Je t'aime, mais je te déteste (Percabeth AU)

Chapitre 21 2/2

Annabeth s'est réveillée en pleine nuit avec Percy allonger à côté d'elle. Elle était encore moulée et ses cheveux trempés étaient remplis de sable. Son T-shirt blanc laissait entrevoir son soutien-gorge tellement il était humide. Percy, lui était encore plus trempé qu'elle. Ses cheveux ébène étaient encore plus en bataille qu'habituellement et couvert de sable. Sa chemise noire était elle aussi remplit d'eau et moulait ses abdos parfaits. Ce qui déplus pas à Annabeth qui pouvait le mâter sans avoir peur qu'il la charrie.

Il était couché sur le dos et un long filet de bave s'échappait de ses lèvres entrouvertes.
Elle lui avait glissé un petit "tu bave dans ton sommeil". Mais elle n'avait eu aucune réponse de sa part car il dormait trop profondément pour se réveiller avec un simple parole presque inaudible.
Elle s'était alors lever pour observer le lac, où s'échouaient des vagues régulièrement et où la lumière douce de la lune se reflétait.

Une heure plus tard elle s'était rapproché de Percy et avait posé sa tête sur son ventre. Et s'était endormie, bercée par la respiration calme et posée de Percy.
Elle s'était réveillée une deuxième fois car Percy venait de pousser un cri déchirant. Elle s'était redressée précipitamment et avait remarquer que ses joues étaient inondées de larmes et qu'il pleurait de plus en plus fort. Ça lui faisait mal au cœur de voir Percy comme ça, en train de pleurer toutes les larmes de son corps.

Elle l'avait observer pendant quelques secondes et avait décider de le prendre dans ses bras et de le bercer en lui chuchotait des paroles réconfortantes.

Elle était restée pendant ce qui lui semblât un temps infini, mais étonnamment elle se sentait bien et relaxée.

Elle s'était alors couché, toujours avec la tête de Percy sur le ventre.

Et elle s'était enfin réveiller une dernière fois alors que le soleil venait à peine de se lever. A travers les montagnes on pouvait apercevoir les rayons chaleureux et lumineux de l'astre de lave. Ces mêmes rayons passaient entre les arbres et rencontrait l'eau bleu foncé du lac. Les hautes montagnes couvertes de neiges, elles aussi reflétait la lumière à travers leurs neiges éternelles. Le vert lumineux des sapins, les reflets éblouissants bleus de l'eau et le blanc éclatant de la neige, Annabeth ce serait cru au paradis.

Coupant court la contemplation d'Annabeth de ce paysages idyllique, Percy remuât et Annabeth se tourna vers lui pour voir quand est-ce que le jeune homme dont elle était follement amoureuse depuis bien longtemps, se réveillerait-il.

Pour mieux l'observer, Annabeth se mit à genoux à côté de lui et déplaça sa tête de sorte à l'avoir juste en face de celle de Percy. Quand il ouvrit enfin les yeux, Annabeth put observer longuement ses iris vertes océan qui ressemblaient tellement à l'eau du lac qu'elle avait observé quelques minutes auparavant.

Ces iris l'avaient toujours impressionné, tellement on pouvait voir les émotions de Percy à travers. Comme l'a dit un jour un personnage célèbre dont Annabeth ne se souvenait plus du nom.« Les yeux sont le miroir de l'âme ».

Plus elle observait ces yeux plus ils étaient mystérieux. Elle savait que Percy ne rentrerait jamais dans les cases, qu'il n'agirait jamais selon la logique du monde. Il agirait toujours grâce à sa propre logique, qui pour Annabeth n'avait aucun sens.

Ces yeux pouvaient tantôt passés de la plus infime douceur à la plus destructrice colère. Il chantait même de couleur passant du vert bleu de la mer calme des Caraïbes, a la plus catastrophique tempête bleu marine.

Ils étaient restés comme ça pendant plusieurs minutes, peut-être même des heures, ils ne le surent jamais, à se regarder dans le blanc des yeux, Annabeth au-dessus de Percy. Comme si ils étaient aimantés, comme si leurs yeux étaient scellés pour l'éternité. Aucun ne voulait rompre le contact visuel qu'ils n'avaient pas eu depuis très longtemps.