Oscar
L'heure de la fin du cours retentit plus les heures passent plus le calvaire s'agrandit à ce que j'y vois tout le monde se ruent vers la cafétéria j'imagine que c'est l'heure du déjeuner.
Je sors de l'intérieur de cet université pour me rendre au banc de ce matin.
Je nettoie sagement ma place et pose sur le banc un livre pour la distanciation je sors une bouteille d'eau et commence à lire le deuxième livre.
30 minutes plus tard je sens une présence à côté de moi je ne doute pas que c'est la personne de tout à l'heure.
Les gens d'extérieur peuvent être si persistants!
Femme - Mon nom par ailleurs est Dakota.
- Étrange vous vous appelez au même nom qu'un état américain...vous faites souvent ça dans le monde extérieur ?
Elle se met à subitement rire ce que je ne comprends pas ces gens ne font que rire pour des futilités.
Dakota - Vous me faites rire et bien si vous auriez pu fait davantage de recherches sur le monde extérieur vous aurez pu remarqué que certains pays où bien états peuvent être donné comme nom à une personne.
- Puisque vos parents vous on donné ce nom vous représenté le Dakota du nord ou bien du sud des États-Unis ? dit-je en lisant son livre.
Dakota - Aucune idée dit-elle en riant personne me l'a jamais sortie celle-là.
Je ne réponds pas mais cela ne lui empêche pas pour en placer une.
Dakota - Pourquoi vous n'êtes pas allé à la cafétéria ?
- Je n'ai pas envie de me mélanger avec des gens abjects mangeant n'importe comment c'est déjà pénible de supporter leur présence dans l'amphithéâtre et puis je me contente que d'une bouteille d'eau.
Dakota - Ok...
Sachant rien dire cette fois-ci je peux enfin terminer mon livre tranquillement.
- Pouvez-vous me laisser lire mon livre j'y tient énormément.
Avant de s'exécuter elle se met à écrire sous un bout de papier.
Dakota - Si vous avez besoin de me contacter voici mon numéro de portable.
- Je n'ai pas de portable lâchais-je.
Dakota - Ça ne m'étonne pas.
Elle prends subitement ses affaires elle semble révoltée puis s'en va.
Ils ont réellement un souci ces gens là je ne sais pas pourquoi j'ai affaire à eux.
Cet environnement est si brutal ce campus est bondé je ne sais pas comment je pourrais rester encore dans ce taudis.
Comment est-ce qu'ils peuvent considérer ce masacre comme établissement d'études supérieur ?
Non mais sérieusement il faudrait me le dire.
Je continue à lire mon livre qui parle de différents types de végétaux et je m'y intéresse depuis mes 10 ans lorsque que ma mère m'a offert plusieurs livres à ce sujet.
Dont ce livre.
Les polices de caractère sont d'ailleurs mes préférés et tout ça dans un seul livre.
Après une demi heure de lecture je retourne à l'amphithéâtre pour le dernier cours que j'assisterai.
Malgré que depuis ma venue je suis dans des amphithéâtres différents je me place toujours au même endroit.

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𝐎𝐬𝐜𝐚𝐫 𝐉𝐨𝐧𝐞𝐬.
Fiction générale𝐣𝐞𝐮𝐝𝐢 𝐝𝐢𝐱-𝐧𝐞𝐮𝐟 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐧𝐞𝐮𝐟 𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐢𝐧𝐪𝐮𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐜𝐢𝐧𝐪 𝐚̀ 𝐌𝐞𝐥𝐛𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞.