Annabeth regardais les stations défilées, attendant que son arrêt arrive. Les passagers montaient et descendais. Annabeth avait beau avoir ses écouteurs, elle entendait le bruit du métro sur les rails, le bruit des gens qui parlaient. Elle avait beau savoir où elle était, elle était perdue. Perdue dans l'immensité du monde. Perdue dans la routine.
Depuis son retour à Londres Annabeth pensais nuit et jour à Percy et ses idées folles, son sourire en coin qui faisait fondre son cœur, son regard malicieux annonçant une blague de mauvais gout. Elle passait ses journées à vérifier son téléphone pour voir si il lui envoyait des messages. Bien sûr elle en recevait parfois pour lui souhaiter une bonne nuit, mais ça ne lui suffisait pas. Car oui, elle était piqué. Comme une adolescente de 15 ans.
Elle attendait son arrêt de métro perdue dans c'est pensées. Le train roulait vite, les personnes agissaient comme si les autres n'existaient pas plus focaliser sur eux et leurs problèmes. Mais pourquoi s'étonné de ça alors que ça avait toujours été ça et que ça ne changera pas. Ses écouteurs était enfoncé dans ses oreilles où résonnaient de la musique trop forte. Pourquoi faire cela ?
Tout simplement pour oublier, oublier sa vie, oublier le monde, oublier les gens, oublier de se concentrer sur ces vrai problèmes. Oublier que Percy lui manquait comme personne ne lui avait jamais manqué. Elle avait l'impression de retourner des années avant, quand elle était montée dans l'avion, son cœur était rester avec Percy et maintenant elle ressentait la même sensation, le même vide.
Elle fut interrompus dans c'est pensé par une notification sur son téléphone. Elle le sorti de la poche de son jean et remarqua que le numéro était inconnu. Le message ne disait qu'une chose "regarde-devant-toi". Sans réfléchir elle releva les yeux de son appareil et croisa des yeux marrons qui la fixait.
Anna s'était senti bête. Comment ne pas se rencontre que l'ex-fiancée de son crush était là à la regarder. Mais ce sentiment disparus rapidement, vite suivi par une colère noire, comment Reyna pouvait encore oser la regarder dans les yeux après ce qu'elle avait fait à Percy. Annabeth lui lança un regard de mépris, puis continua à regarder son téléphone. Elle choisit de mettre la seule chanson française qu'il y avait dans sa playlist. "Trop beau" résonna dans ses oreilles.
Elle reçut à nouveau un message de la mystérieuse personne. "Tu-veut-vraiment-mourir-?""Si-tu-veux-pas-,-descend-au-prochain-arrêt-." Et comme Annabeth ne réagissait pas Reyna lui envoya un dernier message. "Tu-veux-vraiment-que-Percy-te-voit-mourir-dans-un-attentat-dans-un-fichu-métro-?".
Comment Reyna parlait pour Percy après ce qu'elle lui avait fait ? Comment osait-elle ? La sonnerie qui marquait l'ouverture des portes tinta. Dans un geste désinvolte Annabeth se leva et marcha droit vers la sortie. Alors qu'elle commençait à gravir la volée de marche qui la conduisait vers la sortie, une main attrapa son avant-bras.
-Comment oses-tu me touchée ? demanda Annabeth en se retournant.
-Je t'ai sauvé la vie.
-Et tu penses que c'est qui qui a organisé cet attentat ! Lâche-moi.
Le ton Annabeth était froid et encore ce n'était qu'un quart de la haine qu'elle ressentait pour Reyna. Elle s'est retourné précipitamment et la poigne de Reyna s'est desserré.
-Dis juste à Percy que je suis désolée...
-Tu crois vraiment ?
Et Annabeth à monter les dernières marches qui la séparait de la sortie, mais à la dernière marche, elle se retourna.
-Tu auras beau essayer de nous détourner de notre objectif, on trouvera toujours notre chemin !
574 mots
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Je t'aime, mais je te déteste (Percabeth AU)
RomanceEN COURS C'est compliqué d'être les enfants des directeurs ou des directrices ? Et bien c'est ce que vivent Annabeth et Percy. L'un à un père directeur de la CIA, l'autre a une mère directrice du MI6. Les Etats Unis et l'Angleterre. Deux mondes tell...