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Octobre 2017

France

PDV KIRSTEN

-Mais rigole pas. je dis à Djina.

-Je suis désolée mais c'est dingue. 

-Je ne savais pas qu'il fallait mettre de l'eau pour faire des pâtes.

-Tout le monde le sait Kirsten, enfin ne pas mettre d'eau. T'es forte. Pardon vous êtes forte.

-Tu s'est parfait.

-Non, c'est contre protocolaire?

-Et je n'en n'ai rien à faire. Je te dis ici je ne suis pas princesse. Je fais la bise au gens. 

-Je déteste ça.

-Et bah moi j'aime bien.

-Je vais t'apprendre à cuisiner.

-Avec plaisir.

-Je ne pensais pas parler de ça avec toi. Ma futur reine.

-Et bah on aurai du le faire bien avant. Ca fait 10 ans que Lars prend soin de moi et je ne savais presque rien de sa vie. C'est clairement un truc que je vais mettre en haut sur ma liste de priorité. Connaitre la vie des personnes qui m'épaulent au quotidien.

-Ton père le fait déjà.

-Je sais, mais je vais vous valoriser encore bien plus. Mais je sais aussi que si j'ai la chance d'avoir des enfants, ils ne seront pas assisté comme je l'ai été ou Lily l'est.

-Parce que Lily et toi n'êtes pas n'importe qui.

-Peut être mais on devrai savoir faire des pâtes, choisir du vin, faire des machines. Je veux que mes enfants sache faire les autres d'eux même. Et puis entre nous, on a bien trop de personnel. Une seule nourrisse me servirait, je serai là pour mes enfants.

-Parce que ta mère n'a pas été là. Pardon.

-T'as totalement raison. J'aimais ma mère, mais la coursonne lui ai monter à la tête. Tante Diana la fuit, elle, elle l'a aimait trop fort. J'en ai conscience.

-C'était une bonne reine.

-Non. Elle a été une reine nulle et une mère épouvantable. Mon père le sait, je le sais et le peuple aussi.  

-Mais elle reste ta mère.

-Je sais. Mais ça a été plus simple comme cela. J'ai vu Harry et William allez si mal. Moi je le savais.

-Elle nous manque pourtant.

-Je veux être son opposée.

-Tu sera la meilleure des reines, le roi à bien fait les choses. Tu te pose déjà les bonnes questions et tu fais déjà rêver tant de petite filles. Celui qui aura ta main sera chanceux.

-Je me suis fait dragué. Je crois.

-Houuuuu. elle sourit.

-Arrête. je dis géner.

-Raconte moi tout.

Je lui raconte l'épisode Ken, et elle boit littéralement mes paroles.

-Tu lui plait, mais est ce qu'il te plait?

-Je connais pas ça. Je ne sais pas faire avec les hommes.

-C'est vrai que tu n'as pas vraiment pu draguer. Mais t'as bien eu un crush?

-Pas vraiment nan.

-Alors protége toi. Tu ne sais rien de lui, je ne veux pas qu'il te fasse souffrir. Je vais être obliger d'envoyer Carl et Lars lui casser la gueule.

-T'inquiète pas pour moi.

-Il est beau?

-Il est différent des dannois.

-En bien?

-Je ne sais pas. 

-Vu que je suis ton amie, je veux connaitre la progression.

-Bien sur.

-Maman, je ne comprend pas.

-Mon coeur je n'y arrive pas avec le français.

-Viens là, je vais t'aider.

-Vraiment? elle me demande.

-Bien sur, j'ai pas un diplome pour décorer. Montre moi.

Elle me donne son cahier.

-Les fractions. je dis. Qu'est ce que tu ne comprend ça?

-Ca et ça et puis ça aussi.

-Tout. je souris.

-Oui. C'est trop dure.

-Ce n'est pas dure, il faut simplement te l'expliquer différement. Est ce que tu as une feuille et un crayon?

-Oui.

Elle me donne et je fais un dessins.

-Elle est jolie ta fleure.

-T'as vu ça, je suis douée. 

-Oui. elle rigole.

-Alors regarde un sixième, est ce que tu comprend?

-Non.

-Alors le sixième il va correspondre à toutes les pétales de la fleurs. 

Je compte avec elle pour lui montrer. 

-Et le un, il va corresponde à la pétale qu'on a besoin. Donc on en colorie combien?

-Une sur 6.

-Ecatement. Si je te dit quatre sixième?

-On en prend cinq.

-Parfait. Et si je te fait trois neuvième? Tu me le dessine comment?

Elle me fait une autre fleurs avec neuf pétale et en colorie trois.

-Mais t'es trop forte. Donc maintenant avec ton exercice.

Elle reprend sa feuille et réussit toute ces fractions.

-J'ai tout compris maman. 

-Je vois ça. On dit quoi?

-Merci Kirsten. 

-N'hesite pas à me demander si tu as besoin. Je passerai t'aider au plus vite. Ou sinon tu viens frapper à la porte.

-D'accord.

Je les ai laisser et je suis remonter chez moi. J'ai galérer à nettoyer ma casserole que j'ai finalement mis à la poubelle. Mon dimanche à continuer sur un dimanche bien typique finalement: préparer ma semaine, faire du ménage et faire mon linge. Mais j'aime ça, j'aime la typicité. 

Héritière MEKRAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant