-Ça ne vas pas la retenir longtemps, faut qu'on se dépêche, déclara Annabeth.
-Vas-y, je prends les sacs, lui répondit Percy, en se penchant pour les récupérer.
Il entendu les bruits de pas d'Annabeth s'éloigner et il prit les deux poignées des sacs. Il se redressât et partit sans même adresser un seul regard à Reyna. Il entendu même le corps de la brune s'effondrer à cause de la perte énorme de sang. Mais en passant la porte il s'arrêta. Il ne lui adressa pas un regard mais il prononça seulement ces mots :
-Si tu crois que je vais t'aider...
Il sortit et claqua la porte derrière lui. Une fois de plus, le vent froid lui fit des frissons. IL avait encore neigé cette nuit. Annabeth avançait difficilement car la neige était tellement épaisse que ses chaussures restaient bloqués dans la neige.
Percy l'a rejoignit vite, et posa son bras sur les épaules de la blonde.
-Joyeux noël, lui murmura-t-il dans l'oreille.
Elle se tourna vers lui , ayant totalement oublié qu'ils étaient le 25 décembre.
-Quand on rentrera à New York. Je te laisserais choisir le plus beau sac de Manhattan, et je te l'offrirais, reprit-il.
-Pas besoin, mon plus beau cadeau c'est de t'avoir toi.
-Arrête, on sait tout les deux que tu ne serais pas contre un sac Louis Vuitton ou Chanel. Ou même Dior.
-Bon... D'accord.
-Je gagne toujours.
Ils continuèrent à avancer, Percy avait enlever son bras des épaule d'Annabeth et avait glissé sa main dans la sienne. Ils arrivèrent en silence dans la voiture, où il faisait déjà plus chaud que dehors. Percy ouvrit la porte a sa petite amie, puis quand fut entrée dans la voiture, il contourna la voiture et ouvrit la portière conducteur. Il adressa un dernier regard à la maison. Reyna avait réussi à se relever, et s'accoudait à la porte pour rester debout. Une énorme tache rouge tachait sa chemise blanche. Ses yeux lançaient des éclairs en direction d'eux. Percy détourna vivement les yeux, rentra dans la voiture et ferma la portière.
Ils roulèrent ce qui leurs semblât des heures, avant d'arriver dans une forêt perdue au milieu de la campagne italienne. De grands pins s'élevait à l'horizon. Elle semblait très sombre, mais au moins ils seraient en sécurité là-bas. Ou du moins en sécurité du KGB et pas des animaux sauvages.
Ils décidèrent donc de s'y arrêter pour finir leur nuit. Arriver en plein cœur de la forêt, de grandes ombres s'étendait alors sur les arbres, ce qui pouvait aussi bien faire peur à de très jeunes enfants, mais aussi bien à Percy.
-Et d'ailleurs, tu l'as trouvé où ce couteau ?
-Hier, je flippais un peu du coup je suis aller le prendre dans la cuisine, pendant que tu te changeais, pour pas te faire stresser. Je suis désolée.
-Désolée pour quoi ? Tu nous as sauver !
-Mais je t'ai cachés des choses...
-Un mal pour un bien comme on dit. En attendant, je te propose de rester dans la forêt jusqu'à l'heure du train parce que au moins ils ne pourront pas nous trouver au fin fond d'une forêt paumée, et pourquoi pas un peu dormir ?
-Lets go.
Ils sortirent de la voiture et rentrèrent par les portes arrière, n'ayant pas envie de dormir assis et préférant dormir sur la banquette arrière, ensemble. Ils s'installèrent donc sur les sièges arrière, Annabeth prisonnière des grand bras puissants de Percy. Ils s'endormirent paisiblement pensant qu'ils ne pouvaient rien leur arriver de pire.
VOUS LISEZ
Je t'aime, mais je te déteste (Percabeth AU)
RomanceEN COURS C'est compliqué d'être les enfants des directeurs ou des directrices ? Et bien c'est ce que vivent Annabeth et Percy. L'un à un père directeur de la CIA, l'autre a une mère directrice du MI6. Les Etats Unis et l'Angleterre. Deux mondes tell...