arrive dans une heure, on demandera en même temps pour son cas.

- D'accord... Aller mon grand on t'emmène dans ta cellule. 》

Le noiraud se leva gardant la tête baissée pour ne pas ressentir davantage cette horrible sensation. Lorsqu'ils arrivèrent devant la cellule, une sorte de décharge passa dans le corps de Jungkook qui se tourna brusquement vers les deux policiers qui avait cru à une attaque surprise mais non.

Le jeune se courba devant eux.

《 - J-Je n'avais pas le choix !! P-Pardon !! 》

Les policiers se regardèrent pendant un cours instant avant que le blond ne pose sa main sur son épaule.

《 - Tu comptes faire quoi ?

- ...

- Nous ne pourront pas te garder ici éperdument, demain ou après demain nous devrions t'emmener dans un endroit que personne ne souhaiterai se trouver. Parle et tu seras libre plus tôt. 》

Malheureusement, lorsqu'il se redressa, tout ce qu'il comprit, c'était une peur, peur d'avouer, de trahir malgré qu'il l'avait été.
Lorsqu'il comptait lui parler, une personne intervint.

《 - Les gars, ils arrivent ! Je lui ai expliqué la situation et il veut qu'on l'amène dans la salle d'interrogation.

- Quoi ?

- Je sais pas ce qu'il a en tête mais rien ne s'annonce de bon pour toi Jimin.

- Moi ?

- Oui. 》

Le grand garçon musclé retourna de la ou il venait pendant que les deux policiers emmenèrent Jungkook dans la salle. Il le laissa seul se retrouvant derrière la vitre noir qui empêchait le noiraud de les voir.

Celui-ci ne comprenait pas, il perdait confiance en lui rapidement. Sa devenait trop long mais jamais il ne voulait tout dévoilé. Il aurait espérer à un rêve mais à présent ce rêve était long si long qu'il pouvait comprendre que c'était la réaliter qui le rattrapait.

《 - Bonjour, Monsieur Jeon.

- Bonjour... 》

L'homme qui était entrée soudainement le scruta de la tête aux pieds. Jungkook fronça les sourcils trouvant un air de ressemblance entre lui et le policier aux cheveux blond.

《 - Je suis le sergent Park.

- Pourquoi vous occupez de moi alors qu'il y en a déjà trois policiers...

- Je suis leur chef, celui qui passe après eux pour faire parler les personnes comme toi. Mais aujourd'hui est différent, j'ai demandé une permission à notre grand chef.

- ...

- Tu es jeune, sans-abris, une amande qui te suivra probablement toute ta vie mais par moment nous voulons aider les personnes comme toi. Nous te logerons tant que tu travailles pour payer ta dettes, en échange il suffit de parler. Cependant, d'après le peu d'information que j'ai sur toi je peux faire une exception en te laissant davantage de temps. Mais pour cela il faudrait une personne de confiance pour te surveiller. 》

Son cerveau décrochait.

Surtout lorsque le sergent fit un signe à une certaine personne derrière la vitre.

Peut-être que la chance allait enfin être de son côté.