Chapitre 28

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J'ai contacté Pucci immédiatement après son arrivée en Amérique.
Il ne semble pas que je puisse aller n'importe où, alors je lui ai demandé de revenir dès
qu'il le pourra. --- Le monde est devenu beaucoup plus petit qu'il était il y a cent ans, mais un
voyage d'Amérique en Égypte n'est toujours pas un voyage facile pour un humain.
Mais sans aucune trace de mécontentement sur son visage, il a accepté sans hésitation ...
En entendant sa réponse, je sens que j'avais raison.
« C’est celui dont j’ai besoin. »
C’est le sentiment que j'éprouve ... En fait, il semble étrange que je n'y ai jamais pensé
avant. Je suis peut-être devenu plus attentif à l'amitié depuis les circonstances dans lesquelles
j'ai appelé Jonathan mon ami il y a cent ans.
Mais il vaut mieux garder la tête froide. Être prudent est la meilleure chose à faire.
Je le pense vraiment. Alors je lui ai dit. --- Qu'il n'y a pas lieu de se précipiter. Je n'ai
pas l'intention d'interférer avec la foi de Pucci. Je veux qu'il soit profondément religieux. Tant
qu'il ne devient pas stupide comme ma mère.
Je vais déjà lui donner mon ”os”.
Lorsque la nécessité s'en fera sentir, cela lui permettra d'exercer un grand pouvoir.

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