BAKUDEKU 4

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PDV KATSUKI/

Que j'aimerais crier, hurler jusqu'à m'en arracher mes cordes vocales. Comment pouvais je être aussi pitoyable. Comment avais je pu l'embrasser. Ce n'est pas lui que j'aime c'est mon Deku que je veut. 

Je le sens, je le sais que c'est lui et pas se maudit Kirishima (pardon pour ceux qui l'aime, je l'aime bien aussi mais bon).

La pluie semblait  également vouloir me faire remarquer mon erreur, étant donné qu'elle ne cessait de coulait le long de mes joue depuis que je suis sorti. Je la comprend aussi, qui ne voudrais pas me blâmer.

Ce n'est certes pas moi qui est pris l'initiative de l'embrasser, mais j'y est répondu. Je savais qu'il était là qu'il nous regarder. Mais je n'ai pas arrêté. Une partie de moi me disait de continuer. Elle me chuchotait que si j'arrêtais là maintenant Deku ne me verrai plus comme quelqu'un de désirable.

Mais quel connerie qui voudrait d'une personne qui lui promette le monde, qui lui dit qu'elle vas lui prouver ses sentiments, et qui malgré tout cela elle aille embrasser la première personne qu'elle voit.

Je pense que le pire c'est que j'ai senti son regard perçant se remplir petit à petit de douleur de tristesse et de peine. Pourtant est ce que j'avais arrêtais? La réponse est évidente. Non.

Je fus sorti de mes pensées des plus débile, lorsque j'entendis des pas se précipiter vers la porte et la voit de ce foutu Ice-Hot crier le nom de MON Deku. J'interrompis mon contact avec ses lèvres, et parti à la recherche de ce nerd.

Voilà maintenant vous comprenez pourquoi je suis écroulé sous mes regrets et la pluie. J'allais abandonner en espérant que demain Deku soit rentré à l'internat et que je puisse lui parler et tout lui expliquer, quand d'un coup, une idée surgit dans ma tête. Ce serait logique qui soit là-bas après tout.   

Pris d'une pulsion nouvelle je me mit à courir en direction du parc dans le quel nous jouions étant petits. Mes jambes commencées à fatiguer mais je ne pouvais pas le laisser tout seul.

J'arrivas enfin à destination. Mon cœur fût soulagé lorsque je l'aperçu, les jambes se balançant, la tête baissée, et les mains crispées sur la balançoire qui lui faisait office de chaise. Je contourna cette dernière et le pris dans mes bras. 

Il m'entoura de ses bras tremblant de froid. Quel idiot de rester là sous la pluie en tee-shirt. Mon cœur  déjà bien abimait à cause de mon gestes et de ses répercussion sur lui, se brisa d'autant plus au moment où je sentis du liquide chaud coulais sur mon coup. Je me doutais bien que ce n'était pas la pluie, mais ses larmes. J'en eu la confirmation quand il se dégagea de mon étreinte, et que des fleuves de larmes ruisselaient sur se joues parsemait de tâches de rousseurs.

-POURQUOI T'AS FAIT CA? TU M'AVAIT PROMIS!

-J.. Pardon. 

La tête baissais je savais que j'étais en tord. Il avait tout les droits de me crier dessus. J'était à présent à genoux parterre, honteux de tous mes actes. Et lui debout, blessait et en colère.

-POURQUOI T'AS FAIT CA? J'ETAIT QU'UN JEU A TES YEUX? C'ETAIT QUE DES BELLES PAROLES TOUT CE QUE TU M'AS DIT? JE CROYAIS QUE TU M'AIMAIT OU DU MOIN AUTANT QUE MOI.

-Tu m'aime? 

Qu'est ce qu'il venait de dire? Il m'aime? Si j'avais su je n'aurais jamais fait ça. Et puis comment peut t'il m'aimer après tout ce que je lui ai fait endurer au collège. Je suis un monstre, et lui un ange. Non je dois avoir mal entendu. 

Je le regardais fixement en essayant de comprendre. Nos regard à présent plongeaient l'un dans l'autre. Je ne réussissait plus à percevoir sa colère. Comme si elle c'était évaporer.

-Oui bien sur que oui je t'aime Kacchan. Depuis le début. Au départ je pensé que ce n'était qu'une admiration. En même temps je n'était qu'un enfant. Et puis je me suis aperçu que je ne te voyais pas de la même façon que All Might. Et j'ai compris. Je ressentais de l'amour en vers toi. Mais toi non apparemment...

Un petit rire de stresse passa la barrière de sa bouche. Et puis tout ce relia. Au fond de moi je l'avais aussi toujours aimais. Peut-être que j'avais agit ainsi avec lui par peur qu'il se blesse en voulant devenir un héros. Je ne sais pas j'était con et sans cervelle à cette époque, mais là maintenant le plus important c'était de lui dire.

Alors je me leva et le repris dans mes bras puis l'éloigna un peu de moi, et posa mes mains sur ses joues.

-Ne dit plus jamais que je ne ressens pas la même chose pour toi. Je t'aime Deku. 

Il se remit à pleurer mais cette fois ci c'était de joies. Je fondis alors sur sa bouche, qui me tentais depuis bien trop de temps sans que je ne puisse assouvir mes désir.

Ce fût la soirée la plus catastrophiques et en même temps la plus belle de toute ma vie.











One shot animéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant