Chapitre26

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Coucou mes chéri(es) j'espère que vous allez bien. Désolée pour la fois passée, les contres temps ne manquent jamais🥺
Bref, chic pluie, chic mise à jour😁

Bonne lecture surtout 😘

A peine arrivés au salon, il m'attire brusquement vers lui et commence à m'embrasser avec tellement d'intensité que je ne savais plus quoi dire ou que faire. C'est à peine si je répondais à son baiser car il m'avais prit par surprise. Après il arracha mon voile avant de le jeter de l'autre côté et s'attaquer à mon cou. Je ne sais pas par quelle magie  on s'était retrouvé allongés tous les deux sur la moquette toute blanche du salon. Ne croyant pas que les choses iront loin entre nous, je me suis entraînée dans son jeu également car je pensais que c'était comme d'habitude on allait tout simplement flirter sans dépasser les bornes. Je me laissais donc allée et en un temps record, il me ôta de tout ce que j'avais comme tenu. J'étais là en sous vêtements devant lui c'est au moment où il était sur le point de se déshabiller que j'ai compris ce qui se passait réellement. J'ai donc ramassé mes habits avant de me lever prête à  partir mais il n'était pas du même avis car il m'attire vers lui de toutes ses forces jusqu'à ce que je tombe juste à ses côtés.

— je t'en supplie Abdel laisses moi partir dans la chambre. On ne devrais pas faire ça.

— samy, si tu ne me satisfais pas cette nuit wallah que je ne survivrai pas. Regardes mon engin tu vois comment je suis dure? Laisses moi te faire l'amour rien que cette nuit. Dit il en dégrafant mon soutien et le jeter par terre. Il prit  mon téton en bouche et se met à me caresser les cuisses avec l'autre main. C'est sensé me donner un plaisir fou Mais à entendre la phrase *faire l'amour* tout mon envie et mon excitation disparaît d'un coup laissant place à la peur et au stresse. Limite je tremblais car je sais que rien ne pourra me sauver des mains de cet homme aujourd'hui.  Il faudrait le voir pour comprendre à quel point il est excité.

— Abdel s'il te plaît. Je devrais pas faire ça. Dis je au bord des larmes.

— je t'en supplie Samira je ne te demande qu'une nuit rien de plus. En plus ça ne te coûtera rien ma chérie c'est pas comme ci tu ne l'as jamais fait après tout ce que je t'ai fait je mérite au moins ça et puis tu es ma femme alors pourquoi ne pourrai je pas profiter de toi? De ce corps de rêve? De cette chatte aussi belle que appétissante. Si tu étais chaste je comprendrais mais là je ne sais pas pourquoi tu me refuse ton corps.
Ayant marre de toujours entendre la même histoire, je descends du canapé pour m'asseoir juste à côté de lui avant de lui dire

—j'accepte de passer la nuit avec toi. Dis je en tremblant presque consciente de ce que je venais de dire. Il m'offre un sourire de vainqueur avant de me faire recoucher et commencer à à déboutonner sa chemise. J'étais morte de peur, limite, je pleurai déjà que j'ai les larmes trop faciles. Tout ce que je voulais était qu'il découvre que je ne suis pas celle qu'il pensait et qu'on en finisse une bonne fois pour toute.  Il était tellement impatient de satisfaire son désire que tout ce dont j'ai eu droit était un petit baiser sur la bouche avant de se loger entre mes jambes. A voir ce grand truc qui se pintait sous mes yeux, Je commençais à réciter par cœur toutes les sourates qui me venaient à l'esprit avant de fermer les yeux pour pas voir ce qu'il allait faire.
Quelques seconde après avoir écarté mes pieds, j'ai senti quelque chose de très très dur  se coller  à mon intimité et pas la peine de vous dire que c'était son truc. Il me caressait légèrement l'entrée mon vagin, avant de vouloir entré directement mais c'était tout simplement pas possible. Il luttait avec toutes ses force mais ne comprenait pas ce qui se passait. J'étais là, couchée les yeux fermés complètement inerte à attendre qu'il finisse pour enfin me lever.

— mais qu'est-ce qui se passe Samira? Pourquoi je n'arrive pas à entrer.

—.........

—ou bien tu es......?dit il en me regardant avec ses gros yeux remplis de désir. Ça se voyait qu'il voulait tout arrêter à cet instant là mais il ne pouvait tout simplement pas. Quelques seconde j'ai sentie une douleur pas possible. on aurait dit qu'on venait de m'ouvrir la chère avec une lamelle tranchante. Je ne savais même pas à quel moment j'ai lancé un cris sec et aiguë. Je le suppliais du regard pour qu'il arrête mais c'était comme si il ne me voyait pas, il était tout simplement concentré sur son plaisirs propre.
Je voulais le repousser mais je n'avais aucune force pour le faire.

Photo fatale Où les histoires vivent. Découvrez maintenant